Parce que l'envie d'écrire vous prend, jusqu'à la rage parfois. Et parce qu'un jour se fait ressentir l'envie d'un écho...

dimanche 29 avril 2012

29 avril 2012. 00h10

Te répéter encore et encore, combien ta présence à mes côtés me manque. Ma tête sur ton épaule et ta main dans la mienne me font défaut à chaque instant.
J'ai envie de toi mon Amour. Je t'aime.

27 avril 2012. 22h30

Je viens juste te déposer un baiser sur les lèvres. Parce que j'ai bien trop envie de ta peau pour trouver les mots.
Parce que j'ai bien trop envie de ton corps pour trouver les bons accords.

26 avril 2012. 02h45

Le vent souffle, m'empêche de dormir. tempête au dehors comme dans ma tête.
Le visage de l'esthéticienne remplacé par un autre. Et toujours, ses mains qui me massent, qui me sculptent. Et son corps qui m'effleure. Ses seins contre mes épaules, pour que ses doigts atteignent la naissance de mes fesses. Où elle s'arrête et où commencent mes fantasmes.
Et ta voix à mon oreille qui me murmure ton amour.
Je n'ai jamais été aussi troublée qu'avec toi !

mercredi 25 avril 2012

25 avril 2012. 01h08


Aimer ta bouche. Lorsqu'elle se perd sur mon sein. Lorsqu'elle s'affole sur mon corps engourdi.
Aimer tes mains. Quand elles s'égarent dans mes cheveux. Quand elles s'abandonnent aux tendres caresses.
Aimer ta peau. Au moment où elle frôle la mienne. Au moment où elle se fond en moi.
T'aimer. De mieux en mieux. De plus en plus fort.

lundi 23 avril 2012

22 avril 2012. 23h53

C'est à toi mon Amour, que je donnerai toutes mes voix. Sans conteste, tu remporteras le scrutin.
D'aucuns diront qu'il était truqué parce que tu avais abusé d'arguments licencieux ! Et ils auront bien raison !
Mais lequel d'entre eux sera de taille à rivaliser avec ton éloquence lors de nos (d)ébats passionnés au creux de notre lit ? Lequel serait capable de défier tes talents oraux lorsqu'il s'agit de venir butiner ça et là quelques adhésions ? Lequel serait prêt à te défier et donner de sa personne pour redonner espoir à la pauvre citoyenne que je suis en la prenant sous sa c(r)oupe, lorsqu'il n'y a plus espoir et que je n'y crois plus ?
Assurément, mon Ange, mon vote t'est totalement acquis et ton mandat n'est pas prêt de s'arrêter !

vendredi 20 avril 2012

20 avril 2012. 00h56

Je voudrais croquer
La pomme, l'abricot et la volupté
Je voudrais goûter
Des délices, des supplices et la sensualité
Je voudrais échanger
Des caresses, d'la tendrese et d'la complicité
Je voudrais donner
De la douceur, de la chaleur et des baisers
Je voudrais partager
Des espoirs, d'belles histoires et d'la légèreté
Je voudrais abandonner
Les souffrances, les nuisances et les douleurs passées
Je voudrais enlacer
Notre avenir, nos désirs et nos rêves inespérés.

jeudi 19 avril 2012

19 avril 2012. 00h38

Je ne pouvais décemment pas laisser ce post là sans réponse ! Il fallait donc que j'y réponde ! Je sais que tu en retireras autant de plaisir que moi ;)


J'aurais aimé goûter la saveur de sa peau. Glisser mes lèvres partout sur son corps, explorer le moindre recoin de ma langue aventureuse. J'aurais aimé l'amener à me supplier de devenir plus entreprenante. Que, par quelques gémissements, elle m'accompagne vers les endroits qui la feraient chavirer.

Elle venait pourtant de succomber sous les coups de reins tendres et décidés de son compagnon, et moi de pousser mes derniers cris de jouissance, mais je ne pouvais en rester là.

Elle m'avait poussé à rouvrir les yeux pour assister à sa petite mort. Cette vision, et tes va et vient à l'intérieur de moi avaient fait monter une fièvre et une excitation que je n'aurais pu imaginer, décuplant mon orgasme.

