Voilà, ça y est, nous y sommes presque. Le long voyage de la séparation touche à sa fin et celui des retrouvailles et des découvertes va pourvoir (re)commencer.
Je sais que j'aimerai tout. Nos silences, nos longues discussions. J'aimerai prendre soin de toi et te laisser t'occuper de moi. J'aimerai te regarder, te sourire, t'aimer. J'aimerai nous laisser porter. J'aimerai me laisser aimer.
Parce que l'envie d'écrire vous prend, jusqu'à la rage parfois. Et parce qu'un jour se fait ressentir l'envie d'un écho...
vendredi 29 juillet 2011
jeudi 28 juillet 2011
27 juillet 2011. 23h39
J'aurais voulu prendre ta colère et la rendre dérisoire. J'aurais voulu remplacer ton exaspération par de l'indifférence. J'aurais voulu changer ta rage en mots tendresse, mots qui caressent.
27 juillet 2011. 22h10
Tout en moi t'attend. Je t'embrasse fort, très fort et je passe derrière toi pour déposer un léger souffle d'air dans ton cou. Un petit coin un peu plus frais sur lequel tu vas poser ta main pour le réchauffer et retenir un peu de moi.
26 juillet 2011. 23h02
Bleue, la glace de mes nuits
Rouge, la chaleur qui m'irradie
Bleu, l'ennui des jours sans toi
Rouge, lorsque je rêve de tes bras.
Blancs, les moments partagés
Noires, les nuits, esseulés
Blancs, les corps à corps troublants
Noire, la séparation des amants.
Bleus, les matins sans personne
Rouges, les réveils qui étonnent
Bleu, mon corps au repos
Rouges, tes mains qui brûlent ma peau.
Blanc, les caresses qui surprennent
Noires, celles que les heures me reprennent
Blanc, l'éclair, rencontre de nos bouches
Noir, lorsque mon corps le tien ne touche.
Rouge, la chaleur qui m'irradie
Bleu, l'ennui des jours sans toi
Rouge, lorsque je rêve de tes bras.
Blancs, les moments partagés
Noires, les nuits, esseulés
Blancs, les corps à corps troublants
Noire, la séparation des amants.
Bleus, les matins sans personne
Rouges, les réveils qui étonnent
Bleu, mon corps au repos
Rouges, tes mains qui brûlent ma peau.
Blanc, les caresses qui surprennent
Noires, celles que les heures me reprennent
Blanc, l'éclair, rencontre de nos bouches
Noir, lorsque mon corps le tien ne touche.
25 juillet 2011. 22h58
Bien trop d'images, trop d'émotions que je dois taire afin de contrôler le manque.
Nos lèvres qui se scellent, long baiser qui n'en finit plus. Nos langues qui se lient, se délient. Qui se promènent sur nos corps. Ma bouche qui emprisonne ton sexe.
Nos envies, bien trop fortes pour être temporisées.
Alors, la tempête qui éclate, la folie qui s'empare de nous. Les gestes qui se font pressants, gourmands, impatients.
Les vêtements qui volent, sans prendre le temps d'être délicatement retirés. Les bouches qui se sont retrouvées, qui ne peuvent se quitter, se dévorent littéralement.
Et les soupirs, violents, troublants.
Nos lèvres qui se scellent, long baiser qui n'en finit plus. Nos langues qui se lient, se délient. Qui se promènent sur nos corps. Ma bouche qui emprisonne ton sexe.
Nos envies, bien trop fortes pour être temporisées.
Alors, la tempête qui éclate, la folie qui s'empare de nous. Les gestes qui se font pressants, gourmands, impatients.
Les vêtements qui volent, sans prendre le temps d'être délicatement retirés. Les bouches qui se sont retrouvées, qui ne peuvent se quitter, se dévorent littéralement.
Et les soupirs, violents, troublants.
25 juillet 2011. 16h31
J'ai envie de toi, de tes doigts qui s’immiscent en moi et de tes baisers partout sur moi...
