Parce que je veux de nouveau plein de réveils auprès de toi. Pas seulement un, par ci, par là.
Parce ce que je veux revivre ces instants magiques de la vie à deux.
Parce que je me fous que ce soit dans un palace à Honolulu ou dans une cabane au fond d'un trou.
Parce que ce qui importe ce sera nous deux, partageant un quotidien qui ressemblera à la simplicité.
Parce que ce que je veux, c'est passer du temps avec toi, me lever avec toi, manger avec toi, me coucher avec toi...
Alors ici, ailleurs, je m'en fous ! Les mains dans la peinture, dans le sable, ça n'a pas d'importance ! Je veux juste être à tes côtés !
Parce que l'envie d'écrire vous prend, jusqu'à la rage parfois. Et parce qu'un jour se fait ressentir l'envie d'un écho...
mercredi 27 juin 2012
mardi 26 juin 2012
24 juin 2012. 21h47
J'aime la chaleur de ton corps contre le mien au moment de dormir. J'aime me sentir glisser dans le sommeil, ma tête posée sur toi. J'aime ce baiser que tu déposes sur mes cheveux. Ce soir, tout ça me manque.
22 juin 2012. 00h13
La fatigue est là, mais l'envie de toi plus encore.
Retrouver ton sourire, ton regard espiègle, ta bouche gourmande et ton sexe concupiscent.
Me laisser emporter à nouveau dans le tourbillon des caresses, des baisers.
Ne plus rien maîtriser, me trouver accolée contre ce mur et te sentir en moi.
Hurler mon plaisir, savourer le tien.
Retrouver ton sourire, ton regard espiègle, ta bouche gourmande et ton sexe concupiscent.
Me laisser emporter à nouveau dans le tourbillon des caresses, des baisers.
Ne plus rien maîtriser, me trouver accolée contre ce mur et te sentir en moi.
Hurler mon plaisir, savourer le tien.
jeudi 21 juin 2012
21 juin 2012. 00h55
Je plonge dans ton regard, je me perds en lui. Et je perds le fil de mes pensées, je plonge dans celui de mes envies. Celles de ta peau qui se noie dans la mienne, de ton odeur qui se mêle à mes effluves. Celles de tes mains qui naviguent sur mon corps et de tes mots qui glissent à mon oreille.
lundi 18 juin 2012
18 juin 2012. 02h45
Je tourne et je retourne. Impossible de dormir. Trop douloureux, trop fatiguée.
Tellement besoin de toi.
Tellement besoin de toi.
18 juin 2012. 01h36
Mon Ange, plus les jours passent et plus cette complicité qui nous unis m'emplit de joie.
Encore un weekend passé à tes côtés et où j'ai savouré chaque instant, aimé chaque minute.
De ces caresses volées entre deux portes à ces étreintes fougueuses au milieu de notre lit. De ces baisers câlins à ces embrasements passionnés.
Ces moments, juste à te regarder vivre, à savoir que tu étais là, même sans être forcément tout contre moi, m'ont simplement rendue heureuse.
Je t'aime.
Encore un weekend passé à tes côtés et où j'ai savouré chaque instant, aimé chaque minute.
De ces caresses volées entre deux portes à ces étreintes fougueuses au milieu de notre lit. De ces baisers câlins à ces embrasements passionnés.
Ces moments, juste à te regarder vivre, à savoir que tu étais là, même sans être forcément tout contre moi, m'ont simplement rendue heureuse.
Je t'aime.
vendredi 15 juin 2012
15 juin 2012. 01h47
La tête au creux de ton épaule, je m'éveillerai. Et j'accepterai d'ouvrir les yeux parce que je saurai que je croiserai immédiatement les tiens. Et que ta main se glissera dans la mienne, pour sortir de ce lit.
Et la journée sera belle ! Je t'aime !
Et la journée sera belle ! Je t'aime !
13 juin 2012. 23h48
Je voudrais que tu sentes mes mains qui parcourent ton corps. Et ma bouche qui s'empare de la tienne.
Je voudrais que tu sentes mon corps qui se frotte contre le tien. Et ma chaleur qui se propage en toi.
Je voudrais que tu t'empares de moi. Et que le vide se fasse autour de nous.
Je voudrais que tu sentes mon corps qui se frotte contre le tien. Et ma chaleur qui se propage en toi.
