Tu vois, finalement tu l'auras quand même ton message. C'est comme un rituel, une habitude obsessionnelle. Si je ne le fais pas, je n'arrive pas à dormir.
J'ai cette impression bizarre que notre séparation de cette semaine va être plus difficile que d'habitude. Comme si les kilomètres de plus que j'ai ajouté entre nous allaient rallonger le temps. Je sais, c'est totalement idiot. Pourtant, je n'arrive pas à me raisonner, me dire que ces quelques jours en famille vont passer vite et que la fin arrivera avant même que je m'en soit rendu compte...
Peut-être aussi que la fatigue dramatise un peu tout... Je t'embrasse en tout cas partout où mes lèvres peuvent se poser (c'est dire si aucun endroit de ton corps ne sera épargné ! ;-)). Je t'aime.
Parce que l'envie d'écrire vous prend, jusqu'à la rage parfois. Et parce qu'un jour se fait ressentir l'envie d'un écho...
lundi 31 octobre 2011
24 octobre 2011. 17h43
L'automne a revêtu ses rouges et ses ocres, la route était magnifique ! Je suis fatiguée malgré tout. Bisous. Love <3
23 octobre 2011. 21h39
J'ai l'impression de vivre dans un rêve, pourtant quelque chose me dit que c'est la réalité.
Appelle-moi pour me dire que tout ça est vraiment arrivé. Je t'aime.
Appelle-moi pour me dire que tout ça est vraiment arrivé. Je t'aime.
vendredi 21 octobre 2011
20 octobre 2011. 00h57
Avec un regard de défi, tu m'imposes une lutte sensuelle faite de gestes lents et caressants. Un ballet improvisé sur nos corps enflammés. Une scène au ralenti où tout doit être mesuré. Des yeux qui brillent de désir. Des pupilles qui pétillent de trop se contenir. Une main qui s'approche d'un sein. Le bout des doigts qui effleurent. Une paume qui s'empare avec douceur d'un premier objet de délit. Une bouche qui goûte des lèvres. Des langues qui se cherchent. Un long baiser qui éclot. Deux corps qui se frôlent. Deux sexes qui se frottent l'un à l'autre.
Travelling avant sur les visages tendus. Et la scène s'accélère et les souffles deviennent haletants. Et les suppliques deviennent pressantes. Suce-moi, lèche-moi, empare-toi de moi... Et on ne sait plus d'où viennent les demandes. Qui les émet, qui y répond. Et chacun s'offre totalement à l'autre. Et chacun donne tout à l'autre.
... Et la porte discrètement se referme...
Travelling avant sur les visages tendus. Et la scène s'accélère et les souffles deviennent haletants. Et les suppliques deviennent pressantes. Suce-moi, lèche-moi, empare-toi de moi... Et on ne sait plus d'où viennent les demandes. Qui les émet, qui y répond. Et chacun s'offre totalement à l'autre. Et chacun donne tout à l'autre.
... Et la porte discrètement se referme...
jeudi 20 octobre 2011
19 octobre 2011. 01h50
J'aime tes yeux quand tu me regardes,
Je les aime lorsqu'ils se fardent
Des couleurs de la jouissance.
J'aime ta bouche quand elle m'effleure
Lorsqu’à ses bords affleurent
Les mots qui chassent l'absence.
J'aime tes mains quand elles caressent
Je les aime aussi lorsqu'elles me fessent
Qu'elles révèlent mes envies indécentes.
J'aime tes tétons quand ils se dressent
Lorsque soudain ton désir s'empresse
Et que nos souffles en accord s'affolent.
J'aime tes mots quand ils supplient
Au moment où nos corps se plient
Sous le poids de la volupté.
J'aime ta résistance offerte comme un cadeau
Quand tu me la cèdes sans autre mot
Qu'un "je t'aime" à mon oreille murmuré.
Je les aime lorsqu'ils se fardent
Des couleurs de la jouissance.
J'aime ta bouche quand elle m'effleure
Lorsqu’à ses bords affleurent
Les mots qui chassent l'absence.
J'aime tes mains quand elles caressent
Je les aime aussi lorsqu'elles me fessent
Qu'elles révèlent mes envies indécentes.
J'aime tes tétons quand ils se dressent
Lorsque soudain ton désir s'empresse
Et que nos souffles en accord s'affolent.