24 juillet 2011. 01h32
J'ai beau essayer, je n'arrive pas à me jouer les scènes à l'avance. Pourtant, je les désire, autant que je te désire toi...
Mais ne me viennent devant les yeux que nos corps irrésistiblement attirés l'un vers l'autre, comme électrisés à chaque fois qu'ils se croisent. Nos bouches s'appelant indisciblement.
J'appelle en vain ces moments à nous, où ne sonnera pas trop tôt la cloche de fin des réjouissances. Où, comme à chaque fois, ce sera à nouveau la première fois. M'imaginer ne rien savoir de toi... te connaître par cœur. Avoir peur. D'avoir oublié. D'être trop impatiente. Découvrir de nouvelles saveurs, pas encore goûtées. Que tu retrouves l'odeur de ma peau.
Je n'entends pas encore cette musique, ce doux refrain des promesses et des heures enchanteresses.
Mais ne me viennent devant les yeux que nos corps irrésistiblement attirés l'un vers l'autre, comme électrisés à chaque fois qu'ils se croisent. Nos bouches s'appelant indisciblement.
J'appelle en vain ces moments à nous, où ne sonnera pas trop tôt la cloche de fin des réjouissances. Où, comme à chaque fois, ce sera à nouveau la première fois. M'imaginer ne rien savoir de toi... te connaître par cœur. Avoir peur. D'avoir oublié. D'être trop impatiente. Découvrir de nouvelles saveurs, pas encore goûtées. Que tu retrouves l'odeur de ma peau.
Je n'entends pas encore cette musique, ce doux refrain des promesses et des heures enchanteresses.
dimanche 24 juillet 2011
23 juillet 2011. 23h20
A supposer que tu aies envie de moi, je laisserai la porte ouverte.
En admettant que tu veuilles effleurer l'arrondi de mes épaules, je revêtirai mon voile le plus léger.
Si tu avais besoin de combler le manque, j'ouvrirai grands mes bras pour t'y accueillir.
Au cas où tu voudrais me parler de tes doutes, de tes certitudes, je t'offrirai une oreille attentive et des conseils judicieux.
Quand tu craindras le noir de tes nuits, je serai présente, attendant que tu m'appelles.
En admettant que tu veuilles effleurer l'arrondi de mes épaules, je revêtirai mon voile le plus léger.
Si tu avais besoin de combler le manque, j'ouvrirai grands mes bras pour t'y accueillir.
Au cas où tu voudrais me parler de tes doutes, de tes certitudes, je t'offrirai une oreille attentive et des conseils judicieux.
Quand tu craindras le noir de tes nuits, je serai présente, attendant que tu m'appelles.
22 juillet 2011. 10h59
Plein de mots doux et exquis sont venus caresser mon oreille ce matin.
Rassures-moi, ce n'était pas un rêve ?
Rassures-moi, ce n'était pas un rêve ?
22 juillet 2011. 02h47
Mon corps, avide de tes caresses, me fait douloureusement ressentir ton absence. Mes seins appellent tes doigts tendres et habiles.
Mon ventre, doux et chaud, réclame tes exquises attentions. Mes yeux, tristes, attendent que tu réveilles la lueur en eux. Ma bouche, sèche, implore que tu viennes l'abreuver. Mes oreilles, en veille, se languissent d'être comblées de nouvelles déclarations. Mon sexe, béant, supplie que tu l'honores.
J'en peux plus ! Je suis à l'agonie ! J'ai affreusement envie de toi !
Love <3
Mon ventre, doux et chaud, réclame tes exquises attentions. Mes yeux, tristes, attendent que tu réveilles la lueur en eux. Ma bouche, sèche, implore que tu viennes l'abreuver. Mes oreilles, en veille, se languissent d'être comblées de nouvelles déclarations. Mon sexe, béant, supplie que tu l'honores.
J'en peux plus ! Je suis à l'agonie ! J'ai affreusement envie de toi !