Je voudrais que tu t'empares de moi. Et que le vide se fasse autour de nous.
mercredi 13 juin 2012
12 juin 2012. 22h54
Je voudrais décrire les sensations qui m'étreignent lorsque j'effleure ton corps. Mais je n'arrive pas à trouver les mots qui correspondent à ce qui remue autant mes tripes, mon cœur.
Je pourrais énumérer chaque partie que je caresse, pour en dire sa forme, sa douceur ou sa rugosité c'est selon.
Je pourrais passer en revue l'un après l'autre chacun de tes membres, essayant d'évoquer sa beauté, sa texture, la manière dont il bouleverse mes sens. Je pourrais tenter de décrire les sentiments qu'il m'inspire.
Mais je tâtonne, je tourne autour, je papillonne, et aucune expression n'est assez forte pour exprimer cette simplicité du désir qu'il provoque en moi. Cette envie que j'ai, à chaque fois, que nous ne fassions plus qu'un.
Je pourrais énumérer chaque partie que je caresse, pour en dire sa forme, sa douceur ou sa rugosité c'est selon.
Je pourrais passer en revue l'un après l'autre chacun de tes membres, essayant d'évoquer sa beauté, sa texture, la manière dont il bouleverse mes sens. Je pourrais tenter de décrire les sentiments qu'il m'inspire.
Mais je tâtonne, je tourne autour, je papillonne, et aucune expression n'est assez forte pour exprimer cette simplicité du désir qu'il provoque en moi. Cette envie que j'ai, à chaque fois, que nous ne fassions plus qu'un.
10 juin 2012. 23h05
Merci pour mon escapade de Princesse. Je vais me coucher et essayer de retrouver la chaleur de tes bras.
vendredi 8 juin 2012
07 juin 2012. 23h43
Je suis aller chercher
Aux confins de la lune
Des caresses, des baisers
D'la tendresse de fortune.
J'ai parcouru des chemins
Qui ne menaient à rien
A vouloir à tout prix
Trouver l'amant, l'ami.
J'ai erré sans but
A quêter le point de chute
Imaginant dans chaque visage
Trouver enfin le rivage.
J'ai été emportée par la houle
Me suis perdue dans les vagues
Jusqu'à ce que mon esprit divague
Et que mes espoirs s'écroulent.
Et tu as ouvert la porte
De toute ta discrétion
Et depuis tu m'emportes
Sur les chemins de la passion
Je sais que j'ai enfin trouvé
Celui que je voulais aimer
Avec toi je veux repousser
Les limites de la volupté.
Aux confins de la lune
Des caresses, des baisers
D'la tendresse de fortune.
J'ai parcouru des chemins
Qui ne menaient à rien
A vouloir à tout prix
Trouver l'amant, l'ami.
J'ai erré sans but
A quêter le point de chute
Imaginant dans chaque visage
Trouver enfin le rivage.
J'ai été emportée par la houle
Me suis perdue dans les vagues
Jusqu'à ce que mon esprit divague
Et que mes espoirs s'écroulent.
Et tu as ouvert la porte
De toute ta discrétion
Et depuis tu m'emportes
Sur les chemins de la passion
Je sais que j'ai enfin trouvé
Celui que je voulais aimer
Avec toi je veux repousser
Les limites de la volupté.
07 juin 2012. 01h43
Je m'endors pleine de toi... Comme chaque soir.
Et tu me manques... Comme chaque nuit.
Et tu me manques... Comme chaque nuit.
06 juin 2012. 12h44
Je vais mieux. Les larmes ont dû noyer ma blessure d'orgueil et le repos me faire réaliser que tout ça a finalement bien peu d'importance !
L'important, c'est NOUS ! C'est tes yeux quand tu me regardes et que j'y lis le bonheur. C'est ta bouche quand elle emprisonne mes lèvres et que j'y sens le désir. Et c'est surtout ta présence à mes côtés.
JE T'AIME !!!
L'important, c'est NOUS ! C'est tes yeux quand tu me regardes et que j'y lis le bonheur. C'est ta bouche quand elle emprisonne mes lèvres et que j'y sens le désir. Et c'est surtout ta présence à mes côtés.
JE T'AIME !!!
05 juin 2012. 22h07
Ce soir, je ne serai capable de ne dire qu'une chose : merci. Merci d'être là dans cette épreuve, de savoir trouver les mots qui m'apaisent, de laisser couler mes maux.
Cela nous paraîtra probablement risible dans quelques temps, je me trouverais certainement ridicule. Mais au-moins, ça aura le mérite de rajouter quelques pierres à l'édifice de notre amour.
Je t'aime comme je n'ai jamais aimé.
