Parce que l'envie d'écrire vous prend, jusqu'à la rage parfois. Et parce qu'un jour se fait ressentir l'envie d'un écho...

jeudi 25 octobre 2012

24 octobre 2012. 01h13

Parce que les mots ne suffisaient plus
Alors, ils se sont tus.
Parce que les phrases n'avaient plus d'effet
Ils se sont juste respirés.
Sont alors revenus tous les adjectifs
Les descriptifs et les superlatifs
Ils ont juste laissé faire leurs mains
Elles ont elle-même trouvé leur chemin.
Ils ont juste laissé faire leurs bouches
Qui se sont posées par petites touches
Sur leurs peaux assoiffées
Sur leurs lèvres affamées.

22 octobre 2012. 00h52

Mon Ange, ce soir j'avais besoin de retrouver tes odeurs, de plonger en toi. J'ai donc honteusement emprunté ton vêtement de nuit. Et même si ça ne remplacera jamais ta présence, putain qu'est-ce que c'est bon d'avoir un peu de ta présence sur moi !

20 octobre 2012. 02h00

Je sais c'est hyper kitsch, mais... J'imagine un appartement totalement vitré. Au dernier étage d'une tour surplombant la ville. Le jour, la vie bat son plein. Immense fourmilière qui produit quoi ? Qui court après quoi ? Je regarde, passionnée et totalement détachée, cette agitation. 
Une tasse à la main, je me fais couler un bain, choisissant soigneusement les huiles que je vais adjoindre aux bulles.
L'odeur devra rester sur ma peau. 
Et je plongerai dans ce délice.
Choisir soigneusement mes vêtements au sortir de l'eau.
Ensemble porte-jarretelles, bas couture, robe seyante et talons hauts.
Et tu rentreras. Nous ferons l'amour face à la ville qui s'est habillée de mille et une lumières mais qui n'en continue pas moins son existence sans nous... Avec nous au sein d'elle.
Refaisant chaque caresse, reléchant chaque parcelle de nos corps. Respirant à nouveau nos peaux pour finir par oublier tout et ne voir plus que nous.       

jeudi 18 octobre 2012

17 octobre 2012. 22h59

Tu as le regard perdu
De celui qui a tant donné
Tu as le regard étonné
De celui qui a aussi reçu.
Le sourire béat
Lorsque tu revois
Nos corps se serrer, se toucher
Avant de s'égarer.
Tu as le sourire charmeur
De celui qui sort de sa torpeur
Lorsque tu te tournes vers moi
Que tu me prends dans tes bras.
J'aime ces instants
Qui suivent l'abandon
Je veux encore ces moments
Où tout n'est que frissons.

17 octobre 2012. 21h36

Y a un petit truc dans mon ventre qui me titille, qui crie, qui réclame. Ta présence, ton odeur, ta douceur.
Y a un petit truc à l'intérieur de moi qui te réclame.

17 octobre 2012. 01h34

Tu me tournes le dos. Mes doigts glissent, légers, entre tes omoplates. Ils arrivent au creux de tes reins et sont rejoins par ma bouche. Ma langue mutine  va errer du côté de la ligne séparant tes parties charnues. J'y traîne un peu, on s'y sent bien. Après un temps indéfini -le temps s'arrête lorsque j'explore ton corps...-, je repars au hasard des bosses.
Une d'entre elles me semble se tendre inexorablement. Que dois-je faire ? La taquiner ou l'abandonner à son -triste- sort ?

mardi 16 octobre 2012

15 octobre 2012. 23h28

Là, tout de suite, maintenant ? De quoi j'ai envie ? ...
D'un baiser...

14 octobre 2012. 22h19

Epuisée, la tête encore dans les étoiles, je m'en vais rejoindre celle qui ne m'a pas quittée de tout le week-end : la folie de toi.

P.S : J'ai bien noté que tu n'aimes pas les câlins dans le noir ;-)

12 octobre 2012. 09h41

Voilà, il fait beau. Et moi, je suis là, enfermée, avec pas grand-chose à faire que rêver... Au temps qui ne passe pas assez vite. A tes mains affairées ailleurs, qui brûlent peut-être de retrouver ma peau. Penser à nos peaux, justement. Electrisées lorsqu'elles se retrouvent. Affamées. Demandant plus, encore, toujours.

vendredi 12 octobre 2012

12 octobre 2012. 01h06

Te retrouver. Follement. Arrêter le temps. Oublier les heures de séparation. Les combler. Avec des baisers caresses. Avec des caresses embrasées.
Rejeter les souffrances du manque. Les remplacer par la chaleur de tes bras dans lesquels je me suis jetée. Tout abandonner. Pour tout reprendre où cela s'était arrêté lors de ton dernier départ.
Ne surtout pas penser. Que les heures, une fois de plus, seront comptées. Et que la cruelle litanie des nuits sans toi va recommencer.
Repousser au loin l'idée de nos corps désunis, déchirés. De la peau qui crie le manque de tes mains. De la bouche qui hurle le manque de tes lèvres. De mon sexe qui pleure le manque de ton sexe.

jeudi 11 octobre 2012

10 octobre 2012. 23h09

Alanguis sous la couette
Regard qui guette
Les sens qui vont s'affoler
Les caresses qui vont s'envoler.
Allongés sous les draps
Corps en embuscade
Jusqu'au moment où viendra
L'heure de la bousculade.
A moitié assoupis
Cœur en latence
Puis tout à coup revit,
Glas de la jouissance.
 

mardi 9 octobre 2012

09 octobre 2012. 01h21

Envie de me jeter à corps perdu dans la vie.
Envie de me jeter à cœur perdu dans l'amour.
Et vivre avec toi des moments insondables.
Ne surtout jamais rien regretter et continuer à égrener ces petites perles qui parsèment notre vie. Et parfois même m'éblouissent, tellement elles brillent.
Et vivre de tout avec boulimie. Les sexe jusqu'à la déraison. Les sensations à la limite de la souffrance.
Et afficher l'insolence de la sensualité et de la volupté.
Et vouloir toujours plus pour éloigner la médiocrité.