Love <3
vendredi 22 juillet 2011
jeudi 21 juillet 2011
20 juillet 2011. 23h46
Légèrement frustrée de ne pas t'avoir parlé plus longtemps ce soir. Finalement, on s'habitue rapidement aux bonnes (très bonnes) choses ! Tant pis, on se rattrapera demain.
Et puis, petite consolation tout de même, Petit homme m'a dit quand je suis rentrée : "Je ne veux pas dormir, maman, parce que je veux continuer à te regarder, tu es trop belle !" Si vous vous y mettez tous les deux ! Comment je vais pouvoir résister aux deux hommes de ma vie, moi ?
Euh..., comment ça, j'ai pas envie de résister ?
Ben oui, quoi, c'est trop bon !
Je t'embrasse sensuellement, amoureusement, ardemment.
Et puis, petite consolation tout de même, Petit homme m'a dit quand je suis rentrée : "Je ne veux pas dormir, maman, parce que je veux continuer à te regarder, tu es trop belle !" Si vous vous y mettez tous les deux ! Comment je vais pouvoir résister aux deux hommes de ma vie, moi ?
Euh..., comment ça, j'ai pas envie de résister ?
Ben oui, quoi, c'est trop bon !
Je t'embrasse sensuellement, amoureusement, ardemment.
mercredi 20 juillet 2011
20 juillet 2011. 00h46
J'aime la femme qui est née de tes bras, qui a éclos dans tes bras.
J'aime l'homme que tu es devenu, qui s'épanoui à mes côtés.
Je nous aime, j'aime ce que nous devenons, j'aime ce que nous promettons à l'avenir.
J'aime l'homme que tu es devenu, qui s'épanoui à mes côtés.
Je nous aime, j'aime ce que nous devenons, j'aime ce que nous promettons à l'avenir.
mardi 19 juillet 2011
19 juillet 2011. 04h30
Mes lèvres m'ont pour un temps abandonnée pour venir s'épanouir sur les tiennes. Elles y passeront certainement la nuit. N'oublie pas de me les renvoyer à ton réveil ! (Après t'être repu de leur présence et de leur douceur)
lundi 18 juillet 2011
18 juillet 2011. 19h09
Ferme les yeux et laisse-toi aller.
C'est d'abord mon parfum qui éveille tes narines. Comme dans un songe, tu veux à peine y croire.
C'est ensuite un souffle, comme un léger courant d'air qui fait naître un frisson au creux de tes reins.
C'est une baiser volatile qui vient s'égarer dans ton cou. Une bouffée de bonheur germe en ton ventre.
C'est une main qui parcourt ton visage pour te réapprendre, retrouver le sourire qui fleurit sur tes lèvres.
Ce sont des doigts qui sillonnent ton torse, qui excitent le renflement de ta poitrine.
C'est une bouche qui s'empare de la tienne, une langue qui s'immisce entre les dents, qui rencontre la tienne et lui propose une danse lascive tout en profondeur.
C'est cette même langue qui va déguster le piment de ta peau, va s'attarder sur les pointes tendues, sur le nombril vibrant, sur le sexe dressé en une courbure si particulière faite pour ma bouche.
Ce sont de longs va-et-vient, de douces caresses, de tendres baisers qui font enfler ta verge de désir.
Ce sont mes jambes qui s'enroulent autour de tes reins et nos intimités qui se retrouvent enfin.
C'est d'abord mon parfum qui éveille tes narines. Comme dans un songe, tu veux à peine y croire.
C'est ensuite un souffle, comme un léger courant d'air qui fait naître un frisson au creux de tes reins.
C'est une baiser volatile qui vient s'égarer dans ton cou. Une bouffée de bonheur germe en ton ventre.
C'est une main qui parcourt ton visage pour te réapprendre, retrouver le sourire qui fleurit sur tes lèvres.
Ce sont des doigts qui sillonnent ton torse, qui excitent le renflement de ta poitrine.
C'est une bouche qui s'empare de la tienne, une langue qui s'immisce entre les dents, qui rencontre la tienne et lui propose une danse lascive tout en profondeur.
