Réveil embrumé, après quelques heures de sommeil...
Rêve sublime qui me laisse songeuse... Toi qui me bandes les yeux, me déshabilles, puis me rhabilles.
Je te sens me glisser des sous-vêtements que je n'ai pas le droit de toucher. La douceur, comme de la soie et de la dentelle sur ma peau. Un soutien-gorge, que je devine pigeonnant.
Un string, puis un serre-taille. Les jarretelles me caressent le haut des cuisses tandis que tu fais glisser les bas sur mes jambes. Je les sais à couture, tu t'appliques à leur faire suivre la ligne de ma cuisse et de mon mollet.
Une robe ajustée sur mon corps met en valeur mon décolleté. Une paire d'escarpins à talons vertigineux complètent le tout. Tu diffuses mon parfum sur ma peau, t'assures que mon bandeau tient bien en place. Tu m'enfiles mon manteau puis tu m'entraînes jusqu'à la voiture. Je m'installe, intriguée. Vers où me mènes-tu ?
Une grosse heure de route à discuter de tout et de rien. Sensation étrange que de te tenir une conversation "à l'aveugle".
Indéniablement, ton regard me manque.
Puis la voiture ralentit. Tu t'arrêtes, sors du véhicule et viens m'aider à sortir à mon tour. Tu acceptes enfin de retirer le masque et je me retrouve devant une vieille demeure tout en pierre. Sur le perron, un homme nous attend et nous invite à le suivre.
Il nous conduit vers une chambre dans laquelle un demi dieu d'ébène nous reçoit. Il me propose le menu de mon week-end : spa, massages, jacuzzi et autant d'hommes que je souhaiterai pour répondre à mes désirs, TOUS mes désirs.
Parce que l'envie d'écrire vous prend, jusqu'à la rage parfois. Et parce qu'un jour se fait ressentir l'envie d'un écho...
lundi 3 décembre 2012
jeudi 29 novembre 2012
29 novembre 2012. 01h06
Me soumettre à l'appel de nos peaux. Me laisser guider par ta voix. T'abandonner mon corps, laisser la destinée de ma libido entre tes mains.
Répondre à la moindre de tes pulsions sans hésitation et sans résistance.
Emportée par tes désirs, sublimée par tes fantasmes.
Répondre à la moindre de tes pulsions sans hésitation et sans résistance.
Emportée par tes désirs, sublimée par tes fantasmes.
mardi 27 novembre 2012
27 novembre 2012. 00h48
Te soumettre. A mes désirs, à mes envies. A la complexité de nos nuits. Être en mesure de souffler le chaud, le froid. Mais ne choisir que la chaleur. Le torride d'un échange où tu seras dédié à me retourner. Imposer la douceur, la langueur. Contraindre à l'urgence d'une étreinte, à l'assouvissement d'une tentation animale.
lundi 26 novembre 2012
25 novembre 2012. 23h32
Tes doigts sur ma peau. Tes doigts dans mon corps. Dans tous mes orifices. Sensuels, charnels, animal.
les résurgences exquises, mutines, sournoises.
La faim insatiable, incontrôlable, plus forte que moi.
Alors le souvenir de tes doigts m'a obligée à te rappeler à moi. Je n'ai pu m'empêcher de leur céder...
Tu me rends folle.
Follement folle.
Je t'aime <3
les résurgences exquises, mutines, sournoises.
La faim insatiable, incontrôlable, plus forte que moi.
Alors le souvenir de tes doigts m'a obligée à te rappeler à moi. Je n'ai pu m'empêcher de leur céder...
Tu me rends folle.
Follement folle.
Je t'aime <3
vendredi 23 novembre 2012
23 novembre 2012. 00h10
Quelque chose de doux m'envahit soudain. Comme la caresse de tes doigts sur ma nuque. Comme le bonheur d'un de tes baisers dans mon cou. Comme la joie enfantine de ta main dans la mienne.
22 novembre 2012. 00h47
Déposer les armes un instant.
Offre-moi pour quelques heures un havre de paix où tout pourra être oublié. Où rien ou presque ne nous raccrochera à la civilisation et où nous pourrons nous centrer sur nous deux.
Offre-moi l'évasion, la surprise, la découverte.
Offre-moi une bulle de chaleur, de douceur et de bien-être.
Offre-moi pour quelques heures un havre de paix où tout pourra être oublié. Où rien ou presque ne nous raccrochera à la civilisation et où nous pourrons nous centrer sur nous deux.
Offre-moi l'évasion, la surprise, la découverte.
Offre-moi une bulle de chaleur, de douceur et de bien-être.
21 novembre 2012. 00h37
J'ai envie d'être attirante, inatteignable. J'ai envie d'être arrogante. J'ai envie que tu me croises dans la rue, que tu te retournes sur moi. J'ai envie que tu aies envie de me caresser les fesses. J'ai envie de te regarder avec un sourire énigmatique et te voir brûler de désir. J'ai envie de tes yeux qui coulent sur moi et de tes mains qui se fondent sur mon corps.
mardi 20 novembre 2012
20 novembre 2012. 00h52
Tu dors.
Je te regarde.
Je pourrais te laisser dans ton monde paisible mais mon ventre réclame ta queue.
La faim me tiraille.
Je dois te réveiller.
Tu dois me rassasier.
Je ne veux pas te sortir de tes songes brutalement, même si ce désir violent me déchire les entrailles. Les lanières de cuir retourné feront très bien l'affaire...
Les fils doux vont d'abord frôler ta peau. Doucement, ils caresserons ton dos. Des frissons te feront te retourner et je ferai alors errer les brins d tissu sur ton sexe dressé.
Une caresse un peu plus prononcée à l'aide de cet objet maléfique, mais oh combien lubrique, sonnera le glas de mon attente et le début des réjouissances.
Je te regarde.
Je pourrais te laisser dans ton monde paisible mais mon ventre réclame ta queue.
La faim me tiraille.
Je dois te réveiller.
Tu dois me rassasier.
Je ne veux pas te sortir de tes songes brutalement, même si ce désir violent me déchire les entrailles. Les lanières de cuir retourné feront très bien l'affaire...
Les fils doux vont d'abord frôler ta peau. Doucement, ils caresserons ton dos. Des frissons te feront te retourner et je ferai alors errer les brins d tissu sur ton sexe dressé.
Une caresse un peu plus prononcée à l'aide de cet objet maléfique, mais oh combien lubrique, sonnera le glas de mon attente et le début des réjouissances.
lundi 19 novembre 2012
18 novembre 2012. 23h35
J'aurais voulu que ces moments n'existent pas. J'aurais voulu qu'ils ne soient qu'un mauvais rêve. J'aurais voulu que tu ne voies pas les larmes couler sur mes joues. Que la tristesse et la colère ne nous aient pas accompagné.
Mais tu as raison, il va maintenant falloir faire avec. Renforcer en core ce lien si fort qui nous uni pour faire face à l'incompréhension, à l'impatience et au doute.
Je sais que nous en sommes capables, et que nous arriverons à construire ce dont nous rêvons...
Mais tu as raison, il va maintenant falloir faire avec. Renforcer en core ce lien si fort qui nous uni pour faire face à l'incompréhension, à l'impatience et au doute.
Je sais que nous en sommes capables, et que nous arriverons à construire ce dont nous rêvons...
samedi 17 novembre 2012
16 novembre 2012. 23h15
5 jours.
5 jours que la vie tournait au ralenti. Que les minutes paraissaient des heures, que les jours n'en finissaient plus de s'écouler.
5 jours qui m'ont paru une éternité. Comment le temps qui peut s'égrainer si vite en ta présence, peut-il me paraître si long sans toi ?