J'aime tes mots quand ils supplient
Au moment où nos corps se plient
Sous le poids de la volupté.
J'aime ta résistance offerte comme un cadeau
Quand tu me la cèdes sans autre mot
Qu'un "je t'aime" à mon oreille murmuré.
19 octobre 2011. 01h30
Devenir chatte. Me glisser sous tes draps, caresser ton torse de mon poils soyeux. Me rouler en boule, et m'installer au creux de tes bras, au plus près de ta joue afin de sentir ton souffle sur moi.
18 octobre 2011. 00h24
J'ai envie de toi, de ta langue sur ma peau. De ta bouche sur mes lèvres. D'un baiser passionné. De mes mains sur ton corps. De la petite goutte qui perle. De ton sexe dans le mien. De tes soupirs. De tes cris de jouissance.
lundi 17 octobre 2011
17 octobre 2011. 23h11
Me lover dans tes bras et m'endormir à l'abri de tout. Vivre encore et encore des moments doux.
Gémir un peu plus fort sous la caresse de tes doigts. Jouir toujours plus intensément, mon corps contre le tien.
Partager encore notre intimité pour des instants d'intense volupté. Voir encore briller dans tes yeux le plaisir et la sensualité.
Gémir un peu plus fort sous la caresse de tes doigts. Jouir toujours plus intensément, mon corps contre le tien.
Partager encore notre intimité pour des instants d'intense volupté. Voir encore briller dans tes yeux le plaisir et la sensualité.
14 octobre 2011. 00h31
Bander tes yeux et t'installer confortablement. Effectuer autour de toi une danse légère que tu ne pourras deviner que grâce aux effluves de mon parfum. Caresser parfois ton corps, rapidement, pour que tu n'aies pas le temps de réagir. Ôter tes vêtements, un à un, en prenant bien le temps de dessiner chaque membre. Imprimer mes empreintes sur ton torse. Jouir du frisson qui te traverse au contact de ma bouche sur tes tétons. Me mettre à genoux devant toi, écarter tes cuisses et m'emparer de ta queue au garde-à-vous, presque parcourue de spasmes en sentant ma langue la lécher doucement avant de l'engloutir dans ma gorge. Avoir envie de te sucer jusqu'à ce que ton plaisir explose en moi...
14 octobre 2011. 00h09
Je voudrais parfois trouver des mots plus doux pour te dire mon amour pour toi. Je voudrais parfois trouver des mots plus crus pour te dire le désir qui déchire mes entrailles.
Je voudrais parfois trouver des mots plus sensuels pour dire le parcours de ma langue sur ton corps. Je voudrais parfois trouver des mots plus envoûtants pour te dire l'envie de toi à mes côtés dans ce lit.
Je voudrais parfois trouver des mots plus félins pour te dire les griffes que je voudrais marquer sur ta peau. Je voudrais parfois trouver des mots plus colorés pour te dire le soleil qui brille sur ma vie depuis toi.
Je voudrais parfois trouver des mots plus convaincants pour te dire mon besoin de toi avec moi, sur moi, en moi, chaque jour.
Je voudrais parfois trouver des mots plus sensuels pour dire le parcours de ma langue sur ton corps. Je voudrais parfois trouver des mots plus envoûtants pour te dire l'envie de toi à mes côtés dans ce lit.
Je voudrais parfois trouver des mots plus félins pour te dire les griffes que je voudrais marquer sur ta peau. Je voudrais parfois trouver des mots plus colorés pour te dire le soleil qui brille sur ma vie depuis toi.
Je voudrais parfois trouver des mots plus convaincants pour te dire mon besoin de toi avec moi, sur moi, en moi, chaque jour.
jeudi 13 octobre 2011
13 octobre 2011. 00h11
Gainer mes jambes de bas de soie, enfiler des sous-vêtements de dentelle, passer ma robe la plus jolie et la plus sexy.
Te regarder droit dans les yeux et t'annoncer que tu ne pourras pas me toucher tant que je ne t'y aurai pas autorisé.
Te caresser avec mon corps dès que les occasions se présenteront. Et si elles ne se présentent pas, les provoquer.
Effleurer ton cou à chacun de mes passages près de toi, toucher ta peau, brûlante de désir. Glisser sur ton pantalon, frôler ton sexe déjà tendu.
