Ouvrir les yeux sur ta bouche qui me dévore.
Poser les mains sur ton sexe qui me réclame.
Apposer mes lèvres sur tes tétons durcis par le désir.
Ne plus penser à rien qu'à ce tourbillon qui nous emporte, nous déporte, nous chavire.
Et goûter à nouveau les délices de la chaire.
Parce que rien n'est plus beau que ta peau contre la mienne, que ton sexe dans le mien et que nos cris perdus dans la nuit, dans le jour. Toujours.
Je t'aime. je n'aime que toi et tu emplis ma vie d'un bonheur bien trop grand pour moi mais que je ne laisserais s'échapper sous aucun prétexte.
Parce que l'envie d'écrire vous prend, jusqu'à la rage parfois. Et parce qu'un jour se fait ressentir l'envie d'un écho...
lundi 28 novembre 2011
samedi 26 novembre 2011
26 novembre 2011. 00h31
Le sommeil me guette. Mon regard se brouille et les mots sur la page s'effacent pour laisser place à ton sourire. Il me semble entendre ta voix, sentir ta présence. Est-ce ton souffle dans mon cou ? Tes mains qui effleurent mon corps et me déshabillent ? Ta bouche qui suit ma colonne pour aller se perdre dans mon sillon ? Est-ce tes yeux, plongés dans les miens, que j'ouvre difficilement ? De peur de devoir faire face au vide, inexorablement.
24 novembre 2011. 23h36
Recevoir tes caresses,
Avoir la faiblesse
De me laisser emporter
De ne savoir y résister.
T'offrir en retour
Des mots de velours
Qui envelopperont tes nuits
Qui couvriront tes envies.
Te faire vivre chaque jour
Le plus éblouissant des amours
Sentir qu'à tes côtés,
Ma place j'ai trouvé.
Ne plus rien espérer
Sauf la fin de nos corps séparés
Et nos vies enfin réunies
Pour en partager chaque nuit.
Avoir la faiblesse
De me laisser emporter
De ne savoir y résister.
T'offrir en retour
Des mots de velours
Qui envelopperont tes nuits
Qui couvriront tes envies.
Te faire vivre chaque jour
Le plus éblouissant des amours
Sentir qu'à tes côtés,
Ma place j'ai trouvé.
Ne plus rien espérer
Sauf la fin de nos corps séparés
Et nos vies enfin réunies
Pour en partager chaque nuit.
jeudi 24 novembre 2011
24 novembre 2011. 00h34
Il aurait été criminel
De laisser sommeiller
Un tel potentiel sexuel
Et tu as su réveiller
Celui qui en moi dormait
Pour faire exploser un plaisir
Qui ne cherchait qu'à s'épanouir.
Pourrais-je jamais assez te remercier
De tout le bonheur que tu m'as donné
De toutes ces jouissances vécues
Qui, je sais, ne sont qu'un début.
De laisser sommeiller
Un tel potentiel sexuel
Et tu as su réveiller
Celui qui en moi dormait
Pour faire exploser un plaisir
Qui ne cherchait qu'à s'épanouir.
Pourrais-je jamais assez te remercier
De tout le bonheur que tu m'as donné
De toutes ces jouissances vécues
Qui, je sais, ne sont qu'un début.
21 novembre 2011. 23h46
Parfois j'y pense et je me dis que j'aurais bien voulu un enfant de toi... Un petit être qui aurait grandi à l'intérieur de moi... Qui aurait eu tes yeux et mon regard.
Parfois j'y pense et je sens ta main qui aurait caressé mon ventre arrondi, cette oreille que tu aurais posée pour écouter les battements, sentir ses mouvements.
Un mélange de toi et moi... deux sensibilités recomposées qui se mêlent pour en faire naître une autre.
Parfois j'y pense et je me dis que ça aurait été bien. Et j'aime le petit bout d'homme ou de femme qui aurait été la fusion de nous.
Parfois j'y pense et je sens ta main qui aurait caressé mon ventre arrondi, cette oreille que tu aurais posée pour écouter les battements, sentir ses mouvements.
Un mélange de toi et moi... deux sensibilités recomposées qui se mêlent pour en faire naître une autre.
Parfois j'y pense et je me dis que ça aurait été bien. Et j'aime le petit bout d'homme ou de femme qui aurait été la fusion de nous.
