A supposer que tu aies envie de moi, je laisserai la porte ouverte.
En admettant que tu veuilles effleurer l'arrondi de mes épaules, je revêtirai mon voile le plus léger.
Si tu avais besoin de combler le manque, j'ouvrirai grands mes bras pour t'y accueillir.
Au cas où tu voudrais me parler de tes doutes, de tes certitudes, je t'offrirai une oreille attentive et des conseils judicieux.
Quand tu craindras le noir de tes nuits, je serai présente, attendant que tu m'appelles.
Une bien belle offre! Y résisterait t il?
RépondreSupprimerOh que non, il n'y a pas résisté ! Et le téléphone a sonné quelques heures plus tard après ce message pour partager des envies, des folies, des rêves, des projets, des mots. Que c'était bon...
RépondreSupprimerEt pas Sage alors?
RépondreSupprimerA votre avis Ludie ? ;-)
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