5 jours...
Mais je vais enfin te retrouver. Sentir le désir qui va nous dévorer, la luxure qui va nous happer.
La tête qui va à nouveau tourner et le temps que se transformera à nouveau en secondes.
5 jours que la vie tournait au ralenti. Que les minutes paraissaient des heures, que les jours n'en finissaient plus de s'écouler.
5 jours qui m'ont paru une éternité. Comment le temps qui peut s'égrainer si vite en ta présence, peut-il me paraître si long sans toi ?
5 jours...
Mais je vais enfin te retrouver. Sentir le désir qui va nous dévorer, la luxure qui va nous happer.
La tête qui va à nouveau tourner et le temps que se transformera à nouveau en secondes.
vendredi 16 novembre 2012
15 novembre 2012. 23h50
Je les ai tous installés
Ces êtres de poil inanimés
Allongés à mes côtés
Pour croire que c'était toi qui t'y trouvais.
J'ai essayé de retrouver ta chaleur
De faire taire mes pleurs
Cette absence tout autour de moi
Ce vide au fond de moi.
J'ai froid
J'ai froid
J'ai froid
J'ai froid !
Ces êtres de poil inanimés
Allongés à mes côtés
Pour croire que c'était toi qui t'y trouvais.
J'ai essayé de retrouver ta chaleur
De faire taire mes pleurs
Cette absence tout autour de moi
Ce vide au fond de moi.
J'ai froid
J'ai froid
J'ai froid
J'ai froid !
15 novembre 2012. 16h12
Temps d'automne gris, froid, humide. Détestable !
Une seule solution : me glisser sous une couette et rêver à tout ce qu'on pourrait encore vivre...
Une seule solution : me glisser sous une couette et rêver à tout ce qu'on pourrait encore vivre...
15 novembre 2012. 01h24
Je voudrais inscrire
Des mots
Sur ta peau.
Ceux que tu m'inspires
Ceux que tu me suggères
Qui me mettent à découvert.
Ceux qui me révèlent
Qui me rendent encore plus belle.
Je veux y écrire
Tout le plaisir
Qu'une langue peut procurer
Qu'une caresse peut apporter.
Retranscrire sur ton corps
La rage de nos rapports
La tendresse de nos baisers
L'émotion de se courtiser.
Des mots
Sur ta peau.
Ceux que tu m'inspires
Ceux que tu me suggères
Qui me mettent à découvert.
Ceux qui me révèlent
Qui me rendent encore plus belle.
Je veux y écrire
Tout le plaisir
Qu'une langue peut procurer
Qu'une caresse peut apporter.
Retranscrire sur ton corps
La rage de nos rapports
La tendresse de nos baisers
L'émotion de se courtiser.
13 novembre 2012. 00h13
J'avais oublié combien c'est dur de me coucher sans toi. De ne pas sentir la chaleur de ton corps dans mon dos. De ne plus entendre ton souffle régulier. De savoir que ma journée va commencer sans ton baiser et qu'elle finira sans tes bras.
J'avais oublié combien c'est douloureux et triste. Tu me manques.
J'avais oublié combien c'est douloureux et triste. Tu me manques.
jeudi 25 octobre 2012
24 octobre 2012. 01h13
Parce que les mots ne suffisaient plus
Alors, ils se sont tus.
Parce que les phrases n'avaient plus d'effet
Ils se sont juste respirés.
Sont alors revenus tous les adjectifs
Les descriptifs et les superlatifs
Ils ont juste laissé faire leurs mains
Elles ont elle-même trouvé leur chemin.
Ils ont juste laissé faire leurs bouches
Qui se sont posées par petites touches
Sur leurs peaux assoiffées
Sur leurs lèvres affamées.
Alors, ils se sont tus.
Parce que les phrases n'avaient plus d'effet
Ils se sont juste respirés.
Sont alors revenus tous les adjectifs
Les descriptifs et les superlatifs
Ils ont juste laissé faire leurs mains
Elles ont elle-même trouvé leur chemin.
Ils ont juste laissé faire leurs bouches
Qui se sont posées par petites touches
Sur leurs peaux assoiffées
Sur leurs lèvres affamées.
22 octobre 2012. 00h52
Mon Ange, ce soir j'avais besoin de retrouver tes odeurs, de plonger en toi. J'ai donc honteusement emprunté ton vêtement de nuit. Et même si ça ne remplacera jamais ta présence, putain qu'est-ce que c'est bon d'avoir un peu de ta présence sur moi !
20 octobre 2012. 02h00
Je sais c'est hyper kitsch, mais... J'imagine un appartement totalement vitré. Au dernier étage d'une tour surplombant la ville. Le jour, la vie bat son plein. Immense fourmilière qui produit quoi ? Qui court après quoi ? Je regarde, passionnée et totalement détachée, cette agitation.
Une tasse à la main, je me fais couler un bain, choisissant soigneusement les huiles que je vais adjoindre aux bulles.
L'odeur devra rester sur ma peau.
Et je plongerai dans ce délice.
Choisir soigneusement mes vêtements au sortir de l'eau.
Ensemble porte-jarretelles, bas couture, robe seyante et talons hauts.
Et tu rentreras. Nous ferons l'amour face à la ville qui s'est habillée de mille et une lumières mais qui n'en continue pas moins son existence sans nous... Avec nous au sein d'elle.
Refaisant chaque caresse, reléchant chaque parcelle de nos corps. Respirant à nouveau nos peaux pour finir par oublier tout et ne voir plus que nous.
Une tasse à la main, je me fais couler un bain, choisissant soigneusement les huiles que je vais adjoindre aux bulles.
L'odeur devra rester sur ma peau.
Et je plongerai dans ce délice.
Choisir soigneusement mes vêtements au sortir de l'eau.
Ensemble porte-jarretelles, bas couture, robe seyante et talons hauts.
Et tu rentreras. Nous ferons l'amour face à la ville qui s'est habillée de mille et une lumières mais qui n'en continue pas moins son existence sans nous... Avec nous au sein d'elle.
Refaisant chaque caresse, reléchant chaque parcelle de nos corps. Respirant à nouveau nos peaux pour finir par oublier tout et ne voir plus que nous.
jeudi 18 octobre 2012
17 octobre 2012. 22h59
Tu as le regard perdu
De celui qui a tant donné
Tu as le regard étonné
De celui qui a aussi reçu.
Le sourire béat
Lorsque tu revois
Nos corps se serrer, se toucher
Avant de s'égarer.
Tu as le sourire charmeur
De celui qui sort de sa torpeur
Lorsque tu te tournes vers moi
Que tu me prends dans tes bras.
J'aime ces instants
Qui suivent l'abandon
Je veux encore ces moments
Où tout n'est que frissons.
De celui qui a tant donné
Tu as le regard étonné
De celui qui a aussi reçu.
Le sourire béat
Lorsque tu revois
Nos corps se serrer, se toucher
Avant de s'égarer.
Tu as le sourire charmeur
De celui qui sort de sa torpeur
Lorsque tu te tournes vers moi
Que tu me prends dans tes bras.
J'aime ces instants
Qui suivent l'abandon
Je veux encore ces moments
Où tout n'est que frissons.
17 octobre 2012. 21h36
Y a un petit truc dans mon ventre qui me titille, qui crie, qui réclame. Ta présence, ton odeur, ta douceur.
Y a un petit truc à l'intérieur de moi qui te réclame.
Y a un petit truc à l'intérieur de moi qui te réclame.