21 novembre 2011. 00h11
Fermer les yeux. Parce que ce soir les images disent plus que les mots. Revivre chaque instant, ressentir à nouveau l'intensité de chaque caresse, la chaleur qui irradie à chaque baiser. Et nos langues qui se mêlent sur ce sexe tendu et nos bouches qui se croisent pour multiplier le plaisir.
Et s'il ne fallait retenir qu'un instant, c'est celui où tu m'as glissé à l'oreille que tu m'aimais. Sa valeur en est encore plus forte. Et si tu savais comme je t'ai aimé moi aussi durant ces heures, comme je t'ai trouvé beau. Et si tu savais comme je t'aime maintenant, comme je t'aime à chaque seconde. Tout est tellement magique à tes côtés. Serait-il possible d'en espérer plus ?
Et s'il ne fallait retenir qu'un instant, c'est celui où tu m'as glissé à l'oreille que tu m'aimais. Sa valeur en est encore plus forte. Et si tu savais comme je t'ai aimé moi aussi durant ces heures, comme je t'ai trouvé beau. Et si tu savais comme je t'aime maintenant, comme je t'aime à chaque seconde. Tout est tellement magique à tes côtés. Serait-il possible d'en espérer plus ?
18 novembre 2011. 00h26
Mon Amour, crois-tu que parfois les mots puissent être vains ? Ou tout du moins qu'ils peuvent être vaincus par la force de la réalité ? Je vis tous ces moments et je n'arrive pas à en retranscrire leur puissance. Je ne suis plus en mesure de te dire la violence de mes sentiments, de mes envies.
Et je me sens à la fois orpheline de ces phrases que je n'ai pas encore inventées, et totalement épanouie et heureuse de ce manque remplacé par ton omniprésence à mes côtés et en moi. Remplie de cette incroyable force d'amour et de tentation(s).
Je t'aime.
Et je me sens à la fois orpheline de ces phrases que je n'ai pas encore inventées, et totalement épanouie et heureuse de ce manque remplacé par ton omniprésence à mes côtés et en moi. Remplie de cette incroyable force d'amour et de tentation(s).
Je t'aime.
16 novembre 2011. 00h01
J'ai froid. Tu me manques. Pourquoi ce vide chaque soir à côté de moi ?
Pourquoi cette obligation de me rouler dans la couette comme pour créer un semblant de chaleur, un semblant de vie ?
Je sais que tu me répondras que c'est pour mieux préparer nos retrouvailles, l'embrasement de nos corps. Pour mieux emplir les silences qui auront précédés. Pour que jour après jour, notre amour, plus fort se construise.
Mais j'ai besoin de ta main dans la mienne au quotidien, besoin de ton sourire à chaque coin de mur, de tes baisers dérobés à chaque occasion. Je t'aime !
Je t'aime et je te veux.
Pourquoi cette obligation de me rouler dans la couette comme pour créer un semblant de chaleur, un semblant de vie ?
Je sais que tu me répondras que c'est pour mieux préparer nos retrouvailles, l'embrasement de nos corps. Pour mieux emplir les silences qui auront précédés. Pour que jour après jour, notre amour, plus fort se construise.
Mais j'ai besoin de ta main dans la mienne au quotidien, besoin de ton sourire à chaque coin de mur, de tes baisers dérobés à chaque occasion. Je t'aime !
Je t'aime et je te veux.
jeudi 17 novembre 2011
15 novembre 2011. 00h19
Tressaillir, bondir, bouleverser, chavirer, gémir. Dans le désordre des draps.
Cheveux fous, bouche sèche, œil brillant, Oh mon tendre amour, encore, encore !
Cheveux fous, bouche sèche, œil brillant, Oh mon tendre amour, encore, encore !
13 novembre 2011. 23h33
Tes bras, j'ai envie de tes bras. Qui se refermeront autour de mes épaules. Tes lèvres se poseront dans mon cou, se promèneront sur ma peau. Tu respireras mon odeur, profondément, et tu t’enivreras de cette odeur de parfum, mêlée à celle de mon désir. Tes mains chercheront mes seins, papillonneront sur eux.
Mon corps vers toi se tendra, mes seins te réclameront. Ma bouche voudra elle aussi goûter ta peau. Mes lèvres iront chercher l'objet de mon désir et l'aspireront goulûment parce que je l'aurai tant attendu.