C'est cette même langue qui va déguster le piment de ta peau, va s'attarder sur les pointes tendues, sur le nombril vibrant, sur le sexe dressé en une courbure si particulière faite pour ma bouche.
Ce sont de longs va-et-vient, de douces caresses, de tendres baisers qui font enfler ta verge de désir.
Ce sont mes jambes qui s'enroulent autour de tes reins et nos intimités qui se retrouvent enfin.
17 juillet 2011. 23h55
Parce qu'il y a des auteurs, et notamment un, que j'apprécie par-dessus tout (ou tous), qui font ça beaucoup mieux que moi... Qui trouvent les mots qui disent ce que je n'écrirais pas aussi bien. Alors, il faut que je te les fasse partager.
"Je vous reconnais. Vous étiez [celui] qui dort tout au fond du printemps, sous les feuillages jamais éteints du rêve. Je vous devinais depuis longtemps déjà, dans la fraîcheur d'une promenade, dans le bon air des grands livres ou dans la faiblesse d'un silence. Vous étiez l'espérance des grandes choses. Vous étiez la beauté de chaque jour. Vous étiez la vie même [...]
Vous m'enleviez la sagesse qui est pire que la mort. Vous me donniez la fièvre qui est la vraie santé." Christian BOBIN. Une petite robe de fête. Gallimard 1991
"Je vous reconnais. Vous étiez [celui] qui dort tout au fond du printemps, sous les feuillages jamais éteints du rêve. Je vous devinais depuis longtemps déjà, dans la fraîcheur d'une promenade, dans le bon air des grands livres ou dans la faiblesse d'un silence. Vous étiez l'espérance des grandes choses. Vous étiez la beauté de chaque jour. Vous étiez la vie même [...]
Vous m'enleviez la sagesse qui est pire que la mort. Vous me donniez la fièvre qui est la vraie santé." Christian BOBIN. Une petite robe de fête. Gallimard 1991
17 juillet 2011. 23h30
J'ai envie d'une grande balade en montagne avec toi... Trouver un petit coin sympathique où l'écho serait parfait.
Et alors je crierais à qui veut bien l'entendre combien je suis fière d'être à tes côtés. Je crierais que je t'aime. Et j'espère bien que tu me le crierais encore plus fort qu'hier afin qu'il se répercute et s'inscrive sur tous les tissus de ma peau.
Et alors je crierais à qui veut bien l'entendre combien je suis fière d'être à tes côtés. Je crierais que je t'aime. Et j'espère bien que tu me le crierais encore plus fort qu'hier afin qu'il se répercute et s'inscrive sur tous les tissus de ma peau.
dimanche 17 juillet 2011
samedi 16 juillet 2011
16 juillet 2011. 04h07
Merci de rendre beaux mes défauts.
De rendre mon corps supportable
D'avoir envie de toucher ma peau.
Merci d'éveiller mes désirs.
De rendre mon esprit affable
D'avoir envie de suivre mes délires.
Merci d'avoir ouvert la cage.
De rendre notre univers si passionné
D'avoir envie de si beaux partages.
Merci d'avoir réveillé l'envie.
De rendre mes nuits enchantées
D'avoir à nouveau accepté la vie.
Je t'aime... tant... tellement...
De rendre mon corps supportable
D'avoir envie de toucher ma peau.
Merci d'éveiller mes désirs.
De rendre mon esprit affable
D'avoir envie de suivre mes délires.
Merci d'avoir ouvert la cage.
De rendre notre univers si passionné
D'avoir envie de si beaux partages.
Merci d'avoir réveillé l'envie.
De rendre mes nuits enchantées
D'avoir à nouveau accepté la vie.
Je t'aime... tant... tellement...
16 juillet 2011. 04h04
Brûlure de l'entrejambe, suintement intense. Envie(s) terribles(s), destructrice(s). Manque cruellement une langue, des doigts, qui s'égarent, dévient, s'éloignent, reviennent.