17 octobre 2012. 01h34
Tu me tournes le dos. Mes doigts glissent, légers, entre tes omoplates. Ils arrivent au creux de tes reins et sont rejoins par ma bouche. Ma langue mutine va errer du côté de la ligne séparant tes parties charnues. J'y traîne un peu, on s'y sent bien. Après un temps indéfini -le temps s'arrête lorsque j'explore ton corps...-, je repars au hasard des bosses.
Une d'entre elles me semble se tendre inexorablement. Que dois-je faire ? La taquiner ou l'abandonner à son -triste- sort ?
Une d'entre elles me semble se tendre inexorablement. Que dois-je faire ? La taquiner ou l'abandonner à son -triste- sort ?
mardi 16 octobre 2012
14 octobre 2012. 22h19
Epuisée, la tête encore dans les étoiles, je m'en vais rejoindre celle qui ne m'a pas quittée de tout le week-end : la folie de toi.
P.S : J'ai bien noté que tu n'aimes pas les câlins dans le noir ;-)
P.S : J'ai bien noté que tu n'aimes pas les câlins dans le noir ;-)
12 octobre 2012. 09h41
Voilà, il fait beau. Et moi, je suis là, enfermée, avec pas grand-chose à faire que rêver... Au temps qui ne passe pas assez vite. A tes mains affairées ailleurs, qui brûlent peut-être de retrouver ma peau. Penser à nos peaux, justement. Electrisées lorsqu'elles se retrouvent. Affamées. Demandant plus, encore, toujours.
vendredi 12 octobre 2012
12 octobre 2012. 01h06
Te retrouver. Follement. Arrêter le temps. Oublier les heures de séparation. Les combler. Avec des baisers caresses. Avec des caresses embrasées.
Rejeter les souffrances du manque. Les remplacer par la chaleur de tes bras dans lesquels je me suis jetée. Tout abandonner. Pour tout reprendre où cela s'était arrêté lors de ton dernier départ.
Ne surtout pas penser. Que les heures, une fois de plus, seront comptées. Et que la cruelle litanie des nuits sans toi va recommencer.
Repousser au loin l'idée de nos corps désunis, déchirés. De la peau qui crie le manque de tes mains. De la bouche qui hurle le manque de tes lèvres. De mon sexe qui pleure le manque de ton sexe.
Rejeter les souffrances du manque. Les remplacer par la chaleur de tes bras dans lesquels je me suis jetée. Tout abandonner. Pour tout reprendre où cela s'était arrêté lors de ton dernier départ.
Ne surtout pas penser. Que les heures, une fois de plus, seront comptées. Et que la cruelle litanie des nuits sans toi va recommencer.
Repousser au loin l'idée de nos corps désunis, déchirés. De la peau qui crie le manque de tes mains. De la bouche qui hurle le manque de tes lèvres. De mon sexe qui pleure le manque de ton sexe.
jeudi 11 octobre 2012
10 octobre 2012. 23h09
Alanguis sous la couette
Regard qui guette
Les sens qui vont s'affoler
Les caresses qui vont s'envoler.
Allongés sous les draps
Corps en embuscade
Jusqu'au moment où viendra
L'heure de la bousculade.
A moitié assoupis
Cœur en latence
Puis tout à coup revit,
Glas de la jouissance.
Regard qui guette
Les sens qui vont s'affoler
Les caresses qui vont s'envoler.
Allongés sous les draps
Corps en embuscade
Jusqu'au moment où viendra
L'heure de la bousculade.
A moitié assoupis
Cœur en latence
Puis tout à coup revit,
Glas de la jouissance.
mardi 9 octobre 2012
09 octobre 2012. 01h21
Envie de me jeter à corps perdu dans la vie.
Envie de me jeter à cœur perdu dans l'amour.
Et vivre avec toi des moments insondables.
Ne surtout jamais rien regretter et continuer à égrener ces petites perles qui parsèment notre vie. Et parfois même m'éblouissent, tellement elles brillent.
Et vivre de tout avec boulimie. Les sexe jusqu'à la déraison. Les sensations à la limite de la souffrance.
Et afficher l'insolence de la sensualité et de la volupté.
Et vouloir toujours plus pour éloigner la médiocrité.
Envie de me jeter à cœur perdu dans l'amour.
Et vivre avec toi des moments insondables.
Ne surtout jamais rien regretter et continuer à égrener ces petites perles qui parsèment notre vie. Et parfois même m'éblouissent, tellement elles brillent.
Et vivre de tout avec boulimie. Les sexe jusqu'à la déraison. Les sensations à la limite de la souffrance.
Et afficher l'insolence de la sensualité et de la volupté.
Et vouloir toujours plus pour éloigner la médiocrité.
08 octobre 2014. 23h14
Espoir totalement illusoire
Que de pouvoir ici ce soir
Dans mon lit te retrouver
Et de ton parfum m'enivrer.
Rêve absolument fou
De me dire que viendra le jour
Où enfin je saurai
Que chaque nuit nous allons partager.
Que de pouvoir ici ce soir
Dans mon lit te retrouver
Et de ton parfum m'enivrer.
Rêve absolument fou
De me dire que viendra le jour
Où enfin je saurai
Que chaque nuit nous allons partager.
lundi 8 octobre 2012
07 octobre 2012. 23h04
Si tu étais à mes côtés, je me blottirais tout contre toi, je poserais mes lèvres sur les tiennes, puis je chercherais ta langue...
dimanche 7 octobre 2012
07 octobre 2012. 00h13
Je suis jalouse... Oui, parfaitement ! Jalouse !
Du lit dans lequel tu dors et des draps qui caressent ta peau.
De la télé à laquelle tu offres ton regard et devant laquelle tes yeux brillent peut-être.
J'envie la fourchette que tu as portée à ta bouche et qui a effleuré tes lèvres. Le couteau que tu as probablement léché.
Je haïrais presque ce canapé sur lequel tu t'es assis et qui a enveloppé tes fesses.
Et tes vêtements... Ceux qui te frôlent, qui te touchent, qui boivent ton parfum ! Ceux-là je n'en parle même pas tellement je leur en veux !
Mais le pire, c'est certainement l'oreiller au creux duquel tu poses la tête que j'aimerais sentir sur mon ventre.
Je voudrais être tous ces objets qui t'entourent, qui t'appartiennent et être à tes côtés à chaque instant.
Du lit dans lequel tu dors et des draps qui caressent ta peau.
De la télé à laquelle tu offres ton regard et devant laquelle tes yeux brillent peut-être.
J'envie la fourchette que tu as portée à ta bouche et qui a effleuré tes lèvres. Le couteau que tu as probablement léché.
Je haïrais presque ce canapé sur lequel tu t'es assis et qui a enveloppé tes fesses.
Et tes vêtements... Ceux qui te frôlent, qui te touchent, qui boivent ton parfum ! Ceux-là je n'en parle même pas tellement je leur en veux !
Mais le pire, c'est certainement l'oreiller au creux duquel tu poses la tête que j'aimerais sentir sur mon ventre.
Je voudrais être tous ces objets qui t'entourent, qui t'appartiennent et être à tes côtés à chaque instant.
vendredi 5 octobre 2012
05 octobre 2012. 17h15
Le sexe tendu
Le corps offert
De celui qui n'en peut plus
Et qui se laissera faire.
Le regard brillant
Le vit luisant
De celui qui attend
L'imminent éblouissement.
Le pieu dressé
Allongé sur sa couche
De celui qui réclame, pressé
De sa maîtresse, la bouche.
Ainsi je t'imagine
Attendant la coquine
Qui de toi s'occupera
Et son cul t'offrira.
Le corps offert
De celui qui n'en peut plus
Et qui se laissera faire.
