Parce que l'envie d'écrire vous prend, jusqu'à la rage parfois. Et parce qu'un jour se fait ressentir l'envie d'un écho...

lundi 16 avril 2012

15 mars 2012. 20h52

Je pense à elle. A ses seins, que je sais qu'elle n'aime pas toujours qu'on admire, mais qui sont pratiquement la seule partie que je sais d'elle (et qui me font réellement de l'effet).
Je pense à lui, à ses caleçons Dim qui le mettent si bien en valeur. A ce portrait corporel que j'admire chaque jour.
Je pense à toi, à chaque partie de toi que je connais si bien, à tes yeux dans lesquels j'aime me perdre.
Je pense à nos personnalités qui vont se découvrir, à nos regards qui vont se croiser, à nos peaux qui vont se frôler.
Et cette attente me plaît. Elle m'excite et m'intrigue à la fois.

5 commentaires:

  1. De l'attente érotique naissent le désir et la complicité pleine de promesses.
    Tes mots sont une exquise mise en bouche... Je suis rêveuse !
    Miam!

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    1. Rêveuse, je le suis également ! Et les mots que j'ai mis là sont loin d'être à la hauteur de ce que j'aurais voulu exprimer.

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  2. La promesse de cette rencontre que vous évoquez met l eau à la bouche. De l imagination naît l érotisme de la situation....
    Cette attente paraît un supplice mais c est une douce torture assurément!;)

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    1. Vous mon cher, devriez bien vous entendre avec Namour qui ne cesse de me parler de "douce torture" et de "ça n'en sera que meilleur plus tard", lorsque je me plains de nos séparations hebdomadaires ! ;) Ça promet !

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    2. Moi je dis toujours, il faut savoir patienter... mais pas trop:)
      Pour faire une métaphore, c'est comme l’érection d'un homme, elle est agréable, plaisante et excitante... mais si elle est tenue trop longtemps cela en devient douloureux...ce serait dommage:)
      La torture est douce si elle aboutie..:) Ce qui est votre cas avec Namour:) et je l’espère avec vos complices;)

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