29 avril 2011. 23h46

Je voudrais que le vent m'emporte jusqu'à toi, qu'il me mène jusqu'à tes bras.
Je voudrais que la chaleur réchauffe simultanément nos deux corps offerts.
Je voudrais que le vent apporte jusqu'à moi le son de ta voix, qu'il m'amène les mots qui réjouissent et réconfortent.
Je te voudrais, toi. Que mes envies deviennent les tiennes et que tu les clames.

28 avril 2011. 03h10

Baisers doux, tout doux.

26 avril 2011. 23h17

C'est des soirs comme ceux-là que je déteste. Lorsque mon ventre vide te réclame et que ma tête n'est même pas capable de restituer deux idées cohérentes. Que mes doigts n'ont pas tracé un seul mot dont je puisse me réjouir. Que tes bras ne sont pas là pour me réconforter. Mon seul salut : le sommeil (si je le trouve!).

25 avril 2011. 23h32

Sais-tu que j'aurais donné n'importe quoi pour être à tes côtés aujourd'hui ?
J'aurais aimé être là et trouver les mots, ou même me taire s'il avait fallu. T'offrir mon sein pour y déposer ce que tu aurais voulu, ta peine, tes lèvres... les deux...
Juste te dire qu'à chaque instant, je suis présente, je VEUX être présente. Je t'aime à chaque minute, à chaque seconde. Je suis dans chaque pore de ta peau.

24 avril 2011. 22h57

Tu es là, et tout devient beau, tout devient accessible, imaginable. Tout devient palpable. Comme si tout était envisageable, et finalement le devient.
J'ai aimé ce temps, un peu en dehors du temps, passé avec toi. Ces moments un peu improbables où j'ai touché du doigt mes limites et mes possibilités. Ces instants de vie quotidienne qui pourraient sembler n'être rien et étaient tellement. J'ai aimé t'attendre le soir, jouer cette femme au foyer, femme modèle que je ne suis pas. 
J'ai apprécié cette parenthèse qui t'aura apporté, je l'espère, autant qu'à moi. 
Je t'embrasse follement, amoureusement, excessivement. Je t'<3

19 avril 2011. 22h09

J'effleure ta peau du bout de mes lèvres. Je caresse ton visage du bout de mes doigts.
Je voudrais sentir ton souffle sur le bout de mes seins, ode à une éternelle explosion des sens.

17 avril 2011. 23h13

Lit vide, esprit vide.

Tout est vide, à part mon envie de toi à mes côtés.

14 avril 2011. 00h06

Que tu prennes mon visage entre tes mains. Que tu plonges tes yeux dans les miens. 

Que tes doigts glissent dans mes cheveux, que ta voix s'introduise en moi...

13 avril 2011. 00h13

Mon corps entre tes mains. Dessine-le moi, sculpte-le moi...
Ferme les yeux, décris-le moi. Dis-moi ce que tes mains retiendraient, ce que ta bouche goûterait.
Murmure-moi les saveurs de ma peau, les endroits où se tapissent les odeurs.
Chuchote-moi ce que tu aimes...

09 avril 2011. 23h36

J'aime ton sourire quand tu me fais jouir.
J'aime cette lueur qui brille dans tes yeux.
J'aime être dans l'attente de tes soupirs.
J'aime lorsqu'on se retrouve tous les deux.

J'aime ton regard qui glisse sur mes jambes.
J'aime ta voix qui me raconte l'impatience.
J'aime tes doigts qui se glissent dans mon entrejambe.
J'aime tous nos moments d'insouciance.

J'aime ma peau collée contre ta peau.
J'aime mes ongles qui en toi s'immiscent.
J'aime recevoir ton amour comme un cadeau.
J'aime ma langue qui se promène sur le haut de ta cuisse.

08 avril 2011. 21h30

Une langue volage,
Ce soir trop loin,
De mon corsage.

Pas de main baladeuse
Ni de mystérieux parfum
Pas de soirée joyeuse.

Quelques baisers volés
A cet instant, perdus
Que pourtant, je désirais.


Des caresses espérées
Des étreintes attendues
Cette nuit je ne dégusterai.

08 avril 2011. 00h17

Tes mains agiles
Sur mon corps fragile
Dressent une forteresse
De chaleur et de tendresse.

Tes lèvres badines
Sur mon cœur en ruines
Élèvent un rempart
Préparent une victoire

Ta bouche vampire
Sur ma chair martyre
Insuffle une passion
D'ivresse et de déraison.

07 avril 2011. 00h06

Je voudrais être le Petit Poucet et avoir semé dans tes poches quelques cailloux, quelques pensées, quelques baisers qui t'accompagneront à chaque instant et t'aideront à retrouver le chemin qui te mènera à moi... Rapidement...
Je t'embrasse fort fort fort.

05 avril 2011. 23h15

Vers un ailleurs plein de promesses, vers une Hacienda perdue au milieu de nulle part. Dans des rêves proches et lointains, dans des étreintes jusqu'au lendemain. A l'assaut de la vie, à l'assaut de nos envies... Je pars et t'emmène avec moi.

Viens, suis moi...

05 avril 2011. 01h29

J'aime imaginer le tissu de mon doigt se promenant sur les veines bleues de ta main.