Trouble, aliénation, fascination. Tous ces mots qui emplissent ma vie depuis quelques jours font férocement défaut dans les actes cette nuit. Oui, parce que c'est exactement comme ça que je voudrais que ça se passe ! Follement, suprêmement, immensément.
Trouble, aliénation, fascination. Tous ces mots qui emplissent ma vie depuis quelques jours font férocement défaut dans les actes cette nuit. Oui, parce que c'est exactement comme ça que je voudrais que ça se passe ! Follement, suprêmement, immensément.
jeudi 14 juillet 2011
14 juillet 2011. 00h35
Les explosions de couleurs, les chandelles, les comètes, les fusées, c'est dans tes yeux que j'aurais voulu les voir se refléter.
Les feux de Bengale, les volcans, j'aurais voulu qu'ensemble nous les allumions et les attisions.
J'aurais aimé que le tableau se termine en un bouquet de jets et de fontaines interminables qui nous auraient donné le tournis.
Je t'embrasse avec des étoiles plein les lèvres et des étincelles plein les yeux.
Je t'aime.
Les feux de Bengale, les volcans, j'aurais voulu qu'ensemble nous les allumions et les attisions.
J'aurais aimé que le tableau se termine en un bouquet de jets et de fontaines interminables qui nous auraient donné le tournis.
Je t'embrasse avec des étoiles plein les lèvres et des étincelles plein les yeux.
Je t'aime.
13 juillet 2011. 02h10
Évidemment que je me suis endormie en caressant ta peau. Que mes doigts se sont perdus dans tes cheveux. Que ma bouche est devenue gourmande au contact de la tienne. Que ma langue est devenue audacieuse au fur et à mesure que le désir s'amplifiait.
Évidemment que j'ai rêvé tout ça. Que mon esprit s'est emballé. Que mon corps s'est embrasé. Que mes cris t'ont réclamé.
Un train, en direction de Genève, ce vendredi soir ? Évidemment que cela serait un pur fantasme. Une réelle folie. Une pure envie. Mais NOUS SOMMES FOUS, absolument. Comme lors de nos 18 ans...
Laisse parler la folie...
Évidemment que j'ai rêvé tout ça. Que mon esprit s'est emballé. Que mon corps s'est embrasé. Que mes cris t'ont réclamé.
Un train, en direction de Genève, ce vendredi soir ? Évidemment que cela serait un pur fantasme. Une réelle folie. Une pure envie. Mais NOUS SOMMES FOUS, absolument. Comme lors de nos 18 ans...
Laisse parler la folie...
mercredi 13 juillet 2011
12 juillet 2011. 23h52
Je suis ivre... d'amour. Et tout cela me fait joyeusement tourner la tête. Me fait dangereusement tourner la tête.
Je suis ivre... de toutes les scènes de ce weekend. De toutes les paroles que nous avons échangées. Et tout cela me rend allégrement folle. Me rend érotiquement folle.
Je veux conserver cet état d'allégresse longtemps, très longtemps. Réinventer chaque matin avec toi. Revivre chaque nuit dans tes bras.
Je suis ivre... de ton parfum. Et pourtant pas assez saoule. Je veux encore de ce délicieux nectar dont nous nous délectons. Je veux le boire jusqu'à la lie et surtout nous trouver une bouteille sans fond !
Je t'embrasse ivrement, amoureusement, éperdument.
Je suis ivre... de toutes les scènes de ce weekend. De toutes les paroles que nous avons échangées. Et tout cela me rend allégrement folle. Me rend érotiquement folle.
Je veux conserver cet état d'allégresse longtemps, très longtemps. Réinventer chaque matin avec toi. Revivre chaque nuit dans tes bras.
Je suis ivre... de ton parfum. Et pourtant pas assez saoule. Je veux encore de ce délicieux nectar dont nous nous délectons. Je veux le boire jusqu'à la lie et surtout nous trouver une bouteille sans fond !
Je t'embrasse ivrement, amoureusement, éperdument.
mardi 12 juillet 2011
12 juillet 2011. 17h27
Chaque pensée a la saveur de ta peau, le goût de tes baisers et l'odeur de ton cou.