Retenir ta main qui s'égare, te rappeler les règles, un soupçon de reproche dans la voix.
Sentir en moi monter l'envie, résister à l'appel de tes caresses. Venir cueillir un baiser sur tes lèvres, pénétrer ta bouche.
Et céder à la tentation...
Te regarder droit dans les yeux et t'annoncer que tu ne pourras pas me toucher tant que je ne t'y aurai pas autorisé.
Te caresser avec mon corps dès que les occasions se présenteront. Et si elles ne se présentent pas, les provoquer.
Effleurer ton cou à chacun de mes passages près de toi, toucher ta peau, brûlante de désir. Glisser sur ton pantalon, frôler ton sexe déjà tendu.
Retenir ta main qui s'égare, te rappeler les règles, un soupçon de reproche dans la voix.
Sentir en moi monter l'envie, résister à l'appel de tes caresses. Venir cueillir un baiser sur tes lèvres, pénétrer ta bouche.
Et céder à la tentation...
mardi 11 octobre 2011
10 octobre 2011. 23h34
Je l'ai recouvert d'un linceul. Il est mort, secoué par des spasmes violents. Un liquide blanchâtre coulait entre les lèvres.
Il avait, pour un temps, trouvé refuge dans un écrin confortable et en avait visité tous les recoins, revenant parfois, pour s'assurer de la douceur d'une partie et en profiter.
Il avait aussi visité la cave, l'avait trouvée fort accueillante et avait décidé qu'il y reviendrait ; souvent.
Il s'était égaré entre deux monts, y avait fait des allers et venues, endroit si délicieux.
Il avait découvert une ouverture gourmande qui avait attiré son attention et dans laquelle il s'était maintes fois abandonné jusqu'à l'extrême.
Mais cette fois, ça y est, il a rendu les armes. Il s'est éteint, plus aucun fluide ne circule en lui, il a tout donné (et beaucoup pris aussi, pour son plus grand plaisir). J'ai donc tiré le drap sur ton sexe, pour le laisser se reposer... Jusqu'à la prochaine fois...
Il avait, pour un temps, trouvé refuge dans un écrin confortable et en avait visité tous les recoins, revenant parfois, pour s'assurer de la douceur d'une partie et en profiter.
Il avait aussi visité la cave, l'avait trouvée fort accueillante et avait décidé qu'il y reviendrait ; souvent.
Il s'était égaré entre deux monts, y avait fait des allers et venues, endroit si délicieux.
Il avait découvert une ouverture gourmande qui avait attiré son attention et dans laquelle il s'était maintes fois abandonné jusqu'à l'extrême.
Mais cette fois, ça y est, il a rendu les armes. Il s'est éteint, plus aucun fluide ne circule en lui, il a tout donné (et beaucoup pris aussi, pour son plus grand plaisir). J'ai donc tiré le drap sur ton sexe, pour le laisser se reposer... Jusqu'à la prochaine fois...
09 octobre 2011. 22h29
Je vais refermer les yeux sur de somptueuses images et d'incroyables sensations. J'ai vécu un weekend d'une intensité que je n'avais encore jamais connue. Je suis tellement heureuse de vivre ça à tes côtés !
07 octobre 2011. 00h56
Je t'ai dit que je ne voulais pas y penser, et pourtant, je ne pense qu'à ça ! Une caresse entre mes cuisses et tu aurais idée de l'ampleur des dégâts. J'ai d'ailleurs très envie d'y plonger mes doigts, je pense que je ne mettrais pas deux minutes à me faire jouir tellement l'excitation est grande.
Je t'ai imaginé, caressant ma jambe, relevant discrètement ma robe. Je l'ai vu, caressant mon dos, massant ma nuque pour me détendre. J'ai ressenti une douce chaleur et j'ai senti vos mains sur mon corps. Des caresses lentes, comme si elles avaient peur de toucher un objet fragile. Et j'ai aimé cette douceur, j'ai aimé cette tendresse et je t'ai embrassé tandis que sa bouche picorait mon cou.Je me suis collée un peu plus contre lui pour constater l'effet procuré et t'ai attiré un peu plus contre moi pour te sentir, gonflé contre mon ventre.
