Parce que l'envie d'écrire vous prend, jusqu'à la rage parfois. Et parce qu'un jour se fait ressentir l'envie d'un écho...
jeudi 22 décembre 2011
21 décembre 2011. 23h26
Là, tout de suite, maintenant, contre un mur, sur le bord d'un lavabo ou d'un évier, sous une porte cochère ou sur le capot d'une voiture, quel que soit l'endroit, j'ai envie de toi ! Que tu penches ma tête en arrière et que tu m'embrasses goulûment, que tes mains sur mon corps se promènent et qu'elles s'aventurent sous mon pull avant de se perdre entre mes jambes.
20 décembre 2011. 22h58
Merci pour le weekend feu d'artifice. Les images se mélangent, les sensations sont indescriptibles, j'en ai presque encore des spasmes tellement tout était beau et bon.
J'aurais besoin ce soir d'un grand moment de calme après l'ouragan, me blottir contre toi et me laisser bercer par le son de ta voix et les battements de ton cœur.
Je sais que je n'arrête pas de le dire, mais c'est encore plus fort à chaque instant : JE T'AIME !
vendredi 16 décembre 2011
16 décembre 2011. 01h14
Mon Amour, dans quelques heures je vais enfin me retrouver là où je me sens le mieux : au creux de tes bras, au creux de toi...
Et mes pensées déjà s'y trouvent et mon corps s'impatiente. De multiples preuves me font frissonner. Fébrile, je vais m'endormir.
Je t'aime et dépose un baiser dans ton cou.
Et mes pensées déjà s'y trouvent et mon corps s'impatiente. De multiples preuves me font frissonner. Fébrile, je vais m'endormir.
Je t'aime et dépose un baiser dans ton cou.
09 décembre 2011. 13h31
Je voudrais tout te donner mais tout n'est pas disponible... Alors prends-moi !
07 décembre 2011. 00h31
Partager avec toi tous ces moments anodins, qui, peut-être ne sont rien, mais qui font de nous des complices, des amants.
Vivre à tes côtés les colères et les chagrins, qui parfois brident un peu les élans, mais qui nous lient encore plus fort.
Écouter avec toi la musique de la quiétude, qui repose de ces journées de séparation, et qui nourrit des moments de déraison.
Sentir sous tes doigts la douceur, qui a su réprimer mes peurs, et qui promettent encore de grandes heures.
Vivre à tes côtés les colères et les chagrins, qui parfois brident un peu les élans, mais qui nous lient encore plus fort.
Écouter avec toi la musique de la quiétude, qui repose de ces journées de séparation, et qui nourrit des moments de déraison.
Sentir sous tes doigts la douceur, qui a su réprimer mes peurs, et qui promettent encore de grandes heures.
mardi 6 décembre 2011
05 décembre 2011. 01h10
Je te disais en fin d'après-midi que je déteste le dimanche. Je crois que c'est une journée que je n'ai jamais aimée, et je l'aime encore moins depuis nous. Elle est synonyme de fin, de séparation et je ne peux jamais la traverser sans avoir à l'esprit qu'elle va se terminer et que va arriver le moment de nous quitter. Que nous allons recommencer à compter les heures qui nous séparent. Que nos corps vont à nouveau subir la sécheresse (et le mien ressent déjà les affres de la soif dès le coin de ta rue franchi). Que nos mains vont redevenir orphelines. Que nos bouches vont se chercher sans se trouver.
Et parfois, la douleur l'emporte et la tristesse est bien trop forte. Ce soir, c'est le cas !
Je t'aime et tu me manques (ma chatte me l'a miaulé aussi... !)
Et parfois, la douleur l'emporte et la tristesse est bien trop forte. Ce soir, c'est le cas !
Je t'aime et tu me manques (ma chatte me l'a miaulé aussi... !)
02 décembre 2011. 00h24
Toi, en permanence dans mes pensées. Tu as su m'apprivoiser, dompter mes peurs, faire naître mon corps sous tes doigts. Tu as su me regarder, m'écouter et surtout me parler.
Une fois encore, j'ai envie d'écrire notre histoire, le récit de deux corps constamment entrain de se découvrir, se rechercher, se dévoiler. Et pour ça, je veux du temps. Du temps pour nous, du temps à t'offrir. Je veux profiter de tes mains, de tes caresses, de tes lèvres et de tes baisers dans mon cou, je veux être soulevée par la tempête, propulsée au-delà du réel.
Je veux être comme une enfant devant un spectacle féerique, je veux des étoiles qui brillent dans les yeux, des rires incontrôlés et pas toujours fondés, des larmes qui coulent de trop de bonheur.
Une fois de plus, emporte-moi...
Une fois encore, j'ai envie d'écrire notre histoire, le récit de deux corps constamment entrain de se découvrir, se rechercher, se dévoiler. Et pour ça, je veux du temps. Du temps pour nous, du temps à t'offrir. Je veux profiter de tes mains, de tes caresses, de tes lèvres et de tes baisers dans mon cou, je veux être soulevée par la tempête, propulsée au-delà du réel.
Je veux être comme une enfant devant un spectacle féerique, je veux des étoiles qui brillent dans les yeux, des rires incontrôlés et pas toujours fondés, des larmes qui coulent de trop de bonheur.
Une fois de plus, emporte-moi...
jeudi 1 décembre 2011
01 décembre 2011. 00h43
Toi, endormi loin de mon corps, à quoi rêves-tu ? Qui te vole à moi et me prend tes pensées ? Qui dois-je jalouser d'envahir tes songes ? Qui dois-je remercier de faire naître un sourire sur tes lèvres au milieu de la nuit ?
Toi, endormi loin de mon corps, ton sommeil est-il empli de moi ? Tes pensées volent-elles vers le galbe de mes hanches ? Tes mains se tendent-elles pour toucher le grain de ma peau ? Ta bouche s'avance-t-elle pour déposer des baisers partout sur moi ?
Toi, endormi loin de mon corps, où es-tu ?
Toi, endormi loin de mon corps, ton sommeil est-il empli de moi ? Tes pensées volent-elles vers le galbe de mes hanches ? Tes mains se tendent-elles pour toucher le grain de ma peau ? Ta bouche s'avance-t-elle pour déposer des baisers partout sur moi ?
Toi, endormi loin de mon corps, où es-tu ?
30 novembre 2011. 01h30
J'ai terriblement envie de t'appeler. Juste pour entendre le son de ta voix. Me laisser bercer et, apaisée, le cœur au repos, mon amour au creux du tien, je pourrais m'endormir.
Je t'aime.
Je t'aime.
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