11 juillet 2011. 23h51
Mon Amour, tu as rendu le réel irréel.
Ou le contraire.
Tu as rendu l'inimaginable imaginable.
Tu as écouté ma faim et tu l'as aidée à se créer des fantasmes.
Mon Amour, maintenant chaque cellule de mon cerveau fourmille d'idées et de désirs.
Maintenant chaque parcelle de ma peau réclame la chaleur de la tienne.
Et je me sens tellement offerte...
Et je me sens tellement forte, et si vulnérable...
Et je te fais tellement confiance.
Ou le contraire.
Tu as rendu l'inimaginable imaginable.
Tu as écouté ma faim et tu l'as aidée à se créer des fantasmes.
Mon Amour, maintenant chaque cellule de mon cerveau fourmille d'idées et de désirs.
Maintenant chaque parcelle de ma peau réclame la chaleur de la tienne.
Et je me sens tellement offerte...
Et je me sens tellement forte, et si vulnérable...
Et je te fais tellement confiance.
lundi 11 juillet 2011
11 juillet 2011. 12h21
Ce weekend nous avons surement fait trembler la terre.
Tu as fait trembler mon désir, tu as troublé mes sens.
J'aurais eu envie de nuits qui n'en finissaient plus, de discussions encore plus interminables. J'aurais eu envie d'ébaucher d'autres scénarios encore et encore.
Merci pour tous ces cadeaux que tu m'as faits. Merci d'être toi et d'en partager le poids (qui est bien plus léger que ce que tu aurais pu imaginer). Merci de tes confidences et de tes aveux qui me font me sentir légère, belle et qui te rendent si désirable.
Tu as fait trembler mon désir, tu as troublé mes sens.
J'aurais eu envie de nuits qui n'en finissaient plus, de discussions encore plus interminables. J'aurais eu envie d'ébaucher d'autres scénarios encore et encore.
Merci pour tous ces cadeaux que tu m'as faits. Merci d'être toi et d'en partager le poids (qui est bien plus léger que ce que tu aurais pu imaginer). Merci de tes confidences et de tes aveux qui me font me sentir légère, belle et qui te rendent si désirable.
11 juillet 2011. 00h18
Sais-tu qu'à cette heure mon ventre est encore capable de réclamer tes assauts...
Malgré tout ce que tu lui as offert.
Y aurais-tu inséminé un philtre de dépendance quelconque (ou bien particulier) ?
Répond-moi vite mon sorcier, je dois trouver rapidement un antidote pour ne pas mourir de désespoir durant ses prochaines semaines !
Malgré tout ce que tu lui as offert.
Y aurais-tu inséminé un philtre de dépendance quelconque (ou bien particulier) ?
Répond-moi vite mon sorcier, je dois trouver rapidement un antidote pour ne pas mourir de désespoir durant ses prochaines semaines !
11 juillet 2011. 00h09
Je n'ai jamais ressenti le vide à côté de moi aussi cruellement que cette nuit. Comme si l'érotisme ambiant qui se dégage de nous dès que nous nous effleurons était là quelque part mais impalpable, intouchable. Comme s'il voulait m'imposer le néant de mes nuits sans toi.
Je suis triste.
Je suis heureuse de t'avoir rencontré et de vivre aussi intensément à tes côtés.
Je t'embrasse tristement, amoureusement, joyeusement.
Je suis triste.
Je suis heureuse de t'avoir rencontré et de vivre aussi intensément à tes côtés.
Je t'embrasse tristement, amoureusement, joyeusement.
dimanche 10 juillet 2011
10 juillet 2011. 21h55
Dis-le au vent, et aux passants
Dis-le aux adultes, et aux enfants.
Dis-leur que l'amour c'est juste ça
Dis-leur que l'amour c'est tellement ça.
Crie-le aux nuages, et aux éléments
Crie-le aux animaux, et aux mécréants.