Le regard brillant
Le vit luisant
De celui qui attend
L'imminent éblouissement.
Le pieu dressé
Allongé sur sa couche
De celui qui réclame, pressé
De sa maîtresse, la bouche.
Ainsi je t'imagine
Attendant la coquine
Qui de toi s'occupera
Et son cul t'offrira.
04 octobre 2012. 23h21
J'aime tes yeux quand tu me regardes,
Je les aime lorsqu'ils se fardent
Des couleurs de la jouissance.
J'aime ta bouche quand elle m'effleure
Lorsqu’à ses bords affleurent
Les mots qui chassent l'absence.
J'aime tes mains quand elles caressent
Je les aime aussi lorsqu'elles me fessent
Qu'elles révèlent mes envies indécentes.
J'aime tes tétons quand ils se dressent
Lorsque soudain ton désir s'empresse
Et que nos souffles en accord s'affolent.
J'aime tes mots quand ils supplient
Au moment où nos corps se plient
Sous le poids de la volupté.
J'aime ta résistance offerte comme un cadeau
Quand tu me la cèdes sans autre mot
Qu'un "je t'aime" à mon oreille murmuré.
Je les aime lorsqu'ils se fardent
Des couleurs de la jouissance.
J'aime ta bouche quand elle m'effleure
Lorsqu’à ses bords affleurent
Les mots qui chassent l'absence.
J'aime tes mains quand elles caressent
Je les aime aussi lorsqu'elles me fessent
Qu'elles révèlent mes envies indécentes.
J'aime tes tétons quand ils se dressent
Lorsque soudain ton désir s'empresse
Et que nos souffles en accord s'affolent.
J'aime tes mots quand ils supplient
Au moment où nos corps se plient
Sous le poids de la volupté.
J'aime ta résistance offerte comme un cadeau
Quand tu me la cèdes sans autre mot
Qu'un "je t'aime" à mon oreille murmuré.
mercredi 3 octobre 2012
03 octobre 2012. 23h15
Vite. Prends-moi encore.
Redeviens fébrile. Avide de mon con.
Dévore moi encore. Comme si c'était la dernière fois.
Retourne moi encore. Le cœur et le corps.
Je veux sentir ton désir violent, impatient.
Et la vague qui nous submerge, les fluides qui se mêlent.
Et l'amour qui nous inonde.
Redeviens fébrile. Avide de mon con.
Dévore moi encore. Comme si c'était la dernière fois.
Retourne moi encore. Le cœur et le corps.
Je veux sentir ton désir violent, impatient.
Et la vague qui nous submerge, les fluides qui se mêlent.
Et l'amour qui nous inonde.
02 octobre 2012. 00h06
Pardonne-moi
D'être si envahissante
Aime-moi
Parce que je suis si envahissante.
Pardonne-moi
D'être si exigeante
Aime-moi
Parce que je suis si exigeante.
Pardonne-moi
De t'en demander tant
Aime-moi
Parce que je te demande tant.
Pardonne-moi
D'être dans toutes tes pensées
Aime-moi
Parce que je suis de toutes tes pensées.
D'être si envahissante
Aime-moi
Parce que je suis si envahissante.
Pardonne-moi
D'être si exigeante
Aime-moi
Parce que je suis si exigeante.
Pardonne-moi
De t'en demander tant
Aime-moi
Parce que je te demande tant.
Pardonne-moi
D'être dans toutes tes pensées
Aime-moi
Parce que je suis de toutes tes pensées.
01 octobre 2012. 23h47
Dormir. La tête sur ton épaule. Le visage aussi apaisé que celui que j'ai sur la photo de nous qui orne maintenant mon fond d'écran. Savoir que je peux compter sur toi, que tu es là.
Merci pour toutes les réponses que tu m'as apportées depuis hier. Merci pour les pistes auxquelles tu me permets de penser. Merci d'être à mes côtés.
Je t'aime. Et plus les jours passent, plus la certitude de te vouloir encore plus s'ancre en moi.
Merci pour toutes les réponses que tu m'as apportées depuis hier. Merci pour les pistes auxquelles tu me permets de penser. Merci d'être à mes côtés.
Je t'aime. Et plus les jours passent, plus la certitude de te vouloir encore plus s'ancre en moi.
30 septembre 2012. 23h36
Pourquoi ce manque de mots ? Ceux pour te dire combien je t'aime. Combien tout ce que l'on partage me comble de bonheur.
Te dire combien j'ai envie de partager encore plus avec toi. Des caresses tous les jours, des baisers tous les soirs. Des délires permanents. Des pleurs dans tes bras, des joies au creux de toi. Des peurs dans ton cou, du plaisir dans tes yeux.
Te dire combien j'ai envie de partager encore plus avec toi. Des caresses tous les jours, des baisers tous les soirs. Des délires permanents. Des pleurs dans tes bras, des joies au creux de toi. Des peurs dans ton cou, du plaisir dans tes yeux.
dimanche 30 septembre 2012
24 septembre 2012. 23h36
Pourquoi n'es-tu pas là pour me tenir chaud, pour chasser cette migraine qui enserre ma tête ?
Je suis épuisée mon Amour. Et cette distance qui nous sépare me fait ce soir encore plus souffrir que d'habitude.
Je suis épuisée mon Amour. Et cette distance qui nous sépare me fait ce soir encore plus souffrir que d'habitude.
24 septembre 2012. 01h41
Orage qui s'abat ici depuis 2 heures. Ça me donne des envies d'amour sous la pluie. L'eau qui ruisselle sur nos peaux. Ta main qui esquisse un geste tendre pour repousser les cheveux mouillés qui se collent sur mon visage. Mes tétons pointés à travers mon corsage qui trahissent mon désir. Nos corps qui se serrent. Nos vêtements humides que l'on quitte avec un peu de difficultés mais avec ardeur. Nos peaux qui s'aimantent et nos bouches qui s'amantent.
Mon sexe aussi trempé que tout ce qui nous entoure. Tes doigts qui me font la fête et mes gémissements qui se mêlent à la chanson de la pluie.
Mon sexe aussi trempé que tout ce qui nous entoure. Tes doigts qui me font la fête et mes gémissements qui se mêlent à la chanson de la pluie.
22 septembre 2012. 00h36
Tu vois, c'est étrange, mais malgré l'évolution (extrêmement positive) de notre relation, et surtout de ton angoisse de l'attachement, j'ai toujours peur de te voir fuir si je t'écris combien tu es devenu indispensable à ma vie. J'hésite encore à te dire mes envies d'avenir, mes projets dans le lointain.
dimanche 23 septembre 2012
21 septembre 2012. 01h16
J'ai mis quelques temps à découvrir ce que voulait dire aimer. Peut-être l'ai-je même fait avant d'en connaître ses véritables effets et ses magnifiques sensations.
J'ai mis longtemps à comprendre qu'aimer voulait aussi dire recevoir, se laisser aller. Donner sans rien attendre en retour me paraissait être l'unique règle.
Et puis tu es entré dans ma vie et tu m'as exhorté à m'abandonner, à cesser de penser constamment aux jugements.
Depuis je sais, je détiens la clef. C'est ton regard qui me l'a offerte, ce sont tes mots qui m'ont ouvert la voie.
Et alors ce que j'aperçois est éternel, infini, grandiose. Ce que je vois n'est que le début d'un amour sans retenue, plein de surprises et d'émerveillement. Peuplé d'étoiles qui brillent, de désir et de jouissance.
J'ai envie de toi à mes côtés mon Amour, tout à côté. Et remplir ma vie de la tienne, et remplir ta vie de la mienne.
