Parce que l'envie d'écrire vous prend, jusqu'à la rage parfois. Et parce qu'un jour se fait ressentir l'envie d'un écho...

jeudi 30 juin 2011

29 juin 2011. 11h23

J'aurais pu faire ma vie sans toi c'est évident
Mais ça aurait été beaucoup moins exaltaltant.
Tu aurais pu continuer ta vie sans moi c'est certain
Mais ça aurait été beaucoup moins divin.

J'aurais pu vivre sans toi, je l'ai déjà fait
Mais je n'ai jamais connu cette volupté
Tu aurais pu loin de moi panser tes blessures
Mais ça aurait peut-être été plus dur.

J'aurais pu me perdre dans d'autres bras
Mais rien n'aurait été si beau qu'avec toi
Tu aurais pu t'oublier dans d'autres lits
Mais rien n'aurait été plus fort que ce qu'on vit.

Nous aurions pu continuer notre vie chacun de notre côté
Mais nous aurions tellement raté
Nous aurions pu ne pas nous rencontrer
Mais toute ma vie j'aurais regretté.

28 juin 2011. 00h20

Plus que quelques heures avant ta bouche...

26 juin 2011. 22h29

J'ose à peine compter les heures qui nous séparent. Mon envie d'être auprès de toi est bien trop insistante pour que j'y ajoute encore une souffrance.
Pourtant, je sais que les jours passent et qu'ils passent même vite. Je sais que les heures approchent. Que nos corps enfin vont se retrouver. Que nos peaux vont se toucher. Que nos bouches vont se déguster. Que nos langues vont s'égarer. Que nos mains vont se promener et nos doigts s'attarder. Que tes jambes vont s'écarter et m'offrir le spectacle de ton sexe aux aguets.
Je sais tout ça et pourtant mon impatience reste indomptable, intransigeante. Elle se faufile entre chaque interstice de mon esprit et me rappelle mon envie de toi, celle d'être à tes côtés.
 

dimanche 26 juin 2011

26 juin 2011. 02h43

On s'est croisé un soir d'hiver, animaux égarés au bord d'une route. Un regard, une attitude et nous avions compris qu'à deux le chemin serait peut-être plus simple à trouver.
Finalement, nous nous sommes égarés, encore plus. Mais cette fois avec plaisir et avec le sentiment de ne plus être seul et d'avoir trouvé la voie.
Celle des chemins de traverse, parfois celle du chemin des interdits (le sont-ils vraiment ?)
J'aime ces choix que nous avons faits, ceux du hasard et ceux de la réflexion.
J'aime ce que tu es.
J'aime ce que je suis, et surtout celle que je suis devenue.
J'aime ce que nous sommes.
Et tous les instants à venir, comme je les attends ! A cette idée mon corps exulte, ma bouche explose !

25 juin 2011. 09h28

Petite chatte en mode réveil attend gros loup en mode déjà debout...

24 juin 2011. 23h49.

Dis encore ces mots que j'aime ouïr.
Dis-les encore patiemment,
Plus patiemment.
Avec passion, avec désir.
Pour défier les envieux, 
Pour me convaincre encore un peu.
Dis encore cela
Comme un secret tout bas
Ces mots qui me rassurent
Que tu me susurres
Dis-moi que rien ne comptera plus
Que ce qu'ensemble nous avons vécu.
Dis les nuits sans sommeil
Où tout nous émerveille
Dis encore les fous rire
Les spasmes et les soupirs
Les cris retenus
Comme un fruit défendu.
Dis-moi encore que demain
N'est que l'aube de bien d'autres matins
Dis cela comme une évidence
Notre amour, notre délivrance.
 

vendredi 24 juin 2011

24 juin 2011. 00h54

Petite musique de nuit qui m'appelle à fermer les yeux et à deviner les tiens. Petit murmure tardif qui me raconte mes envies de toi, de ta peau contre la mienne. Petit soupir dans le soir qui me susurre des moments divins. Petit dialogue intérieur qui me prépare des instants câlins, des baisers coquins. Petite sensation délicieuse de tes mains sur mon corps.
Grandes envies de hurler mon désir de toi.
Tu me manques.
Je t'embrasse capricieusement, amoureusement, éperdument.
Je t'aime <3 

23 juin 2011. 00h16

Juste une halte rapide (mais que j'aimerais pouvoir éterniser), pour déposer, à la naissance de ton adorable fessier, un tendre baiser.

22 juin 2011. 01h28

Un corps-à-corps torride vient d'échauffer mon esprit. Un baiser brûlant vient de se matérialiser dans mon cou. Une caresse espiègle s'est dessinée sur mon ventre. Un souffle tiède a parcouru mon cou.
Où te caches-tu ?