Crie-leur que l'amour est une évidence
Crie-leur que l'amour est une délivrance.
Chuchote-le aux arbres, et à la terre
Chuchote-le aux fleurs, et à la mer.
Chuchote-leur que l'amour est là
Chuchote-leur que l'amour n'attend pas.
Murmure-le à mon oreille, et à mon esprit
Murmure-le à mon cerveau, et à ma vie.
Murmure-leur l'amour que tu ressens
Murmure-leur l'amour comme un présent.
Dis-le aux adultes, et aux enfants.
Dis-leur que l'amour c'est juste ça
Dis-leur que l'amour c'est tellement ça.
Crie-le aux nuages, et aux éléments
Crie-le aux animaux, et aux mécréants.
Crie-leur que l'amour est une évidence
Crie-leur que l'amour est une délivrance.
Chuchote-le aux arbres, et à la terre
Chuchote-le aux fleurs, et à la mer.
Chuchote-leur que l'amour est là
Chuchote-leur que l'amour n'attend pas.
Murmure-le à mon oreille, et à mon esprit
Murmure-le à mon cerveau, et à ma vie.
Murmure-leur l'amour que tu ressens
Murmure-leur l'amour comme un présent.
08 juillet 2011. 01h04
Mes mains se posent sur tes épaules
Mes yeux te content les heures qui s'évanouissent
Mon sexe appelle ta langue avide et chaude
Ma bouche crie les désirs qui m'envahissent.
Ma voix tremblante trahi mon impatience
Ton souffle palpitant réclame l'alliance
De nos corps embrasés
Qui ne cherchent qu'à se retrouver.
Viennent alors les heures délicieuses
D'étreintes impétueuses
De caresses divines
De nuits à la douceur angevine.
Mes yeux te content les heures qui s'évanouissent
Mon sexe appelle ta langue avide et chaude
Ma bouche crie les désirs qui m'envahissent.
Ma voix tremblante trahi mon impatience
Ton souffle palpitant réclame l'alliance
De nos corps embrasés
Qui ne cherchent qu'à se retrouver.
Viennent alors les heures délicieuses
D'étreintes impétueuses
De caresses divines
De nuits à la douceur angevine.
jeudi 7 juillet 2011
07 juillet 2011. 01h07
Appelle-moi, juste pour le plaisir de t'entendre dans mon demi sommeil. Comme si mon rêve se matérialisait.
Appelle-moi pour me dire que tu m'embrasses, que tes lèvres parcourent les courbes de mon corps, que ta main se promène sur mes seins.
Appelle-moi, que j'entrevois dans ta voix le sourire que j'aime tant voir sur tes lèvres quand j'ouvre les yeux.
Appelle-moi pour me dire que tu m'embrasses, que tes lèvres parcourent les courbes de mon corps, que ta main se promène sur mes seins.
Appelle-moi, que j'entrevois dans ta voix le sourire que j'aime tant voir sur tes lèvres quand j'ouvre les yeux.
07 juillet 2011. 01h04
J'ai envie de croiser ton regard au hasard. Me perdre en lui comme si c'était la première fois, revivant la promesse des étreintes. J'ai envie d'effleurer ta peau. Caressant chaque partie, comme si je la découvrais, revoyant un avenir plein de promesses.
J'ai envie de garder cette candeur. Te retrouver chaque fois avec la même ardeur, le désir toujours intact. Que notre faim et notre soif jamais ne se tarissent et deviennent encore plus insatiables... A l'image de mon envie de toi en ce moment même.
J'ai envie de garder cette candeur. Te retrouver chaque fois avec la même ardeur, le désir toujours intact. Que notre faim et notre soif jamais ne se tarissent et deviennent encore plus insatiables... A l'image de mon envie de toi en ce moment même.
06 juillet 2011. 01h30
Il y a des jours qui semblent s'éterniser, s'étirer longuement.
Le temps comme en suspend.
Des envies enveloppées dans du coton.
Présentes mais comme en points de suspension...
