Parce que l'envie d'écrire vous prend, jusqu'à la rage parfois. Et parce qu'un jour se fait ressentir l'envie d'un écho...

lundi 11 juillet 2011

11 juillet 2011. 00h09

Je n'ai jamais ressenti le vide à côté de moi aussi cruellement que cette nuit. Comme si l'érotisme ambiant qui se dégage de nous dès que nous nous effleurons était là quelque part mais impalpable, intouchable. Comme s'il voulait m'imposer le néant de mes nuits sans toi.
Je suis triste.

Je suis heureuse de t'avoir rencontré et de vivre aussi intensément à tes côtés.

Je t'embrasse tristement, amoureusement, joyeusement.

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