J'ai mis longtemps à comprendre qu'aimer voulait aussi dire recevoir, se laisser aller. Donner sans rien attendre en retour me paraissait être l'unique règle.
Et puis tu es entré dans ma vie et tu m'as exhorté à m'abandonner, à cesser de penser constamment aux jugements.
Depuis je sais, je détiens la clef. C'est ton regard qui me l'a offerte, ce sont tes mots qui m'ont ouvert la voie.
Et alors ce que j'aperçois est éternel, infini, grandiose. Ce que je vois n'est que le début d'un amour sans retenue, plein de surprises et d'émerveillement. Peuplé d'étoiles qui brillent, de désir et de jouissance.
J'ai envie de toi à mes côtés mon Amour, tout à côté. Et remplir ma vie de la tienne, et remplir ta vie de la mienne.
jeudi 20 septembre 2012
20 septembre 2012. 01h14
Emmène-moi à Venise.... Ou à Chantilly... Peu importe l'endroit, j'ai juste envie d'un autre lit. Envie que tu me fasses découvrir d'autres lieux. Que tu prennes ma main et que tu dises : "aujourd'hui tu ne t'occupes de rien. J'ai tout réglé. Laisse-toi juste guider."
Et vivre ces instants pleinement, avec gourmandise. Voir l'excitation de la surprise que tu as préparée, briller dans tes yeux. Y lire aussi une petite pointe d'appréhension de ne peut-être pas avoir fait les meilleurs choix. Te rassurer en te disant que quoi que ce soit et où que ce soit, du moment où je suis avec toi et que tu as choisi pour nous, j'aimerai.
Emmène-moi à Venise... Ou à Etretat... Peu importe l'endroit.
Et vivre ces instants pleinement, avec gourmandise. Voir l'excitation de la surprise que tu as préparée, briller dans tes yeux. Y lire aussi une petite pointe d'appréhension de ne peut-être pas avoir fait les meilleurs choix. Te rassurer en te disant que quoi que ce soit et où que ce soit, du moment où je suis avec toi et que tu as choisi pour nous, j'aimerai.
Emmène-moi à Venise... Ou à Etretat... Peu importe l'endroit.
19 septembre. 00h36
Je repasse en boucle le film dans ma tête. Et comme chaque fois, les détails viennent s'ajouter à chaque nouveau "visionnage". Et je me projette sur les fois prochaines. Et je les attends avec impatience. Ces mains qui fouillent, ces bouches qui caressent, ces doigts qui embrassent et embrasent.
Et je vais fermer les yeux sur des images troublantes et alléchantes.
Je t'embrasse. Je t'aime.
Et je vais fermer les yeux sur des images troublantes et alléchantes.
Je t'embrasse. Je t'aime.
17 septembre 2012. 01h18
Malgré le corps en feu, j'ai encore envie de toi. De la chaleur de tes lèvres sur ma peau, de la douceur de ta voix, de ton regard qui me pousse à m'assumer et à me surpasser.
mais j'ai surtout besoin de ton amour et de ta présence. Ma vie et mon lit sont vides sans toi à mes côtés.
Merci pour ces moments uniques que tu m'offres.
mais j'ai surtout besoin de ton amour et de ta présence. Ma vie et mon lit sont vides sans toi à mes côtés.
Merci pour ces moments uniques que tu m'offres.
lundi 10 septembre 2012
09 septembre 2012. 23h55
Envie de chocolat. Comment résister ?
Je crois que la seule solution sera de transposer et de dévier l'envie vers une autre : celle de sexe ! Seulement, j'ai un problème... tu es loin d'être à mes côtés !
Comment faire alors ?
Comme ça, peut-être...
Je crois que la seule solution sera de transposer et de dévier l'envie vers une autre : celle de sexe ! Seulement, j'ai un problème... tu es loin d'être à mes côtés !
Comment faire alors ?
Comme ça, peut-être...
vendredi 7 septembre 2012
07 septembre 2012. 00h15
Mon Amour,
Tu as rendu mon corps dépendant du tien. Tu as profité de ces nuits sans interruption que nous avons passées ensemble pour insuffler en moi un philtre d'attachement dont il ne me viendrait même pas à l'esprit de vouloir me désenvoûter.
Au contraire, je voudrais pouvoir le renforcer et me trouver en ce moment même dans tes bras, dans cette plénitude que connaissent les amants qui viennent de se retrouver.
Tu as rendu mon corps dépendant du tien. Tu as profité de ces nuits sans interruption que nous avons passées ensemble pour insuffler en moi un philtre d'attachement dont il ne me viendrait même pas à l'esprit de vouloir me désenvoûter.
Au contraire, je voudrais pouvoir le renforcer et me trouver en ce moment même dans tes bras, dans cette plénitude que connaissent les amants qui viennent de se retrouver.
jeudi 6 septembre 2012
06 septembre 2012. 1h55
Frustration : sentiment de déshydratation intense. Impression que le cœur se recroqueville à l'intérieur d'une coquille.
Il ne demandait pas la lune, pourtant ! Juste une douce tendresse. Une petite pluie de caresses et de baisers. Eh bien, non ! C'est la grande sécheresse, injuste, imméritée ! Et j'en hurlerais, j'en ferais des caprices ! Comme ces enfants tout à coup privés de leur mère, comme tout être humain à qui l'on enlève sa raison de vivre.
Il ne demandait pas la lune, pourtant ! Juste une douce tendresse. Une petite pluie de caresses et de baisers. Eh bien, non ! C'est la grande sécheresse, injuste, imméritée ! Et j'en hurlerais, j'en ferais des caprices ! Comme ces enfants tout à coup privés de leur mère, comme tout être humain à qui l'on enlève sa raison de vivre.
05 septembre 2012. 01h00
Juste envie d'un baiser. Glissé dans mon cou. Et qui descend, pour s'évanouir au creux de mes reins. Un de ceux qui laissent des frissons parcourir le corps et des désirs naître dans la tête et sous la peau.
04 septembre 2012. 1h10
Te regarder dormir, écouter ton souffle régulier.
Attendre que tu tombes lentement dans le sommeil et faire doucement glisser mes doigts sur ta peau.
Déposer de doux baisers sur ton corps et me diriger sournoisement vers l'objet du délit, celui qui déjà frémit. Le laper, le lécher, le sucer jusqu'à le prendre en bouche définitivement. Lui faire subir de cruels va-et-vient, le dorloter, le couver à l'intérieur de mes joues.
Sentir tes muscles qui s'arquent, la peau de ton cou qui se tend sous l'ardeur du désir. Et tes mains qui me repoussent, et tes lèvres qui te délivrent pour un instant de mes assauts pour goûter ma bouche.
Tes mots enfin, qui mes réclament la délivrance. Et moi qui, de bonne grâce, m'exécute et savoure d'avance les moments à venir...
Attendre que tu tombes lentement dans le sommeil et faire doucement glisser mes doigts sur ta peau.
Déposer de doux baisers sur ton corps et me diriger sournoisement vers l'objet du délit, celui qui déjà frémit. Le laper, le lécher, le sucer jusqu'à le prendre en bouche définitivement. Lui faire subir de cruels va-et-vient, le dorloter, le couver à l'intérieur de mes joues.
Sentir tes muscles qui s'arquent, la peau de ton cou qui se tend sous l'ardeur du désir. Et tes mains qui me repoussent, et tes lèvres qui te délivrent pour un instant de mes assauts pour goûter ma bouche.
Tes mots enfin, qui mes réclament la délivrance. Et moi qui, de bonne grâce, m'exécute et savoure d'avance les moments à venir...
mardi 4 septembre 2012
02 septembre 2012. 23h09
Ça y est, je suis couchée. Prête à passer ma première nuit sans toi depuis bien longtemps.
