07 janvier 2013. 23h00

Ronde des messages qui recommence. Sempiternelle ritournelle des sentiments évoqués par messagerie. Éternels refrains des "tu me manques" et "j'ai envie de tes bras" qui reviennent inlassablement. Parce que chaque nouvelle séparation est une autre déchirure. Parce que je ne peux m'empêcher de te chercher à mes côtés, d'attendre ton regard et de réclamer tes caresses, même quand tu n'es plus là. Parce que le parfum que tu as imprimé sur ma peau n'est jamais assez prégnant pour que je puisse m'en contenter. Parce que ta présence auprès de moi n'est jamais assez longue pour combler ton absence aussi longtemps qu'elle puisse durer. Parce que ta voix ne sera jamais aussi puissante que celle que j'entends lorsque tu me murmures "je t'aime" directement au creux de l'oreille.