Parce que l'envie d'écrire vous prend, jusqu'à la rage parfois. Et parce qu'un jour se fait ressentir l'envie d'un écho...

lundi 7 novembre 2011

04 novembre 2011. 00h15

Peu importe le vent qui souffle, la pluie qui cingle, mes chaussures qui prennent l'eau, ma coiffure qui ne ressemble plus à rien.
Peu importe la contrariété d'une remarque, le regard désobligeant du passant, la colère des mécontents, la mauvaise humeur ambiante.
Le rêve éveillé est ma nouvelle façon d'avancer.

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