Il va falloir se réhabituer au rythme des retrouvailles et des séparations, ré-apprivoiser le manque, dompter à nouveau la solitude et le désir. Savoir ton corps loin du mien et le caresser dans mes pensées, retrouver le goût de tes lèvres en allant le chercher dans les souvenirs.
Quelques heures loin de toi, et déjà tu me manques cruellement.
Je t'aime.
Il va falloir se réhabituer au rythme des retrouvailles et des séparations, ré-apprivoiser le manque, dompter à nouveau la solitude et le désir. Savoir ton corps loin du mien et le caresser dans mes pensées, retrouver le goût de tes lèvres en allant le chercher dans les souvenirs.
Quelques heures loin de toi, et déjà tu me manques cruellement.
Je t'aime.
lundi 6 août 2012
05 août 2012. 01h18
"Je pense à toi tout le temps. Je pense à toi le matin, en marchant dans
le froid. Je fais exprès de marcher lentement pour pouvoir penser à toi
plus longtemps. Je pense à toi le soir, quand tu me manques au milieu
des fêtes, où je me saoule pour penser à autre chose qu'à toi, avec
l'effet contraire. Je pense à toi quand je te vois et aussi quand je ne
te vois pas. J'aimerais tant faire autre chose
que penser à toi mais je n'y arrive pas. Si tu connais un truc pour
t'oublier, fais le moi savoir. Je viens de passer le pire weekend de ma
vie. Jamais personne ne m'a manqué comme ça. Sans toi, ma vie est une
salle d'attente. Qu'y a-t-il de plus affreux qu'une salle d'attente
d'hôpital, avec son éclairage au néon et le linoléum par terre ? Est-ce
humain de me faire ça ? En plus, dans ma salle d'attente, je suis seul,
il n'y a pas d'autres blessés graves avec du sang qui coule pour me
rassurer, ni de magazines sur une table basse pour me distraire, ni de
distributeurs de tickets numérotés pour espérer que mon attente prendra
fin. J'ai très mal au ventre et personne ne me soigne. Être amoureux
c'est cela: un mal de ventre dont le seul remède, c'est toi. J'ignorais
que ton prénom prendrait tant de place dans ma vie." BEIGBEDER Frédéric L'amour dure trois ans Grasset 2012
04 août 2012. 00h33
J'ai trop hâte d'être dans tes bras, d'enfouir mon nez dans ton cou et de t'embrasser.
03 août 2012. 01h07
Je te regarderai dormir, je me saoulerai de toi et de ton image. Je toucherai ton corps, je caresserai ta peau à en devenir ivre. Je goûterai toutes tes saveurs, je m'abreuverai à ta source. je vivrai en toi, à travers toi, sur toi !
dimanche 5 août 2012
02 août 2012. 02h52
Aujourd'hui j'ai du mal à m'endormir sans toi... Ton visage, tes mots n'arrêtent pas de se fixer devant mes yeux et c'est bon !
Mais je préfèrerais un milliard de fois t'avoir à mes côtés !
Mais je préfèrerais un milliard de fois t'avoir à mes côtés !
02 août 2012. 00h54
Ces quelques jours qui restent avant de te retrouver me paraissent durer une éternité. J'ai hâte de retrouver la douceur de ta peau, ton parfum, le goût de tes lèvres et ton désir. J'ai envie d'un long baiser, de caresses interminables, de discussions à n'en plus finir et d'étreintes passionnées. Et les heures semblent s'allonger ! :-(
vendredi 3 août 2012
31 juillet 2012. 00h10
J'ai envie de sentir ta peau chauffée par le soleil. Je veux goûter le sel qui se sera déposé sur ton corps. J'ai envie de boire l'eau qui ruissellera sur toi. Je veux me transformer en vague pour conquérir ton corps et le retourner, je veux me faufiler entre chaque espace qui te constitue. Je veux sentir pulser ton sang dans tous tes membres et affoler tes sens en caressant toutes tes zones érogènes. Que tu sentes entre tes jambes enfler ton désir et que tu n'aies plus qu'une obsession : prendre possession de moi !
29 juillet 2012. 00h03
Si j'étais à tes côtés dans ce lit, mes doigts glisseraient sur les poils de ton torse, joueraient avec un petit moment avant de se faufiler sur ton ventre, sur tes jambes.
Je sais aussi que je serais irrémédiablement attirée par ta bouche sur laquelle je poserais mes lèvres avant de venir chercher ta langue, pour la goûter avec délice.
Puis, comme une supplique, tu me demanderais de descendre plus bas, pour sucer ce gland turgescent. Ma langue gourmande, privée de toi depuis si longtemps, tèterait avidement, comme si elle ne voulait plus s'arrêter. Comme si ma bouche n'était jamais rassasiée, je t'offrirais ces caresses buccales dont tu raffoles. Jusqu'à te faire plier, que tu m'implores de m'arrêter et qu'enfin ton sexe emplisse le mien. Et que tu me fasses hurler de plaisir, que tu râles de contentement.
Si tu savais combien tu me manques...
Je sais aussi que je serais irrémédiablement attirée par ta bouche sur laquelle je poserais mes lèvres avant de venir chercher ta langue, pour la goûter avec délice.
Puis, comme une supplique, tu me demanderais de descendre plus bas, pour sucer ce gland turgescent. Ma langue gourmande, privée de toi depuis si longtemps, tèterait avidement, comme si elle ne voulait plus s'arrêter. Comme si ma bouche n'était jamais rassasiée, je t'offrirais ces caresses buccales dont tu raffoles. Jusqu'à te faire plier, que tu m'implores de m'arrêter et qu'enfin ton sexe emplisse le mien. Et que tu me fasses hurler de plaisir, que tu râles de contentement.
Si tu savais combien tu me manques...
26 juillet 2012. 01h04
Besoin d'oublier le vide que le manque de toi creuse en moi !
Ta voix ce soir m'a fait un bien fou mais m'a en même temps anéantie parce qu'elle m'a cruellement rappelé combien j'ai envie de me perdre en toi ! Tu me manques.
Ta voix ce soir m'a fait un bien fou mais m'a en même temps anéantie parce qu'elle m'a cruellement rappelé combien j'ai envie de me perdre en toi ! Tu me manques.
24 juillet 2012. 23h43
Tes mains qui étalent la crème solaire sur ma peau, le petit vent qui la caresse, des frissons qui la parcourent. Tes doigts qui glissent sur mon corps, s'attardent sur les hanches, y dessinent un désir naissant. Et mon ventre qui frétille.
Envie de toi, de retrouver le goût de tes baisers mêlé à celui des embruns. Sentir à nouveau ton corps contre le mien et ton sexe bandé contre moi... Sauter au milieu des vagues et faire l'amour, le sel, l'océan et les poissons pour seuls témoins.
Tout toi manque à mon être !
Envie de toi, de retrouver le goût de tes baisers mêlé à celui des embruns. Sentir à nouveau ton corps contre le mien et ton sexe bandé contre moi... Sauter au milieu des vagues et faire l'amour, le sel, l'océan et les poissons pour seuls témoins.
Tout toi manque à mon être !
22 juillet 2012. 23h33
Mon Ange, encore trop d'heures me séparent de ta peau. Ta bouche, bien trop loin, ne me permet pas les baisers tant attendus. J'aime ces heures qui nous éloignent car elles promettent de merveilleuses retrouvailles, mais en même temps, je les déteste de m'empêcher de vivre avec toi tous ces instants du quotidien.
Je t'aime !
