Parce que l'envie d'écrire vous prend, jusqu'à la rage parfois. Et parce qu'un jour se fait ressentir l'envie d'un écho...

mercredi 31 août 2011

30 août 2011. 00h35

Monsieur,
Mes fesses ont beaucoup apprécié tout ce que vous avez pu leur offrir durant cette période un peu irréelle. A commencer par vos baisers dont elles souffrent l'absence. Il serait donc nécessaire, voire indispensable, que vous m'expliquiez comment vous comptez combler ce manque cruel. Une description détaillée s'avère fondamentale afin que mon esprit puisse être rassasié et que mon corps accepte le délai d'attente que vous lui imposez avant que vos lèvres ne viennent à nouveau l'effleurer et faire frémir cet arrière-train impatient et désireux de se voir, une fois encore, comblé de vos attentions.

28 août 2011. 23h10

Mon Amour, voilà que notre vie va reprendre son rythme effréné. Ma peau n'est déjà plus à distance acceptable de la tienne, tes lèvres ne sont plus à ma portée. Et déjà, tu manques cruellement à chaque partie de mon corps. 
Je ne pourrai plus observer ton visage à la dérobée et y lire la sérénité et la joie. Les mots que tu as su libérer me sont devenus indispensables et j'ai hâte de les entendre à nouveau. Tout comme j'ai hâte de te serrer dans mes bras.
Tu avais pris la bonne habitude de m'appeler à ton réveil et tu en éclairais de ce fait ma journée, pourquoi ne pas recommencer ? Je pourrais peut-être ainsi te transmettre un peu de baume au coeur (à moins que cela ne soit bien prétentieux de ma part ?) Je t'embrasse férocement, amoureusement, intensément. 
Et n'oublie pas... Je t'aime

26 août 2011. 22h23

Je te demande pardon. Pour les mots que je ne saurai peut-être pas dire. Pour les silences trop longs. Pour les paroles de trop.
Je te demande pardon. Pour les sourires que je ne t'offrirai peut-être pas. Pour les instants qu'on ne partagera pas. Pour les moments où je serai trop envahissante.
Je te demande pardon. Pour les fois où je serai trop insistante. Pour les interrogations parfois pesantes. Pour les regards lourds. Je te demande pardon.

25 août 2011. 23h47

La valse des textos reprend sa cadence à partir de ce soir. Rythme interrompu durant presque 1 mois. Période idyllique que j'aurais voulu ne pas voir se finir.
Je vais devoir réapprendre à m'endormir sans poser ma tête sur ton épaule, ne pas entendre ton souffle rassurant lors de mes réveils nocturnes. Je ne caresserai plus ton corps le matin pour te réveiller, tes doigts ne se perdront plus dans mes cheveux... Jusqu'à nos prochaines retrouvailles, que j'attends déjà avec fébrilité. Je t'embrasse fort. Merci encore pour tous ces moments intenses. Je t'aime.