30 mai 2012. 23h28

Viens, allonge-toi... Le sol est un peu humide, mais ça ne fait rien. Bientôt nous l'oublierons. Bientôt ne compterons plus que nos soupirs qui se perdent dans la rumeur du soir. Rien n'aura plus d'importance que nos odeurs qui se mêlent à celle de l'humus.
Bientôt nous oublierons la petite brise qui soufflera sur nos corps, nous l'emprisonnerons dans nos caresses.
Bientôt, la lune sera notre gardienne et jettera un œil bienveillant sur nos ébats.
Bientôt nos cris déchireront la nuit.

30 mai 2012. 00h33

Réveille-moi.
Réveille-moi et dis-moi quel a été ton moment préféré du week-end et quelle est l'image qui te poursuit depuis.
Je suis dingue de toi et dingue sans toi !

29 mai 2012. 0h50

Je n'ai pas rangé ma valise. Par flemme, en partie. Mais aussi parce qu'en ne la vidant pas, je prolonge ces divins moments que nous avons, une fois de plus, partagés. 
Oui, je sais, il y a toutes les images qui sont dans la tête, mais en jetant un œil  sur tel vêtement ou sur un quelconque objet contenu dans cette valise, d'autres souvenirs ressurgissent. D'autres émotions refont à nouveau surface. Et mon ventre se souvient, et ma peau se rappelle, et mes mains caressent à nouveau, et ma bouche gémit encore.
Je ne regrette pas une seconde de ces 3 jours et je voudrais les revivre encore.
Love, love, love <3

25 mai 2012. 00h36

Quel que soit l'endroit,

Quel que soit le moment,

J'ai envie de toi,

De ces instants brûlants.

De tes mains sur mon corps,

Qui le redessinent encore,

De tes mots qui murmurent

Les paroles qui rassurent. 

Quel que soit le lieu,

Quelle que soit l'heure

Je rêve de ton orgueilleux

Que je cajolerai avec douceur.

Que je flatterai

Avec mille précautions

Pour l'achever

Dans un moment proche de la déraison

 

24 mai 2012. 00h18

Et je parcourrai vos corps de mes mains. Je les toucherai, je les palperai, je les sculpterai.
Et je parcourrai vos peaux de ma bouche. Je les découvrirai, je les apprécierai, je les dévorerai. 
Et je parcourrai vos hampes de ma langue. Je les apprivoiserai, je les dompterai, je les asservirai.
Et je me donnerai à vous. Sans autre pensée que le plaisir de partager.
H-46. Je t'aime.

22 mai 2012. 01h15

Mon corps adossé au tien, ma tête posée au creux de ton épaule. Tes lèvres dans mon cou et ta voix qui me murmure la douceur. Tes mains qui effleurent mes courbes tandis que sa bouche découvre le goût de ma peau, timidement. Sa langue qui me savoure. D'abord à la jonction de l'épaule et du cou, puis qui descend, lentement. Rencontre l'aréole d'un sein, la contourne. S'attarde dans le sillon de ma poitrine pendant que tes doigts pétrissent mes fesses. Sa bouche qui revient vers mes lèvres puis qui redescend téter avec envie un mamelon, sa main caressant l'autre. 
Et toujours tes mots à mon oreille et tes baisers sur moi...

21 mai 2012. 01h15

Ta boîte mail a pour mission de te délivrer un message de la plus haute importance ce matin !

20 mai 2012. 01h13

Dormir. Apaisée. Au creux de tes bras. A ma place. Consciente que notre amour fait notre force. Qu'il est notre chance. Notre plus belle réussite. Mais qu'il est surtout la promesse d'un avenir radieux.

Dormir. Apaisée. Loin de tes bras. Tu es tombé dans les limbes en pensant à moi. Comme je sombrerai dans le sommeil, pleine de toi. 

Dormir. Sereine. Follement amoureuse.

19 mai 2012. 02h26

Mon Ange. Je me couche avec des rêves de caresses, des envies de tendresse, de douceur et des baisers partout sur mon corps.
Je m'endors avec des visions d'érotisme sauvage, de volupté extatique et de désir animal.
Je m'assoupis avec le sexe humide, les mains tremblantes et la bouche gourmande.

18 mai 2012. 00h57

J'aurais voulu m'éveiller auprès de toi dans ce lit. Que tu arrêtes le réveil juste avant qu'il ne fasse voler mes rêves en éclats. Que tu poses tes lèvres douces, là, juste au creux de mon cou, que tu m'enlaces pour me sortir de ma torpeur.
Je t'aime <3

17 mai 2012. 21h39

J'ai envie que tu m'enlèves.

16 mai 2012. 01h36

Je déteste les soirs où le téléphone ne sonne pas. Je déteste ne pas entendre le son de ta voix. Mais, par-dessus tout, je déteste les angoisses que cela engendre chez moi.
Appelle-moi.