19 juin 2011. 23h41

Aller jusqu'au bout du monde avec toi. Aller jusqu'aux étoiles. N'importe où du moment que tu tiens ma main.
Et comme dirait Patrick... : "J'sais bien qu'j'te l'ai trop dit, mais j'te l'dis quand même..."

mardi 21 juin 2011

19 juin 2011. 16h07

Des images encore plein la tête (difficile de faire le tri, d'en départager), des émotions plein les entrailles (j'en vibre encore). Des sensations douces, fortes, intenses. 
J'ai tout aimé, je t'ai aimé, je t'ai trouvé beau.
La douceur des tissus sur ta peau, ton sexe dans son écrin de satin et de dentelles. Et puis des soupirs retenus, pour exploser quelques heures plus tard, instants enchanteurs.
Te découvrir un peu plus encore. 
Et j'en reveux. Oh oui ! J'en veux encore ! Nos corps mêlés, mélangés, aspirés par une spirale de sensualité, de sexe et de volupté.

16 juin 2011. 00h05

Tu sais mes nuits sans toi, mes angoisses pas toujours justifiées. 
Tu sais mes courbes, les défauts de mon corps. 
Tu sais le goût de mes lèvres, le parfum de ma peau. 
Tu sais mon sexe humide, le chemin qui y mène. 
Tu sais l'ardeur de nos étreintes, la douceur de mes baisers.
Alors ne me fais pas attendre pour nous permettre de revivre cela une fois de plus.

mardi 14 juin 2011

13 juin 2011. 23h34

Te souviens-tu de notre dernier baiser ? Te souviens-tu combien il criait "j'en veux encore" ? As-tu senti frémir tes lèvres, les as-tu entendues te suggérer de venir déposer, là, sur le bombé de mes fesses, un tendre baiser ? Peut-être même t'ont-elles soufflé que tu pourrais essayer de les croquer doucement, avec mille précautions, afin que je ne sorte pas mes griffes... Qu'ont-elles pu insinuer d'autre ? Écris-le moi, dis-le moi pour que mon attente paraisse moins longue et que mon appétit soit aiguisé. 
Je t'embrasse mutinement, amoureusement, succubement. Love <3

12 juin 2011. 22h28

J'ai envie de glisser ma main dans la fermeture de ton pantalon...

dimanche 12 juin 2011

11 juin 2011. 18h36

Comme je t'en veux de jouer avec mes envies, de respecter les échéances, toujours. Comme je t'en veux de me laisser croupir dans mon désir. Comme je t'en veux de ne pas me laisser profiter du tracé de tes lèvres, de la courbure de tes formes. Comme je t'en veux de me priver de la douceur de tes mots, de la chaleur de tes mains, de la flamme de ton regard. Comme je t'en veux d'empêcher la jouissance, de la brimer et de décider ainsi pour moi de laisser mon ventre vide !

11 juin 2011. 00h15

J'écoute la pluie
J'entends ses bruits
Et j'essaie de deviner tes nuits
Quand durent mes insomnies.

J'écoute le vent
J'entends son murmure
Et je sais alors comment
Nous guérirons nos blessures.

J'écoute ta voix
J'entends ses tendres soupirs
Est-ce que ce que j'y vois
Ressemble à notre avenir ?

J'écoute ton regard
J'entends ses espérances
Et je voudrais pouvoir
Cueillir notre jouissance.

J'écoute tes doigts
J'entends leurs caresses
Et sur ma peau sécheresse
Explose l'envie de toi.

10 juin 2011. 22h08

Envie d'une porte refermée doucement, d'un corps qui se glisse auprès du mien. Une main qui caresse, une bouche qui embrasse, des lèvres qui enflamment. Envie de bras qui m'entourent, de jambes qui me frôlent. Des doigts qui me touchent, me découvrent, hésitent. Mon regard dans le tien, ma confiance en toi. Deux bouches qui s'abandonnent, quatre mains... Envie...

08 juin 2011. 23h53

Et toi, à quoi tu penses quand vient le soir ? Quelles sont tes envies, tes attentes ? Et toi, quels souvenirs rappelles-tu à ta mémoire pour être capable de patienter jusqu'à nos prochaines retrouvailles ? Quelles images convoques-tu, quels désirs naissent en toi ? Et toi, quelles interrogations t'habitent ?
Raconte-moi tes doutes, tes soupirs, tes désespoirs. Raconte-moi tes délires, tes désirs, tes rêves et tes espoirs.

mercredi 8 juin 2011

07 juin 2011. 23h55

Chaque séparation est une déchirure. A peine ton corps s'est-il éloigné du mien que j'en ressens un manque cruel. Comme si l'oxygène devenait inexistant, comme si on avait pris une part de moi-même. Je suis boiteuse en ton absence. L'équilibre me fait défaut. Et j'ai la sensation de rater l'essentiel. De ne pas avoir vu cette étincelle que je sais briller dans tes yeux ce soir. 
J'ai tellement envie de provoquer tes envies, de te faire parler de tes projets. J'ai envie de te voir sourire et de t'aimer à travers ce sourire et à travers chacun de tes gestes.