08 octobre 2014. 23h14

Espoir totalement illusoire
Que de pouvoir ici ce soir
Dans mon lit te retrouver
Et de ton parfum m'enivrer.
Rêve absolument fou
De me dire que viendra le jour
Où enfin je saurai
Que chaque nuit nous allons partager.

lundi 8 octobre 2012

07 octobre 2012. 23h04

Si tu étais à mes côtés, je me blottirais tout contre toi, je poserais mes lèvres sur les tiennes, puis je chercherais ta langue...

dimanche 7 octobre 2012

07 octobre 2012. 00h13

Je suis jalouse... Oui, parfaitement ! Jalouse ! 
Du lit dans lequel tu dors et des draps qui caressent ta peau.
De la télé à laquelle tu offres ton regard et devant laquelle tes yeux brillent peut-être.
J'envie la fourchette que tu as portée à ta bouche et qui a effleuré tes lèvres. Le couteau que tu as probablement léché.
Je haïrais presque ce canapé sur lequel tu t'es assis et qui a enveloppé tes fesses.
Et tes vêtements... Ceux qui te frôlent, qui te touchent, qui boivent ton parfum ! Ceux-là je n'en parle même pas tellement je leur en veux !
Mais le pire, c'est certainement l'oreiller au creux duquel tu poses la tête que j'aimerais sentir sur mon ventre.
Je voudrais être tous ces objets qui t'entourent, qui t'appartiennent et être à tes côtés à chaque instant.

vendredi 5 octobre 2012

05 octobre 2012. 17h15

Le sexe tendu
Le corps offert
De celui qui n'en peut plus
Et qui se laissera faire.
Le regard brillant
Le vit luisant
De celui qui attend
L'imminent éblouissement.
Le pieu dressé
Allongé sur sa couche
De celui qui réclame, pressé
De sa maîtresse, la bouche.
Ainsi je t'imagine
Attendant la coquine
Qui de toi s'occupera
Et son cul t'offrira.

04 octobre 2012. 23h21

J'aime tes yeux quand tu me regardes,
Je les aime lorsqu'ils se fardent
Des couleurs de la jouissance.
J'aime ta bouche quand elle m'effleure
Lorsqu’à ses bords affleurent
Les mots qui chassent l'absence.
J'aime tes mains quand elles caressent
Je les aime aussi lorsqu'elles me fessent
Qu'elles révèlent mes envies indécentes.
J'aime tes tétons quand ils se dressent
Lorsque soudain ton désir s'empresse
Et que nos souffles en accord s'affolent.
J'aime tes mots quand ils supplient
Au moment où nos corps se plient
Sous le poids de la volupté.
J'aime ta résistance offerte comme un cadeau
Quand tu me la cèdes sans autre mot
Qu'un "je t'aime" à mon oreille murmuré.

mercredi 3 octobre 2012

03 octobre 2012. 23h15

Vite. Prends-moi encore.
Redeviens fébrile. Avide de mon con.
Dévore moi encore. Comme si c'était la dernière fois.
Retourne moi encore. Le cœur et le corps.
Je veux sentir ton désir violent, impatient. 
Et la vague qui nous submerge, les fluides qui se mêlent.
Et l'amour qui nous inonde.

02 octobre 2012. 00h06

Pardonne-moi
D'être si envahissante
Aime-moi
Parce que je suis si envahissante.

Pardonne-moi
D'être si exigeante
Aime-moi
Parce que je suis si exigeante.

Pardonne-moi
De t'en demander tant
Aime-moi
Parce que je te demande tant.

Pardonne-moi
D'être dans toutes tes pensées
Aime-moi
Parce que je suis de toutes tes pensées.

01 octobre 2012. 23h47

Dormir. La tête sur ton épaule. Le visage aussi apaisé que celui que j'ai sur la photo de nous qui orne maintenant mon fond d'écran. Savoir que je peux compter sur toi, que tu es là. 
Merci pour toutes les réponses que tu m'as apportées depuis hier. Merci pour les pistes auxquelles tu me permets de penser. Merci d'être à mes côtés.
Je t'aime. Et plus les jours passent, plus la certitude de te vouloir encore plus s'ancre en moi.

30 septembre 2012. 23h36

Pourquoi ce manque de mots ? Ceux pour te dire combien je t'aime. Combien tout ce que l'on partage me comble de bonheur.
Te dire combien j'ai envie de partager encore plus avec toi. Des caresses tous les jours, des baisers tous les soirs. Des délires permanents. Des pleurs dans tes bras, des joies au creux de toi. Des peurs dans ton cou, du plaisir dans tes yeux.