Je t'aime !
lundi 30 juillet 2012
20 juillet 2012. 00h07
Tes mains sur mon visage, tes lèvres sur ma bouche. Un baiser passionné, ta langue et la mienne tourbillonnant. Mes doigts qui volent sur ta peau, les tiens qui caressent mes seins. Et mon corps qui lâche prise.
Envie...
Envie...
18juillet 2012. 02h14
Je voudrais passer mes jours à t'écouter.
Je voudrais passer mes nuits à te choyer.
Je voudrais passer des heures à te caresser.
Et toute ma vie à t'aimer.
Je voudrais passer mes nuits à te choyer.
Je voudrais passer des heures à te caresser.
Et toute ma vie à t'aimer.
16 juillet 2012. 22h02
Bonne nuit mon Amour, je t'emmène avec moi au pays des rêves et des merveilles.
mardi 10 juillet 2012
10 juillet 2012. 00h56
Il n'y a que ceux qui aiment ou ont aimé vraiment qui peuvent comprendre ce désir que j'ai de toi. De ta peau contre la mienne, de ta voix dans mon oreille, de ton odeur sur mon corps... Mais surtout, de toi, en moi !
Les autres, comment peuvent-ils savoir ? Que l'amour ça donne des ailes, ça rend beau, ça donne la force. Force de se battre, de lutter. Contre soi, contre les autres. Que cette connivence donne le pouvoir d'y croire, encore, et de rêver, plus fort. Et que ça rend fou aussi, de joie, d'espoir et de bonheur !
Pour tout ça, je t'aime !
Les autres, comment peuvent-ils savoir ? Que l'amour ça donne des ailes, ça rend beau, ça donne la force. Force de se battre, de lutter. Contre soi, contre les autres. Que cette connivence donne le pouvoir d'y croire, encore, et de rêver, plus fort. Et que ça rend fou aussi, de joie, d'espoir et de bonheur !
Pour tout ça, je t'aime !
09 juillet 2012. 01h22
Combien de fois t'ai-je dit, au sortir d'un week-end, que j'avais trop d'images dans la tête, que je n'arrivais pas à faire le tri ? De celui-là, je ne veux absolument rien trier, je voudrais tout garder, là, dans ma mémoire. Les gestes, les odeurs, les paroles, les baisers. Tout m'a semblé si parfaitement à sa place que j'ai presque du mal à croire ce que nous avons vécu. Et j'ai du mal à m'endormir seule ce soir et à me dire que tout cela est déjà terminé. Et j'ai hâte de recommencer.
dimanche 8 juillet 2012
06 juillet 2012. 11h31
Je viens voler quelques baisers
A l'aube de ta bouche
A l'heure où le jour pour moi se lève
Faire de cette journée, notre rêve.
Je viens déposer quelques caresses
A la naissance de tes fesses
Au moment où je m'éveille
L'envie de toi m'ensorcelle.
A l'aube de ta bouche
A l'heure où le jour pour moi se lève
Faire de cette journée, notre rêve.
Je viens déposer quelques caresses
A la naissance de tes fesses
Au moment où je m'éveille
L'envie de toi m'ensorcelle.
05 juillet 2012. 01h37
L'envie est là, tapie quelque part dans ma tête. Et dans mon corps aussi certainement, mais il ne répond pas. Les images de toi se forment et me peau frémit, mais pas assez à mon goût. Ton odeur est là, sur moi, et je voudrais te sentir en moi, encore plus fort.
03 juillet 2012. 02h04
Je passe rapidement, comme le vent. Et je dépose en un léger courant d'air, un baiser au creux de ton cou.
mardi 3 juillet 2012
02 juillet 2012. 00h38
J'aurais voulu te dire que ce n'était pas moi, cette femme prise de crises d'angoisse. Te dire que ça ne me ressemble pas. Pourtant, ça fait partie de moi... Pas celle que je préfère évidemment !
J'aime bien plus être celle qui te réclame à corps et à cris. Qui quémande tes caresses et te demande de lui offrir ta bouche. Je préfère être celle qui te parle et vit des étreintes à perdre haleine, des échanges à en perdre la raison. Je préfère être celle qui pleure parce que tu lui as donné trop de bonheur d'un coup et qu'elle a du mal à tout emmagasiner en une seule fois. Je préfère être celle que tu explores de tes doigts, que tu savoures avec ta langue. Et je me languis d'elle, parce qu'elle me manque et que tu es le seul à pouvoir la faire réapparaître.
Reviens... Vite ! Je t'aime
J'aime bien plus être celle qui te réclame à corps et à cris. Qui quémande tes caresses et te demande de lui offrir ta bouche. Je préfère être celle qui te parle et vit des étreintes à perdre haleine, des échanges à en perdre la raison. Je préfère être celle qui pleure parce que tu lui as donné trop de bonheur d'un coup et qu'elle a du mal à tout emmagasiner en une seule fois. Je préfère être celle que tu explores de tes doigts, que tu savoures avec ta langue. Et je me languis d'elle, parce qu'elle me manque et que tu es le seul à pouvoir la faire réapparaître.
Reviens... Vite ! Je t'aime
29 juin 2012. 23h34
Je déteste celle que je suis depuis quelques jours. Celle que la douleur empêche de se concentrer sur toi, sur nous. Celle qui ne pense plus qu'à une chose : dormir, pleurer dans tes bras et me ressourcer auprès de toi.
Je n'aime pas ne plus avoir envie de rien, même de penser à moi... Je veux te retrouver et ne plus y penser :-(
Je t'aime. J'ai besoin de toi.
Je n'aime pas ne plus avoir envie de rien, même de penser à moi... Je veux te retrouver et ne plus y penser :-(
Je t'aime. J'ai besoin de toi.
mercredi 27 juin 2012
26 juin 2012. 23h38
Parce que je veux de nouveau plein de réveils auprès de toi. Pas seulement un, par ci, par là.
Parce ce que je veux revivre ces instants magiques de la vie à deux.
Parce que je me fous que ce soit dans un palace à Honolulu ou dans une cabane au fond d'un trou.
Parce que ce qui importe ce sera nous deux, partageant un quotidien qui ressemblera à la simplicité.
Parce que ce que je veux, c'est passer du temps avec toi, me lever avec toi, manger avec toi, me coucher avec toi...
Alors ici, ailleurs, je m'en fous ! Les mains dans la peinture, dans le sable, ça n'a pas d'importance ! Je veux juste être à tes côtés !
Parce ce que je veux revivre ces instants magiques de la vie à deux.
Parce que je me fous que ce soit dans un palace à Honolulu ou dans une cabane au fond d'un trou.
Parce que ce qui importe ce sera nous deux, partageant un quotidien qui ressemblera à la simplicité.
Parce que ce que je veux, c'est passer du temps avec toi, me lever avec toi, manger avec toi, me coucher avec toi...
Alors ici, ailleurs, je m'en fous ! Les mains dans la peinture, dans le sable, ça n'a pas d'importance ! Je veux juste être à tes côtés !
mardi 26 juin 2012
24 juin 2012. 21h47
J'aime la chaleur de ton corps contre le mien au moment de dormir. J'aime me sentir glisser dans le sommeil, ma tête posée sur toi. J'aime ce baiser que tu déposes sur mes cheveux. Ce soir, tout ça me manque.
22 juin 2012. 00h13
La fatigue est là, mais l'envie de toi plus encore.
Retrouver ton sourire, ton regard espiègle, ta bouche gourmande et ton sexe concupiscent.
Me laisser emporter à nouveau dans le tourbillon des caresses, des baisers.
Ne plus rien maîtriser, me trouver accolée contre ce mur et te sentir en moi.
