Le vent souffle, m'empêche de dormir. tempête au dehors comme dans ma tête.
Le visage de l'esthéticienne remplacé par un autre. Et toujours, ses mains qui me massent, qui me sculptent. Et son corps qui m'effleure. Ses seins contre mes épaules, pour que ses doigts atteignent la naissance de mes fesses. Où elle s'arrête et où commencent mes fantasmes.
Et ta voix à mon oreille qui me murmure ton amour.
Je n'ai jamais été aussi troublée qu'avec toi !
Vent fraie
RépondreSupprimervendu matin...