Pourquoi n'es-tu pas là pour me tenir chaud, pour chasser cette migraine qui enserre ma tête ?
Je suis épuisée mon Amour. Et cette distance qui nous sépare me fait ce soir encore plus souffrir que d'habitude.
Parce que l'envie d'écrire vous prend, jusqu'à la rage parfois. Et parce qu'un jour se fait ressentir l'envie d'un écho...
dimanche 30 septembre 2012
24 septembre 2012. 01h41
Orage qui s'abat ici depuis 2 heures. Ça me donne des envies d'amour sous la pluie. L'eau qui ruisselle sur nos peaux. Ta main qui esquisse un geste tendre pour repousser les cheveux mouillés qui se collent sur mon visage. Mes tétons pointés à travers mon corsage qui trahissent mon désir. Nos corps qui se serrent. Nos vêtements humides que l'on quitte avec un peu de difficultés mais avec ardeur. Nos peaux qui s'aimantent et nos bouches qui s'amantent.
Mon sexe aussi trempé que tout ce qui nous entoure. Tes doigts qui me font la fête et mes gémissements qui se mêlent à la chanson de la pluie.
Mon sexe aussi trempé que tout ce qui nous entoure. Tes doigts qui me font la fête et mes gémissements qui se mêlent à la chanson de la pluie.
22 septembre 2012. 00h36
Tu vois, c'est étrange, mais malgré l'évolution (extrêmement positive) de notre relation, et surtout de ton angoisse de l'attachement, j'ai toujours peur de te voir fuir si je t'écris combien tu es devenu indispensable à ma vie. J'hésite encore à te dire mes envies d'avenir, mes projets dans le lointain.
dimanche 23 septembre 2012
21 septembre 2012. 01h16
J'ai mis quelques temps à découvrir ce que voulait dire aimer. Peut-être l'ai-je même fait avant d'en connaître ses véritables effets et ses magnifiques sensations.
J'ai mis longtemps à comprendre qu'aimer voulait aussi dire recevoir, se laisser aller. Donner sans rien attendre en retour me paraissait être l'unique règle.
Et puis tu es entré dans ma vie et tu m'as exhorté à m'abandonner, à cesser de penser constamment aux jugements.
Depuis je sais, je détiens la clef. C'est ton regard qui me l'a offerte, ce sont tes mots qui m'ont ouvert la voie.
Et alors ce que j'aperçois est éternel, infini, grandiose. Ce que je vois n'est que le début d'un amour sans retenue, plein de surprises et d'émerveillement. Peuplé d'étoiles qui brillent, de désir et de jouissance.
J'ai envie de toi à mes côtés mon Amour, tout à côté. Et remplir ma vie de la tienne, et remplir ta vie de la mienne.
J'ai mis longtemps à comprendre qu'aimer voulait aussi dire recevoir, se laisser aller. Donner sans rien attendre en retour me paraissait être l'unique règle.
Et puis tu es entré dans ma vie et tu m'as exhorté à m'abandonner, à cesser de penser constamment aux jugements.
Depuis je sais, je détiens la clef. C'est ton regard qui me l'a offerte, ce sont tes mots qui m'ont ouvert la voie.
Et alors ce que j'aperçois est éternel, infini, grandiose. Ce que je vois n'est que le début d'un amour sans retenue, plein de surprises et d'émerveillement. Peuplé d'étoiles qui brillent, de désir et de jouissance.
J'ai envie de toi à mes côtés mon Amour, tout à côté. Et remplir ma vie de la tienne, et remplir ta vie de la mienne.
jeudi 20 septembre 2012
20 septembre 2012. 01h14
Emmène-moi à Venise.... Ou à Chantilly... Peu importe l'endroit, j'ai juste envie d'un autre lit. Envie que tu me fasses découvrir d'autres lieux. Que tu prennes ma main et que tu dises : "aujourd'hui tu ne t'occupes de rien. J'ai tout réglé. Laisse-toi juste guider."
Et vivre ces instants pleinement, avec gourmandise. Voir l'excitation de la surprise que tu as préparée, briller dans tes yeux. Y lire aussi une petite pointe d'appréhension de ne peut-être pas avoir fait les meilleurs choix. Te rassurer en te disant que quoi que ce soit et où que ce soit, du moment où je suis avec toi et que tu as choisi pour nous, j'aimerai.
Emmène-moi à Venise... Ou à Etretat... Peu importe l'endroit.
Et vivre ces instants pleinement, avec gourmandise. Voir l'excitation de la surprise que tu as préparée, briller dans tes yeux. Y lire aussi une petite pointe d'appréhension de ne peut-être pas avoir fait les meilleurs choix. Te rassurer en te disant que quoi que ce soit et où que ce soit, du moment où je suis avec toi et que tu as choisi pour nous, j'aimerai.
Emmène-moi à Venise... Ou à Etretat... Peu importe l'endroit.
19 septembre. 00h36
Je repasse en boucle le film dans ma tête. Et comme chaque fois, les détails viennent s'ajouter à chaque nouveau "visionnage". Et je me projette sur les fois prochaines. Et je les attends avec impatience. Ces mains qui fouillent, ces bouches qui caressent, ces doigts qui embrassent et embrasent.
Et je vais fermer les yeux sur des images troublantes et alléchantes.
Je t'embrasse. Je t'aime.
Et je vais fermer les yeux sur des images troublantes et alléchantes.
Je t'embrasse. Je t'aime.
17 septembre 2012. 01h18
Malgré le corps en feu, j'ai encore envie de toi. De la chaleur de tes lèvres sur ma peau, de la douceur de ta voix, de ton regard qui me pousse à m'assumer et à me surpasser.
mais j'ai surtout besoin de ton amour et de ta présence. Ma vie et mon lit sont vides sans toi à mes côtés.