Hurler mon plaisir, savourer le tien.
Retrouver ton sourire, ton regard espiègle, ta bouche gourmande et ton sexe concupiscent.
Me laisser emporter à nouveau dans le tourbillon des caresses, des baisers.
Ne plus rien maîtriser, me trouver accolée contre ce mur et te sentir en moi.
Hurler mon plaisir, savourer le tien.
jeudi 21 juin 2012
21 juin 2012. 00h55
Je plonge dans ton regard, je me perds en lui. Et je perds le fil de mes pensées, je plonge dans celui de mes envies. Celles de ta peau qui se noie dans la mienne, de ton odeur qui se mêle à mes effluves. Celles de tes mains qui naviguent sur mon corps et de tes mots qui glissent à mon oreille.
lundi 18 juin 2012
18 juin 2012. 02h45
Je tourne et je retourne. Impossible de dormir. Trop douloureux, trop fatiguée.
Tellement besoin de toi.
Tellement besoin de toi.
18 juin 2012. 01h36
Mon Ange, plus les jours passent et plus cette complicité qui nous unis m'emplit de joie.
Encore un weekend passé à tes côtés et où j'ai savouré chaque instant, aimé chaque minute.
De ces caresses volées entre deux portes à ces étreintes fougueuses au milieu de notre lit. De ces baisers câlins à ces embrasements passionnés.
Ces moments, juste à te regarder vivre, à savoir que tu étais là, même sans être forcément tout contre moi, m'ont simplement rendue heureuse.
Je t'aime.
Encore un weekend passé à tes côtés et où j'ai savouré chaque instant, aimé chaque minute.
De ces caresses volées entre deux portes à ces étreintes fougueuses au milieu de notre lit. De ces baisers câlins à ces embrasements passionnés.
Ces moments, juste à te regarder vivre, à savoir que tu étais là, même sans être forcément tout contre moi, m'ont simplement rendue heureuse.
Je t'aime.
vendredi 15 juin 2012
15 juin 2012. 01h47
La tête au creux de ton épaule, je m'éveillerai. Et j'accepterai d'ouvrir les yeux parce que je saurai que je croiserai immédiatement les tiens. Et que ta main se glissera dans la mienne, pour sortir de ce lit.
Et la journée sera belle ! Je t'aime !
Et la journée sera belle ! Je t'aime !
13 juin 2012. 23h48
Je voudrais que tu sentes mes mains qui parcourent ton corps. Et ma bouche qui s'empare de la tienne.
Je voudrais que tu sentes mon corps qui se frotte contre le tien. Et ma chaleur qui se propage en toi.
Je voudrais que tu t'empares de moi. Et que le vide se fasse autour de nous.
Je voudrais que tu sentes mon corps qui se frotte contre le tien. Et ma chaleur qui se propage en toi.
Je voudrais que tu t'empares de moi. Et que le vide se fasse autour de nous.
mercredi 13 juin 2012
12 juin 2012. 22h54
Je voudrais décrire les sensations qui m'étreignent lorsque j'effleure ton corps. Mais je n'arrive pas à trouver les mots qui correspondent à ce qui remue autant mes tripes, mon cœur.
Je pourrais énumérer chaque partie que je caresse, pour en dire sa forme, sa douceur ou sa rugosité c'est selon.
Je pourrais passer en revue l'un après l'autre chacun de tes membres, essayant d'évoquer sa beauté, sa texture, la manière dont il bouleverse mes sens. Je pourrais tenter de décrire les sentiments qu'il m'inspire.
Mais je tâtonne, je tourne autour, je papillonne, et aucune expression n'est assez forte pour exprimer cette simplicité du désir qu'il provoque en moi. Cette envie que j'ai, à chaque fois, que nous ne fassions plus qu'un.
Je pourrais énumérer chaque partie que je caresse, pour en dire sa forme, sa douceur ou sa rugosité c'est selon.
Je pourrais passer en revue l'un après l'autre chacun de tes membres, essayant d'évoquer sa beauté, sa texture, la manière dont il bouleverse mes sens. Je pourrais tenter de décrire les sentiments qu'il m'inspire.
Mais je tâtonne, je tourne autour, je papillonne, et aucune expression n'est assez forte pour exprimer cette simplicité du désir qu'il provoque en moi. Cette envie que j'ai, à chaque fois, que nous ne fassions plus qu'un.
10 juin 2012. 23h05
Merci pour mon escapade de Princesse. Je vais me coucher et essayer de retrouver la chaleur de tes bras.
vendredi 8 juin 2012
07 juin 2012. 23h43
Je suis aller chercher
Aux confins de la lune
Des caresses, des baisers
D'la tendresse de fortune.
J'ai parcouru des chemins
Qui ne menaient à rien
A vouloir à tout prix
Trouver l'amant, l'ami.
J'ai erré sans but
A quêter le point de chute
Imaginant dans chaque visage
Trouver enfin le rivage.
J'ai été emportée par la houle
Me suis perdue dans les vagues
Jusqu'à ce que mon esprit divague
Et que mes espoirs s'écroulent.
Et tu as ouvert la porte
De toute ta discrétion
Et depuis tu m'emportes
Sur les chemins de la passion
Je sais que j'ai enfin trouvé
Celui que je voulais aimer
Avec toi je veux repousser
Les limites de la volupté.
Aux confins de la lune
Des caresses, des baisers
D'la tendresse de fortune.
J'ai parcouru des chemins
Qui ne menaient à rien
A vouloir à tout prix
Trouver l'amant, l'ami.
J'ai erré sans but
A quêter le point de chute
Imaginant dans chaque visage
Trouver enfin le rivage.
J'ai été emportée par la houle
Me suis perdue dans les vagues
Jusqu'à ce que mon esprit divague
Et que mes espoirs s'écroulent.
Et tu as ouvert la porte
De toute ta discrétion
Et depuis tu m'emportes
Sur les chemins de la passion
Je sais que j'ai enfin trouvé
Celui que je voulais aimer
Avec toi je veux repousser
Les limites de la volupté.
07 juin 2012. 01h43
Je m'endors pleine de toi... Comme chaque soir.
Et tu me manques... Comme chaque nuit.
Et tu me manques... Comme chaque nuit.
06 juin 2012. 12h44
Je vais mieux. Les larmes ont dû noyer ma blessure d'orgueil et le repos me faire réaliser que tout ça a finalement bien peu d'importance !
L'important, c'est NOUS ! C'est tes yeux quand tu me regardes et que j'y lis le bonheur. C'est ta bouche quand elle emprisonne mes lèvres et que j'y sens le désir. Et c'est surtout ta présence à mes côtés.
JE T'AIME !!!
L'important, c'est NOUS ! C'est tes yeux quand tu me regardes et que j'y lis le bonheur. C'est ta bouche quand elle emprisonne mes lèvres et que j'y sens le désir. Et c'est surtout ta présence à mes côtés.
JE T'AIME !!!
05 juin 2012. 22h07
Ce soir, je ne serai capable de ne dire qu'une chose : merci. Merci d'être là dans cette épreuve, de savoir trouver les mots qui m'apaisent, de laisser couler mes maux.
Cela nous paraîtra probablement risible dans quelques temps, je me trouverais certainement ridicule. Mais au-moins, ça aura le mérite de rajouter quelques pierres à l'édifice de notre amour.
Je t'aime comme je n'ai jamais aimé.
Cela nous paraîtra probablement risible dans quelques temps, je me trouverais certainement ridicule. Mais au-moins, ça aura le mérite de rajouter quelques pierres à l'édifice de notre amour.
Je t'aime comme je n'ai jamais aimé.
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