mardi 7 juin 2011

06 juin 2011. 22h39

Il y a quelques mois, je t'avais envoyé ce message. Pourtant, je le trouve encore plus criant de vérité aujourd'hui, alors je le renvoie.
Je crois que je suis entrain de découvrir le sens du mot "passionnément". Et j'ai peur, j'ai le vertige. De cette sensation que l'on a lorsqu'on se trouve dans un manège, d'envie de maîtriser sa peur et en même temps de se laisser emporter parce que c'est tellement grisant. Et j'ai envie de tout avec toi, de mystères, de dépaysement, d'aventure. Et aussi de calme, de repos et de quiétude. Je voudrais que tu me donnes rendez-vous dans des lieux insolites, que tu m'emmènes loin... ou tout près, peu importe, du moment que je partage avec toi cette ivresse de l'échange, de la vie et cette ivresse de nos corps. Loin de toi, je me consume. Viens vite me reconstruire, me reconstituer et me redonner ce sentiment violent de mon corps vibrant, vivant, jouissant. Love <3 

lundi 6 juin 2011

06 juin 2011. 00h27

Quand les mots n'atteignent pas la valeur de celle qu'on voudrait leur faire porter, que reste-t-il ? Les gestes sont-ils alors assez forts ? Les attentions mènent-elles plus loin que ce qu'on aurait voulu faire passer dans des phrases ? Les regards peuvent-ils être bien plus explicites ? Mon Amour, que ressens-tu lorsque mes mots se taisent ? Sais-tu lire en moi pour deviner l'amour que je te porte ? Sais-tu reconnaître dans mes yeux la fierté d'être à tes côtés ? As-tu conscience de la joie que j'éprouve d'être devenue la femme que tu as fait de moi ? Sais-tu que sans toi ma vie n'existe plus et n'a plus aucun sens ?

05 juin 2011. 23h43

Je ne voudrais rien changer. Je ne voudrais pas changer une seule seconde de notre vie ensemble. Si ce n'est peut-être pour la rendre plus intense, pour la vivre à tes côtés à chaque instant. Pour faire d'elle des moments inoubliables, riche de nos personnalités et de nos particularités. Que chaque jour soit une nouvelle aventure. Chaque étreinte une éternelle découverte.

samedi 4 juin 2011

04 juin 2011. 00h21

Ton corps, à quelques centaines de kilomètres du mien. Ta peau, loin de la mienne. Et cette envie de te toucher, de laisser glisser mes mains sur tes jambes, sur ton dos. Ce besoin de t'avoir contre moi. De refaire connaissance avec tout ton être. De réveiller les parties de toi les plus sensibles, essayer d'en découvrir d'autres.
Me révéler un peu animale et flairer tes essences, ressentir le moindre frémissement et attaquer, sournoisement, là où le désir est le plus ardent. 
Je t'embrasse désirablement, amoureusement, bestialement.

03 juin 2011. 07h42

Envie d'un baiser doux et brûlant à la fois (et de beaucoup plus encore).

jeudi 2 juin 2011

01 juin 2011. 23h48

Je me souviens de notre première rencontre, de cette faille qui m'avait intriguée. Et puis cette deuxième fois où je t'écoutais parler de ta vie et où je me disais secrètement que tous les deux, ça pourrait être bien. Comme j'étais loin du compte alors... Comment j'aurais pu imaginer, lorsque ta main a entouré mes épaules que ce premier baiser, hésitant, lent et profond, nous emporterait si loin ? Comme j'étais loin de penser que tu ferais exploser mon univers, que tu forcerais (en douceur et avec ma totale coopération) tous mes codes. Jamais je n'aurais cru tout cela possible. 
Mais peu m'importent les tempêtes, la pluie battante, les déluges. Peu m'importent les préjugés, les mécontents, les jaloux... Ce que je sais, c'est que le seul endroit où je me sens bien,  c'est auprès de toi et dans tes bras.
Me manquent juste encore quelques clés pour trouver ma place dans ton univers, mais je sais qu'elles sont à notre portée.
Je t'embrasse merveilleusement, amoureusement, parfaitement.

mercredi 1 juin 2011

01 juin 2011. 00h34

C'est un peu comme un film au ralenti. Mes doigts glissent le long de ta joue, viennent esquisser le contour de tes lèvres et se perdent dans ton cou. D'une lenteur absolue, je fais sauter un à un les boutons de ta chemise. Mes mains s'attardent sur ta peau, bientôt ralliées par ma bouche.
Goûter ta saveur, suspendre mes lèvres aux tiennes et se noyer dans un baiser sensuel. 
Puis le tissu glisse sur tes épaules, à tes pieds gît le vêtement, élément déjà oublié.
Mes doigts s'égarent dans tes cheveux, s'y accrochent pour éviter la chute qu'un trop grand désir de toi pourrait entraîner.

01 juin 2011. 00h18

J'aurais voulu que ce souffle dans mon cou soit le tien. Mais peut-être était-ce celui d'un Ange ? ;-)