Il fallait que je la remercie de ce merveilleux cadeau.

D'un coup d’œil, je te demandais la permission d'abandonner tes mains pour la rejoindre. Me voyant te quitter et m'approcher d'eux, Il me céda sa place dans un sourire. Je le pris comme un accord et salivais d'avance au plaisir que je pourrais lui donner.
 

Je caressais sa peau du revers de ma main. Son regard croisa le mien et j'y lu la surprise, ainsi qu'une envie que je partageais avec délectation. Je voulais goûter à nouveau à ses baisers. La douceur de sa langue sur la mienne avait laissé en moi un manque que je voulais combler.

Lorsque nos lèvres se touchèrent, j'aurais voulu arrêter le temps, le suspendre et attendre qu'elle l'éveille par ses soupirs d'impatience. Que c'était bon !

Te connaissant, je savais que tu ne perdais pas une miette de ce qui se passait entre nous et que ton bonheur était à son comble. Je pensais furtivement qu'il ne faudrait pas que j'oublie de te remercier pour tous ces délices que nous partageons et que tu me permets de vivre.

Mais très vite, mes pensées revinrent vers Elle, vers l'envie que j'avais de la mettre en émoi. Je quittais ses lèvres à regret et embrassais ses seins qui me narguaient depuis bien trop longtemps ! J'esquissais le contour des mamelons, m'emparais d'un téton, le mordillais, le léchais, l'embrassais tour à tour. Puis je descendis vers son ventre, ses hanches, ses cuisses qu'elle écarta un peu plus, instinctivement.

Tu sais combien j'aime faire durer le plaisir, je glissais donc ma langue le long de sa cuisse dorée. Le supplice que je lui infligeais m'était tout aussi difficile, mais je prenais un véritable plaisir à découvrir ainsi son corps, à sentir les frissons qui le parcouraient.

J'effleurais tendrement sa cheville et remontais en chemin inverse sur l'autre côté, pour nous offrir enfin à toutes deux ce que nous attendions tant.

Je posais alors ma langue brûlante sur sa vulve et entrepris de la lécher avec délicatesse pour ne pas rater une once de ce qui pourrait la faire succomber. Tantôt aspirant, tantôt léchant, je tentais d'approcher mes doigts et de caresser son abricot humide. Un soupir, à la limite du râle, m'invita à me glisser dans son intimité. J'y mis donc un doigt tandis que mon pouce agaçait le bouton gorgé de sang qui palpita sous mes caresses.

J'aimais cette sensation de la sentir s'abandonner. J’accélérais donc les va et vient de ma main et sentis son bassin se soulever et la vague de la jouissance l'emporter.


mercredi 18 avril 2012

17 avril 2012. 00h26

J'aurais juste voulu pouvoir pleurer dans tes bras. Faire exploser ma rage au creux de toi.
J'aurais juste voulu ne pas devoir vivre ça. M'être, pour une fois, trompée sur ce que j'avais supposé.
J'aurais juste voulu oublier en sentant tes lèvres se poser sur moi. Transformer mes cris de colère en soupirs de plaisir.
J'aurais juste voulu sentir ta peau sous mes doigts. Me réchauffer à la chaleur de ton corps. 
J'aurais juste voulu m'enivrer de toi jusqu'à tout oublier. Ne plus me souvenir que de tes mots glissés à mon oreille.

lundi 16 avril 2012

15 mars 2012. 20h52

Je pense à elle. A ses seins, que je sais qu'elle n'aime pas toujours qu'on admire, mais qui sont pratiquement la seule partie que je sais d'elle (et qui me font réellement de l'effet).
Je pense à lui, à ses caleçons Dim qui le mettent si bien en valeur. A ce portrait corporel que j'admire chaque jour.
Je pense à toi, à chaque partie de toi que je connais si bien, à tes yeux dans lesquels j'aime me perdre.
Je pense à nos personnalités qui vont se découvrir, à nos regards qui vont se croiser, à nos peaux qui vont se frôler.
Et cette attente me plaît. Elle m'excite et m'intrigue à la fois.

jeudi 12 avril 2012

10 mars 2012. 23h06

Comment faire pour me retrouver transportée contre ton torse ? Comment faire pour être blottie contre toi ?
J'ai envie de ton corps se collant contre mon dos. De tes bras entourant ma taille. De ton souffle dans mon cou. Et de sentir ton désir gonfler contre mon postérieur.
J'ai envie de tes doigts qui se transforment en caresses et de ta bouche qui devient baisers. J'ai besoin de ta langue exploratrice et vicieuse, de tes mots tendres et provocateurs.

