Au milieu du sein, le téton qui frétille. Insolent, érigé en
provocateur, il attend fièrement que tu t'empares de lui et que tu le suces,
que tu le tètes, que tu l'aspires.
Heures qui séparez mon sein de cette bouche tant désirée,
passez votre chemin, au pas de course. Puis ralentissez votre cadence quand
vous nous aurez dépassés !
Déchirer un jour ce contrat d'interdiction.
RépondreSupprimerLe Toutpourletouter! Et VIVRE!
Heureus, vous pourrez vous rattraper.
Il y a des choix de vie, parfois... Et même si l'on voulait déchirer ce foutu contrat tacite, on sait bien, au fond, que c'est le bon choix...
SupprimerComment voulez-vous que je ne me sente pas tout chose en pensant à vos tétons frétillants, c'est malin, ça :)
RépondreSupprimerFière qu'elle est, Mais...sage, à l'idée de votre émoi ! Mais elle aurait encore plus aimé le constater de visu. Bon allez, je vous embrasse là, sur le bout du..., pour vous embarrasser encore un peu plus... (quoi, taquine, moi... ? Quelle idée !!!)
SupprimerVous aviez dit que vous seriez proche de Quadraland, mais on dirait que vous avez eu peur :)))
SupprimerC'est vous qui n'avez pas donné signe de vie !!! Allez, ce n'est que partie remise ! On se fait ça durant l'été avec un verre sur le bord du Lac (ou ailleurs) et promis, je ne vous obligerai pas à revêtir votre costume de bain, vous ferez bien comme vous l'entendez ;)
SupprimerBises normando-thononaises