Et comme d'habitude, nous nous aimerons, éperdument.
Mon corps vers toi se tendra, mes seins te réclameront. Ma bouche voudra elle aussi goûter ta peau. Mes lèvres iront chercher l'objet de mon désir et l'aspireront goulûment parce que je l'aurai tant attendu.
Et comme d'habitude, nous nous aimerons, éperdument.
08 novembre 2011. 23h12
J'entre dans la chambre, tu dors. J'ai envie de ta chaleur. J'ai envie de sentir ta peau contre ma peau. J'ai envie de partager ton corps. Je me glisse auprès de toi et pose ma tête sur ton épaule. Je voudrais simplement dormir, mais...
jeudi 10 novembre 2011
08 novembre 2011. 00h30
Mes doigts se sont perdus dans les replis de mes cuisses. J'ai fermé les yeux et je t'ai vu, seul dans ton lit.Et j'ai eu envie que nos solitudes se rejoignent. A travers mes doigts, les tiens m'ont caressée, ton sexe m'a pénétrée. Et je me suis sentie devenir féline, me suis laissé aller à la douceur des frôlements, me suis laissé emporter par la vague de l'émotion. <3
lundi 7 novembre 2011
04 novembre 2011. 00h15
Peu importe le vent qui souffle, la pluie qui cingle, mes chaussures qui prennent l'eau, ma coiffure qui ne ressemble plus à rien.
Peu importe la contrariété d'une remarque, le regard désobligeant du passant, la colère des mécontents, la mauvaise humeur ambiante.
Le rêve éveillé est ma nouvelle façon d'avancer.
Peu importe la contrariété d'une remarque, le regard désobligeant du passant, la colère des mécontents, la mauvaise humeur ambiante.
Le rêve éveillé est ma nouvelle façon d'avancer.
03 novembre 2011. 00h51
Oh mon dieu ! Que c'est dur de résister à cette envie que tu me prennes ! Maintenant ! Que tes doigts me transportent et fassent couler le miel. Que nos peaux se touchent et s'électrisent. Que nos sexes s'emboîtent et se déchaînent. Que la chaleur nous envahisse et nous fasse frissonner. Que le désir nous possède et nous emporte.
03 novembre 2011. 00h14
Je souris en pensant à ton visage, à cette sérénité qui m'habite. Je ris en pensant à nos caresses, à cette douceur qui m'envahit. Je m'envole en pensant à nos étreintes, à cette légèreté qui m'emporte. Je m'impatiente en pensant à ta bouche, à cet appétit qui me dévore.
Tu me manques.
Tu me manques.
02 novembre 2011. 00h08
Mon Amour, je dépose sur ton front ainsi que dans ton cou un baiser très spécial pour ce jour bien spécial.
Fais-moi une petite place à tes côtés afin que je t'accompagne tout au long de cette journée. Je t'aime.
Fais-moi une petite place à tes côtés afin que je t'accompagne tout au long de cette journée. Je t'aime.
02 novembre 2011. 00h05
Embrasse-moi. Pose tes lèvres humides sur mon corps plus ardent qu'un brasier.
Caresse-moi. Promène tes doigts sur mes seins tendus à l'extrême.
Parle-moi. Murmure des mots câlins à mon oreille attentive.
Prends-moi. Approche tes mains de mon sexe offert à tes envies.
Caresse-moi. Promène tes doigts sur mes seins tendus à l'extrême.
Parle-moi. Murmure des mots câlins à mon oreille attentive.
Prends-moi. Approche tes mains de mon sexe offert à tes envies.
mardi 1 novembre 2011
01 novembre 2011. 03h18
Je me suis endormie enroulée autour de ton corps. Mon nez enfoui dans ton cou. Mon bras autour de ta taille.
Merci mon Amour. Pour tout. Pour ce bonheur qui empli chaque jour ma vie. Pour ce soleil qui me réchauffe à chaque instant. Et pour toutes ces étoiles et ces étincelles qui font que notre histoire sera toujours plus belle. <3
Merci mon Amour. Pour tout. Pour ce bonheur qui empli chaque jour ma vie. Pour ce soleil qui me réchauffe à chaque instant. Et pour toutes ces étoiles et ces étincelles qui font que notre histoire sera toujours plus belle. <3
30 octobre 2011. 23h56
Des mots. Toujours plus beaux, toujours plus forts, toujours plus suggestifs. Mais ce soir je ne les trouve pas. Ils sont éclipsés par des images bien trop intenses et obsédantes.