10 mars 2012. 08h24

Je n'ai pas envie d'y aller ! J'avais encore envie de me laisser glisser dans la ouate des souvenirs et dans la chaleur de tes bras.

10 mars 2012. 01h21

J'ai beau essayer, je n'arrive pas à dormir. Images intenses et envies de tes bras se mêlent. Refaire et revivre ces merveilleuses soirées en les redécryptant encore et encore ensemble. Reparler de nos émotions, te redire tout l'amour qui me liait à toi même au moment de la séparation de nos corps.
Te répéter combien je t'ai trouvé beau, émouvant. Combien j'ai aimé encore plus ce que j'aime chez toi : cette tendresse, cette attention au plaisir de l'autre. Oui, j'avoue, j'en ai tiré une grande fierté.
Je t'aime

jeudi 5 avril 2012

04 avril 2012. 23h35

Merci pour toutes les étoiles que tu as semé partout dans ma vie.
Merci pour le soleil que tu as placé à mes côtés et qui me réchauffe à chaque instant. 
Merci pour l'amour que tu as accepté de partager.
Je t'aime et être à tes côtés est mon plus grand bonheur.

02 avril 2012. 23h55

Dormir et sentir passer tes doigts furtifs sur ma bouche, pour l'apprendre par cœur, pour la goûter à toute heure.
M'éveiller avec ta voix, tout ce qui est toi, la source, le bonheur, le miracle.
Être habitée par toi, au propre comme au figuré, sentir nos peaux qui se touchent, avoir ton visage comme point de mire. 

02 avril 2012. 23h48

Attente oppressante
Désir de tes mains caressantes
Ton souffle s'accélérant 
Sous mes baisers ardents.
Impatience insatiable
Envie intarissable
De toi au creux de mes reins
De tes lèvres sur mes seins
Appétit grandissant
Besoin violent
De tes mains sur ma peau
De tes caresses dans mon dos
Fièvre brûlante
Pensées entêtantes
Tu me fais l'amour,
Et je savoure...

dimanche 1 avril 2012

01 avril 2012. 01h29

Finalement, je n'ai envie de rien d'autre que de tes mains et de ta langue. Aucun artifice ne fera l'affaire ce soir. Je vais donc m'endormir avec mes envies inassouvies au creux du ventre, avec des désirs de caresses plein le corps, avec des promesses de baisers plein les lèvres, avec la soif de ta sève plein la bouche.
M'endormir, moite et insatisfaite, hantée par ton image et par l'envie.

31 mars 2012. 01h41

J'essaie de ne pas y penser, mais elle me nargue, l'image de ta queue. Tendue, désireuse, elle m'appelle. Frémissante, elle me supplie d'y poser ma langue. Je ne peux m'empêcher d'avoir envie d'elle moi aussi. Alors je glisse ma main sur mon ventre et descends caresser ma fente humide qui réclame quelques attentions. Je pince mon bouton gonflé de désir et je flatte mes lèvres qui s'écartent pour laisser mes doigts me pénétrer. Oh ! Bien-être soudain. Mon bassin se cambre pour mieux ressentir les caresses. Je gémis et fais aller et venir mes doigts. Très vite, une première vague de plaisir m'emporte.
Mais ils ne me suffisent plus, j'ai envie de plus. Le temps de lubrifier mon amant de plastique, de sentir quelques effluves de vanille se diffuser et je l'engloutis entre mes cuisses. Les vibrations m'emportent et, vaincue pas l'animal, je me rends. Regrettant malgré tout fortement de ne pas sentir ton corps s'écraser sur le mien.