Merci pour ces moments uniques que tu m'offres.
mais j'ai surtout besoin de ton amour et de ta présence. Ma vie et mon lit sont vides sans toi à mes côtés.
Merci pour ces moments uniques que tu m'offres.
lundi 10 septembre 2012
09 septembre 2012. 23h55
Envie de chocolat. Comment résister ?
Je crois que la seule solution sera de transposer et de dévier l'envie vers une autre : celle de sexe ! Seulement, j'ai un problème... tu es loin d'être à mes côtés !
Comment faire alors ?
Comme ça, peut-être...
Je crois que la seule solution sera de transposer et de dévier l'envie vers une autre : celle de sexe ! Seulement, j'ai un problème... tu es loin d'être à mes côtés !
Comment faire alors ?
Comme ça, peut-être...
vendredi 7 septembre 2012
07 septembre 2012. 00h15
Mon Amour,
Tu as rendu mon corps dépendant du tien. Tu as profité de ces nuits sans interruption que nous avons passées ensemble pour insuffler en moi un philtre d'attachement dont il ne me viendrait même pas à l'esprit de vouloir me désenvoûter.
Au contraire, je voudrais pouvoir le renforcer et me trouver en ce moment même dans tes bras, dans cette plénitude que connaissent les amants qui viennent de se retrouver.
Tu as rendu mon corps dépendant du tien. Tu as profité de ces nuits sans interruption que nous avons passées ensemble pour insuffler en moi un philtre d'attachement dont il ne me viendrait même pas à l'esprit de vouloir me désenvoûter.
Au contraire, je voudrais pouvoir le renforcer et me trouver en ce moment même dans tes bras, dans cette plénitude que connaissent les amants qui viennent de se retrouver.
jeudi 6 septembre 2012
06 septembre 2012. 1h55
Frustration : sentiment de déshydratation intense. Impression que le cœur se recroqueville à l'intérieur d'une coquille.
Il ne demandait pas la lune, pourtant ! Juste une douce tendresse. Une petite pluie de caresses et de baisers. Eh bien, non ! C'est la grande sécheresse, injuste, imméritée ! Et j'en hurlerais, j'en ferais des caprices ! Comme ces enfants tout à coup privés de leur mère, comme tout être humain à qui l'on enlève sa raison de vivre.
Il ne demandait pas la lune, pourtant ! Juste une douce tendresse. Une petite pluie de caresses et de baisers. Eh bien, non ! C'est la grande sécheresse, injuste, imméritée ! Et j'en hurlerais, j'en ferais des caprices ! Comme ces enfants tout à coup privés de leur mère, comme tout être humain à qui l'on enlève sa raison de vivre.
05 septembre 2012. 01h00
Juste envie d'un baiser. Glissé dans mon cou. Et qui descend, pour s'évanouir au creux de mes reins. Un de ceux qui laissent des frissons parcourir le corps et des désirs naître dans la tête et sous la peau.
04 septembre 2012. 1h10
Te regarder dormir, écouter ton souffle régulier.
Attendre que tu tombes lentement dans le sommeil et faire doucement glisser mes doigts sur ta peau.
Déposer de doux baisers sur ton corps et me diriger sournoisement vers l'objet du délit, celui qui déjà frémit. Le laper, le lécher, le sucer jusqu'à le prendre en bouche définitivement. Lui faire subir de cruels va-et-vient, le dorloter, le couver à l'intérieur de mes joues.
Sentir tes muscles qui s'arquent, la peau de ton cou qui se tend sous l'ardeur du désir. Et tes mains qui me repoussent, et tes lèvres qui te délivrent pour un instant de mes assauts pour goûter ma bouche.
Tes mots enfin, qui mes réclament la délivrance. Et moi qui, de bonne grâce, m'exécute et savoure d'avance les moments à venir...
Attendre que tu tombes lentement dans le sommeil et faire doucement glisser mes doigts sur ta peau.
Déposer de doux baisers sur ton corps et me diriger sournoisement vers l'objet du délit, celui qui déjà frémit. Le laper, le lécher, le sucer jusqu'à le prendre en bouche définitivement. Lui faire subir de cruels va-et-vient, le dorloter, le couver à l'intérieur de mes joues.
Sentir tes muscles qui s'arquent, la peau de ton cou qui se tend sous l'ardeur du désir. Et tes mains qui me repoussent, et tes lèvres qui te délivrent pour un instant de mes assauts pour goûter ma bouche.
Tes mots enfin, qui mes réclament la délivrance. Et moi qui, de bonne grâce, m'exécute et savoure d'avance les moments à venir...
mardi 4 septembre 2012
02 septembre 2012. 23h09
Ça y est, je suis couchée. Prête à passer ma première nuit sans toi depuis bien longtemps.
Il va falloir se réhabituer au rythme des retrouvailles et des séparations, ré-apprivoiser le manque, dompter à nouveau la solitude et le désir. Savoir ton corps loin du mien et le caresser dans mes pensées, retrouver le goût de tes lèvres en allant le chercher dans les souvenirs.
Quelques heures loin de toi, et déjà tu me manques cruellement.
Je t'aime.
Il va falloir se réhabituer au rythme des retrouvailles et des séparations, ré-apprivoiser le manque, dompter à nouveau la solitude et le désir. Savoir ton corps loin du mien et le caresser dans mes pensées, retrouver le goût de tes lèvres en allant le chercher dans les souvenirs.
Quelques heures loin de toi, et déjà tu me manques cruellement.
Je t'aime.
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