14 mai 2012. 23h17

Moi non plus je crois que je ne peux pas définir à quel point je t'aime. Parce que c'est au-delà de moi, au-delà de tout. Parce que je n'ai jamais connu ce bonheur de chaque instant, ce désir à temps complet.

14 mai 2012. 00h58

J'ai envie de m'endormir contre toi. Entendre ton souffle au moment où je m'enfonce dans la nuit.
Voir tes yeux au moment où j'ouvre les miens quand apparaît le jour.

11 mai 2012. 01h40

Mon cœur qui s'emballe. Vertiges. Tes mains ont enfin rejoint ma peau. Elles s'étirent en longues caresses. Douces. Lentes.

Ma tête qui s'égare. Trouble. Tes lèvres ont enfin effleuré ma bouche. Elles découvrent le goût de mon visage. Tendres. Délicates.

Ma raison qui se perd. Ivresse. Ton sexe enfin vers moi se tend. Je te lèche. Amoureuse. Légère.

09 mai 2012. 02h40

Je n'arrive pas à dormir mon Amour. Je pense à toi, à nous.
Je pense à cette envie de m'endormir dans tes bras. De sentir tes lèvres se poser sur mes cheveux.
Je pense à ma tête s'enfonçant lourdement sur ton torse à mesure que le sommeil s'empare de moi...
Je pense à toi... Et à mon envie de toi.
Love, love, love <3

08 mai 2012. 00h40

Tiens. Je te l'offre.
C'est pas grand-chose. C'est tellement.
C'est désuet. C'est tout ce que j'ai.
Tiens. Je te le donne.
Mon cœur, ma vie.
Prends-en soin. Il est fragile. Parfois il s'emballe. Pour des broutilles.
Fais attention. Il est capricieux. Quelquefois il devient fou. Pour des petits bonheurs. Au quotidien.
Méfie-toi. Il est capable de s'emballer. Pour un sourire, pour un baiser. Sous prétexte qu'il vient de toi.
Regarde-le. Bien au fond des yeux. Il te dira tout ce qu'il ressent. Au plus profond de l'âme.
Écoute-le. Il te murmurera. Tous ses espoirs. Tout son amour. 

07 mai 2012. 00h49

J'ai ouvert la valise et ton odeur m'a sauté au visage. Et j'ai eu envie de mon corps blotti contre le tien. De me faire chatte et de me rouler en boule contre toi... Essayer d'oublier que je suis aussi capable de te décevoir et que je déteste ça. Que je déteste imaginer un seul instant que les choses puissent être moins bien.
Est-ce le problème de notre relation ? Sommes-nous tellement habitués à ne vivre que le meilleur et l'extase que dès qu'un petit incident se glisse dans notre parcours, cela nous affecte démesurément ?
M'enfouir dans tes effluves, oublier et te rejoindre.
Je t'aime follement, excessivement, fabuleusement !

04 mai 2012. 01h55

Les lumières de la ville illuminent-elles notre amour de leurs plus beaux feux ?
Sont-elles la figuration de la flamme qui brûle en nous ?
Les lumières de la ville, lorsque tu les regardes, t'emmènent-elles jusqu'à moi ?

03 mai 2012. 01h28

Images. Furtives. Fugitives. Toi derrière la fenêtre regardant tomber la pluie. Moi passant mes bras autour de ta taille. Accueillant la chaleur de ton corps.
Paroles. Fugaces. Éternelles malgré tout. Toi qui me crie ton amour. Qui me parle de notre avenir.
Parfums. Ambiants. Entêtants. Des nos peaux que se désirent. De nos corps qui s'électrisent.

02 mai 2012.01h44

Tu dors. Et je rêve de me glisser dans tes draps. De faire lentement glisser mes doigts sur ta peau. Déposer de doux baisers sur ton corps et aspirer ton sexe. Le sentir doucement gonfler dans ma bouche jusqu'à ce qu'elle en soit trop petite pour le contenir en entier. Jouer alors les amazones et m'empaler sur ton vit maintenant largement éveillé.
Entendre tes gémissements de plaisir et ta voix me demander encore. Sentir tes caresses et ta bouche happer mes seins avec gourmandise. 
Ralentir le rythme pour profiter du moment. T'aimer alors jusqu'à plus soif...

01 mai 2012. 02h33

Ce matin, j'aurais eu envie de sentir ton ventre se coller contre moi. Sentir ton sexe contre mon dos. M'éveiller avec un sourire en pensant à ce qui nous attendait. Savourer ton baiser dans mon cou et me retourner pour goûter ta bouche.
Et m'offrir ton corps en guise de petit déjeuner ! 

30 avril 2012. 00h34

Mon Ange, je meurs de faim. Mon corps est meurtri par tant de jours d'absence. Le jachère n'a que trop duré. Et je hurle mon désir de tes baisers brûlants sur ma peau, de ta queue au dedans de moi !