Tu dors.
Je te regarde.
Je pourrais te laisser dans ton monde paisible mais mon ventre réclame ta queue.
La faim me tiraille.
Je dois te réveiller.
Tu dois me rassasier.
Je ne veux pas te sortir de tes songes brutalement, même si ce désir violent me déchire les entrailles. Les lanières de cuir retourné feront très bien l'affaire...
Les fils doux vont d'abord frôler ta peau. Doucement, ils caresserons ton dos. Des frissons te feront te retourner et je ferai alors errer les brins d tissu sur ton sexe dressé.
Une caresse un peu plus prononcée à l'aide de cet objet maléfique, mais oh combien lubrique, sonnera le glas de mon attente et le début des réjouissances.
Quel terrible maléfice serait que d'entendre le glas!
RépondreSupprimerPour qui sonne le gland, telle est la question :)
RépondreSupprimerPour moi, pour moi, bien évidemment !!! Mais si de joyeux drilles veulent se joindre à la partie, nous sommes ouverts (dans tous les sens du terme... Parce que je vous vois venir, mon cher Quadra ;))
RépondreSupprimerVous me voyez venir? Ohhhhh :)
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