Te rends-tu compte qu'il y a un peu plus d'une semaine seulement, je t'attendais, alanguie et aguichante sur le lit dans lequel je viens de m'allonger... Tout est tellement envoûtant à chaque fois... Et c'est toujours un nouvel émerveillement et une nouvelle surprise. Et c'est toujours une jouissance à peine croyable !
Te rends-tu compte qu'il y a un peu plus d'une semaine seulement, je t'attendais, alanguie et aguichante sur le lit dans lequel je viens de m'allonger... Tout est tellement envoûtant à chaque fois... Et c'est toujours un nouvel émerveillement et une nouvelle surprise. Et c'est toujours une jouissance à peine croyable !
27 octobre 2011. 22h25
J'aimerais savoir ce qu'est ta vie en mon absence. Je voudrais savoir si elle est comme la mienne, emplie de manques, d'heures qui s'écoulent bien trop lentement.
J'aimerais accompagner ta vie en mon absence. Je voudrais remplir tous tes vides comme tu envahis les miens, m'immiscer même dans tes pleins.
J'aimerais éclairer ta vie en mon absence. Être dans chacun de tes éclats de voix, surgir à chacun de tes éclats de rire.
J'aimerais que tu me racontes chaque battement de ta vie en mon absence. Que tu m'en dessines chaque contour et que chaque trait devienne un lien de plus entre nous. Comme chacun de mes mots est un fil doré qui m'attache à toi.
J'aimerais accompagner ta vie en mon absence. Je voudrais remplir tous tes vides comme tu envahis les miens, m'immiscer même dans tes pleins.
J'aimerais éclairer ta vie en mon absence. Être dans chacun de tes éclats de voix, surgir à chacun de tes éclats de rire.
J'aimerais que tu me racontes chaque battement de ta vie en mon absence. Que tu m'en dessines chaque contour et que chaque trait devienne un lien de plus entre nous. Comme chacun de mes mots est un fil doré qui m'attache à toi.
26 octobre 2011. 23h20
Te voir tourner la clef dans une serrure inconnue. Une clef toute petite, fine et ciselée qui donne l'impression de ne pas pouvoir tenir tête à ce chambranle. Et pourtant, la voir tourner dans son cylindre sans aucune résistance, avec une facilité déconcertante. Tenir ta main tandis que l'autre ouvre d'un air assuré la porte d'une chambre que nous ne connaissons pas mais qui abritera des étreintes pleines d'audaces. Oser d'autres choses, parce que nous serons en terrain inconnu et que nous partirons en exploration. Comme une nouvelle découverte, pleine d'autres émotions. Me recroqueviller au creux de toi et réapprendre l'amour, tous les gestes de l'amour. En douceur, lentement, pour que chaque caresse décomposée soit à jamais inscrite sur nos corps. S'aimer sauvagement, bruyamment, pour que chaque mot prononcé soit à jamais gravé dans nos cœurs.
Tu me manques et chaque moment loin de toi est une déchirure. Chaque moment de joie passé sans toi semble être une trahison.
Tu me manques et chaque moment loin de toi est une déchirure. Chaque moment de joie passé sans toi semble être une trahison.
25 octobre 2011. 22h53
J'aime quand tu lâches prise. Quand tu acceptes de t'abandonner. Lorsque enfin tu poses ta tête au creux de mon épaule, ou sur ma poitrine. Quand tu déposes ta fatigue, tes doutes, tes chagrins au creux de moi. Que tu m'offres ce fardeau et que tu me proposes tacitement d'en supporter la charge.
J'aime quand ton visage au centre de mes paumes se détend. Que tu comprends qu'à deux tout sera plus facile à vivre. Que tu me lègues tes hésitations et tes interrogations et que ta tête se fait plus lourde sur moi.
J'aime quand ton visage au centre de mes paumes se détend. Que tu comprends qu'à deux tout sera plus facile à vivre. Que tu me lègues tes hésitations et tes interrogations et que ta tête se fait plus lourde sur moi.
Inscription à :
Articles (Atom)