Suivre ce chemin, avec lenteur.

Qui nous mène vers où ? Qui nous mène vers quoi ? Peut-être vers nous... Ou peut-être pas...

04 avril 2011. 01h44

Le château des Blandices a rouvert ses portes. Je ne me sens pas de t'envoyer à nouveau la suite, il est tard.
Que dirais-tu que je te fasse une lecture à voix haute de l'évolution de nos deux personnages et de leurs compagnons (de fortune ou d'infortune, qui sait ?) ? Je te laisse le choix des armes, si l'on peut dire...
Ta voix m'a manquée ce soir, j'ai eu comme un petit goût de ne pas avoir assez profité de toi ce matin. Je t'embrasse tendrement, amoureusement, passionnément.

03 avril 2011. 21h52

Je pose mes lèvres sur les tiennes, mes doigts sur ta peau. 

J'envoie mon souffle dans ton cou.

Je caresse ton ventre et me blottis contre toi.

Je t'embrasse délicatement et très tendrement.

02 avril 2011. 12h38

Pendant tout ce temps, Freya les a observés. Leur petit jeu lubrique l'a vraiment charmée et elle se dit que la soirée va être merveilleuse. 
Ce couple lui plaît vraiment et les gestes de la femme, d'une extrême sensualité et d'une grande douceur ont éveillés ses envies.
Elle passe sa main sous sa robe et caresse son antre, suintant du désir qu'ils lui ont procuré. Ses doigts frottent agréablement ses grandes lèvres puis elle introduit son index en elle. Son majeur s'y associe rapidement et après seulement quelques va-et-vient profonds, elle se laisse emporter par une orgasme aussi puissant que bref.

Cette petite mise en bouche a déclenché chez elle un appétit féroce qu'elle compte bien assouvir cette nuit.

02 avril 2011. 02h40

  - Un bal masqué ? l’interroge-t-elle. Et tu as également prévu des choses pour moi ? Et peut-on savoir quoi ?

  - Que dirais-tu de m’accompagner à la salle de bain ? J’ai bien besoin de récupérer de ce voyage et de me délasser un peu. Et puis, par la même occasion, tu en profiteras pour découvrir ce que je t’ai choisi pour le bal de ce soir.

Il lui adresse un clin d’œil et elle se laisse tenter par la proposition.

A peine entrés dans la pièce, il la saisit par les hanches et la colle contre lui. Elle profite de cette douce étreinte pour se remettre de toutes ses émotions et du trouble qu’elle ressent depuis le moment où ils se sont retrouvés.

Elle s’approche de ses lèvres et lui vole un baiser qu’il lui rend sans se faire prier. Elle plaque un peu plus sa poitrine contre son ventre et leurs langues s’emmêlent. Elle déboutonne lentement sa chemise et abandonne ses lèvres pour promener sa langue sur sa peau qui exhale le désir.

Elle frôle l’épaule, insiste sur le cou sur lequel elle laisse un léger sillon de salive, puis descend vers le torse, contournant rapidement chaque téton pour aiguiser un peu plus son envie. Elle continue son chemin de ronde, passant au ventre qu’elle couvre de baisers légers comme des papillons.

D’une main alerte, elle retire la ceinture du pantalon ainsi que les boutons et le laisse tomber au sol. Elle passe distraitement sa main au niveau de l’élastique des sous-vêtements puis le débarrasse de sa chemise et le fait asseoir sur un magnifique Klismos.

Le dossier de cette chaise grecque étant relativement bas, il peut se laisser aller à un massage bienfaiteur.

Elle lui caresse d’abord doucement la nuque puis y passe superficiellement ses pouces avant d’exercer une pression un peu plus forte. Elle masse légèrement son cou en décrivant de petits cercles afin de détendre ses cervicales. Elle le sent qui se décontracte sous ses doigts et glisse progressivement ses mains sur les clavicules.

Pendant ce temps, il lui effleure tendrement la cheville et remonte le long de la jambe. Les appels de son bas-ventre sont sans équivoque et elle sent monter en elle une envie qu’elle ne peut réfréner.

Elle ôte ses vêtements pour venir lui faire à nouveau face. Le visage au niveau de son sexe, il plonge entre ses jambes et sa langue s’aventure dans son intimité.

Elle ferme les yeux afin de profiter pleinement du moment. Mais elle est surprise par l’image de César qui vient s’installer devant elle. Elle les rouvre précipitamment, honteuse de pouvoir éprouver de l’attirance pour un autre homme que celui qui s’occupe délicieusement d’elle à l’instant même.

La respiration de la jeune femme se fait plus rapide, elle se sent proche de la jouissance, son fantasme ayant avivé son ivresse. Mais elle refuse de se laisser emporter si vite. Elle écarte gentiment la bouche qui l’excite tant et attire son amant sous la douche, où ils reprennent de plus belle la valse de leurs caresses.

Il la dévore du regard, fou de désir pour cette femme qui ne lui a pas encore dévoilé toutes ses subtilités. Il sait que ce week-end sera le déclencheur de quelque chose qu’il ne maîtrisera bientôt plus.

Et cette idée le grise et l’effraie à la fois.