Cela nous paraîtra probablement risible dans quelques temps, je me trouverais certainement ridicule. Mais au-moins, ça aura le mérite de rajouter quelques pierres à l'édifice de notre amour.
Je t'aime comme je n'ai jamais aimé.
05 juin 2012. 11h11
Suis en mode rien envie de faire aujourd'hui.
L'urgent a été géré. Le ce qu'il faut faire aussi. Pas envie de m'attaquer à ce qu'il faudrait faire !
L'urgent a été géré. Le ce qu'il faut faire aussi. Pas envie de m'attaquer à ce qu'il faudrait faire !
mardi 5 juin 2012
05 juin 2012. 00h30
J'ai envie de lenteur, de prendre mon temps. J'ai envie de chaleur, de moments en suspends.
De toi prenant soin de moi... Petit animal blessé. Dans son orgueil, dans sa dignité.
J'ai envie de douceur, de caresses délicieuses. J'ai envie de moiteur, de nuits langoureuses.
Juste auprès de toi...
De toi prenant soin de moi... Petit animal blessé. Dans son orgueil, dans sa dignité.
J'ai envie de douceur, de caresses délicieuses. J'ai envie de moiteur, de nuits langoureuses.
Juste auprès de toi...
03 juin 2012. 23h57
Tu as raison. Mes mots redeviendront uniquement les tiens. Ils ne toucheront plus que ta peau et la mienne et ne concerneront plus que nous.
Ils seront enfermés dans le secret de notre intimité.
Et mes caresses qui volaient vers toi ne feront plus aucun détour, et mes baisers qui venaient se poser sur ton corps et sur ta bouche ne voyageront plus qu'à travers tes yeux.
Et ensemble, bien au chaud l'un contre l'autre, nous rêverons de nouveaux ébats.
Ils seront enfermés dans le secret de notre intimité.
Et mes caresses qui volaient vers toi ne feront plus aucun détour, et mes baisers qui venaient se poser sur ton corps et sur ta bouche ne voyageront plus qu'à travers tes yeux.
Et ensemble, bien au chaud l'un contre l'autre, nous rêverons de nouveaux ébats.
01 juin 2012. 11h48
Mes mains se sont posées sur ton visage et caressent ta peau. Je redécouvre chaque angle, je suis chaque ligne.
J'embrasse tes lèvres de la pulpe de mes doigts.
Et mon ventre te réclame !
J'embrasse tes lèvres de la pulpe de mes doigts.
Et mon ventre te réclame !
01 juin 2012. 01h28
Je voulais te raconter ma vie d'avant. Celle où l'amour n'existait pas, celle où ne transpirait que l'illusion de l'amour !
Je voulais te parler des jours sans toi. Ceux où mes pensées n'étaient pas constamment court-circuitées par ton image, celle où tout passait dans l'indifférence.
Je voulais te dire mes nuits d'antan. Celles où tes mains ne caressaient pas mon corps, celles où ta bouche ne le parcourait pas de baisers.
Je voulais t'expliquer tout ça. Je me suis posée pour écrire, et rien n'est venu. Aucune image n'a pu se fixer dans mon esprit. Aucune sensation ne s'est fait ressentir.
Parce que depuis toi, tout a un sens. Et ces moments que nous vivons depuis notre rencontre se gravent à jamais en moi et me bouleversent à chaque fois que j'y repense.
Merci de rendre ma vie aussi belle et de me fabriquer des souvenirs indestructibles.
je t'aime.
Je voulais te parler des jours sans toi. Ceux où mes pensées n'étaient pas constamment court-circuitées par ton image, celle où tout passait dans l'indifférence.
Je voulais te dire mes nuits d'antan. Celles où tes mains ne caressaient pas mon corps, celles où ta bouche ne le parcourait pas de baisers.
Je voulais t'expliquer tout ça. Je me suis posée pour écrire, et rien n'est venu. Aucune image n'a pu se fixer dans mon esprit. Aucune sensation ne s'est fait ressentir.
Parce que depuis toi, tout a un sens. Et ces moments que nous vivons depuis notre rencontre se gravent à jamais en moi et me bouleversent à chaque fois que j'y repense.
Merci de rendre ma vie aussi belle et de me fabriquer des souvenirs indestructibles.
je t'aime.
31 mai 2012. 08h14
Suis d'humeur fleur bleue ce matin. Envie de me caler entre tes bras et de me laisser câliner. Juste sentir ta main dans mes cheveux et la chaleur de ton corps contre la mien.
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