Il y a des images qui semblent s'imprimer, s'installer tranquillement.
Prenant leur place dans la ronde des souvenirs troublants.
Des désirs si présents, encore brûlants.
Qui s'inscrivent dans nos mémoires, lentement.
Il y a des questions qui trouvent des réponses
Et celles qui resteront là, mises sur pause.
Il y a des évidences qui font leur apparition,
Comme pour nous dire : "Vite, recommençons !"
Le temps comme en suspend.
Des envies enveloppées dans du coton.
Présentes mais comme en points de suspension...
Il y a des images qui semblent s'imprimer, s'installer tranquillement.
Prenant leur place dans la ronde des souvenirs troublants.
Des désirs si présents, encore brûlants.
Qui s'inscrivent dans nos mémoires, lentement.
Il y a des questions qui trouvent des réponses
Et celles qui resteront là, mises sur pause.
Il y a des évidences qui font leur apparition,
Comme pour nous dire : "Vite, recommençons !"
mardi 5 juillet 2011
04 juillet 2011. 23h21
Pauvreté des mots ce soir qui ne sauraient décrire toutes mes émotions et les images qui m'habitent.
Pauvreté des mots ce soir qui ne sauraient dire combien ton absence est difficile à gérer. Combien le dialogue m'aura manqué.
Pauvreté des mots ce soir qui ne sauraient définir à quel point je me sens seule.
Je t'embrasse délicatement, amoureusement, délicieusement.
Je t'aime <3
Pauvreté des mots ce soir qui ne sauraient dire combien ton absence est difficile à gérer. Combien le dialogue m'aura manqué.
Pauvreté des mots ce soir qui ne sauraient définir à quel point je me sens seule.
Je t'embrasse délicatement, amoureusement, délicieusement.
Je t'aime <3
03 juillet 2011. 22h36
Je viens d'enfiler ta chemise avant de me glisser dans le lit. Un sentiment bizarre, ton parfum n'y est plus tout à fait et je n'arrive pas à la garder.
Impression que l'on m'a volé mes nuits auprès de toi.
Besoin de ton odeur pour me perdre en elle, m'oublier, te retrouver.
Oublier que mon réveil se fera sans toi, que ma tête ne se posera pas au creux de ton épaule, que tes lèvres ne me souriront pas.
Je crois que j'aurais encore eu besoin d'un réveil auprès de toi, pour parler encore de ces sensations, pour parler de celles à venir. Pour évoquer nos désirs, pour définir nos envies.
Ce soir, comme tant d'autres soirs, tu me manques. Et cette absence aujourd'hui a un goût particulier.
Impression que l'on m'a volé mes nuits auprès de toi.
Besoin de ton odeur pour me perdre en elle, m'oublier, te retrouver.
Oublier que mon réveil se fera sans toi, que ma tête ne se posera pas au creux de ton épaule, que tes lèvres ne me souriront pas.
Je crois que j'aurais encore eu besoin d'un réveil auprès de toi, pour parler encore de ces sensations, pour parler de celles à venir. Pour évoquer nos désirs, pour définir nos envies.
Ce soir, comme tant d'autres soirs, tu me manques. Et cette absence aujourd'hui a un goût particulier.
30 juin 2011. 23h36
Dans tes yeux, j'ai lu une phrase éclatante que personne, pas même toi, ne pourra effacer.
Dans tes yeux, je voudrais lire l'étonnement que personne, pas même moi, n'aurait pu imaginer.
Dans tes yeux, j'ai vu le bonheur infini que personne, pas même toi, ne pourra me reprendre.
Dans tes yeux, je veux lire le calme et la sérénité qu'ensemble nous allons partager.
Je t'aime.
Dans tes yeux, je voudrais lire l'étonnement que personne, pas même moi, n'aurait pu imaginer.
Dans tes yeux, j'ai vu le bonheur infini que personne, pas même toi, ne pourra me reprendre.
Dans tes yeux, je veux lire le calme et la sérénité qu'ensemble nous allons partager.
Je t'aime.
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