Je t'ai imaginé, caressant ma jambe, relevant discrètement ma robe. Je l'ai vu, caressant mon dos, massant ma nuque pour me détendre. J'ai ressenti une douce chaleur et j'ai senti vos mains sur mon corps. Des caresses lentes, comme si elles avaient peur de toucher un objet fragile. Et j'ai aimé cette douceur, j'ai aimé cette tendresse et je t'ai embrassé tandis que sa bouche picorait mon cou.Je me suis collée un peu plus contre lui pour constater l'effet procuré et t'ai attiré un peu plus contre moi pour te sentir, gonflé contre mon ventre.
jeudi 6 octobre 2011
05 octobre 2011. 22h18
Laisser à tes mains le choix des armes pour un corps à corps acharné, un duel ardent. Laisser à ta voix le choix des mots pour une déclaration passionnée, des confessions enflammées. Laisser à ton corps le choix des lieux pour des retrouvailles pétillantes, des amours exaltées.
05 octobre 2011. 15h21
Soyons fous ! Aimons-nous ! Loin des conventions. Au plus près des sensations.
mercredi 5 octobre 2011
04 octobre 2011. 21h46
J'ai laissé la fenêtre grande ouverte sur la nuit. Pour laisser entrer la fraîcheur, laisser le froid me saisir. Puis, j'ai remonté la couette, me suis lovée au creux de sa chaleur. J'ai attrapé mon énorme peluche et l'ai plaquée contre mon ventre, contre mon sexe, comme si c'était toi que j'étreignais. Et je me suis abandonnée au plaisir...
04 octobre 2011. 02h30
Angoisses. Yeux ouverts en grand dans la chambre noire. Mon cœur qui bat vite, trop vite. Un mauvais rêve qui m'a saisie. Il est 2h10 et je voudrais me rendormir mais je n'arrive pas. Besoin de me serrer contre toi, de me perdre dans tes bras. Pour oublier ce corps que je sentais s'approcher du mien dans le lit et que je savais ne pas être le tien. Il a essayé de s'installer d'un côté mais mon esprit l'a repoussé alors, sournois et déterminé, il a fait le tour pour me saisir de l'autre côté. Un dégoût profond m'a réveillée, signal d'alarme remontant dans ma gorge et m'informant qu'un autre que toi voulait prendre ta place vide dans ce lit. Cette place que je caresse parfois dans la béance de la nuit.
Mon Amour, j'ai peur. Je ne veux pas aller retrouver le sommeil. Je ne veux qu'un autre tente de voler ton espace.
Mon Amour, j'ai peur. Je ne veux pas aller retrouver le sommeil. Je ne veux qu'un autre tente de voler ton espace.
04 octobre 2011. 01h13
J'aurais voulu être celle qui a passé la nuit sous ton lit. Avoir troublé ton sommeil, avoir veillé sur ta nuit. J'aurais voulu être ton attrapeur de rêves, me saisir des éventuelles ombres qui auraient planer sur toi et les remplacer par des perles nacrées emplies d'érotisme. Des perles qui auraient roulé sur ton corps, qui auraient serpenté à travers tes lignes et tes cambrures. Qui se seraient égarées dans des vallons, se seraient retrouvées sur quelques hauteurs... J'aurais voulu être... avec toi, en toi, sur toi, sous toi... Partout... Soumise et conquérante.
03 octobre 2011. 17h41
J'exhale le stupre, la luxure, l'envie de toi et de ta peau.
Penses-tu que je puisse tout de même sortir ?
Je t'aime. Tu me manques. Déjà. Toujours.
Penses-tu que je puisse tout de même sortir ?
Je t'aime. Tu me manques. Déjà. Toujours.
lundi 3 octobre 2011
03 octobre 2011. 00h37
Ton mot d'ordre pour cette semaine : me reposer ! Mais comment veux-tu que je fasse ? Loin de toi, mon cerveau est en ébullition. Et aujourd'hui, il a encore plus de raisons d'être sur le qui-vive. Chaque pensée correspond à une caresse, à un baiser. Chaque souvenir me ramène à un soubresaut, à des spasmes divins.
Chaque vision de l'avenir apporte un trouble que je ne maîtrise pas et qui porte mon excitation à son comble. Des images se forment, des fantasmes prennent vie...
Chaque vision de l'avenir apporte un trouble que je ne maîtrise pas et qui porte mon excitation à son comble. Des images se forment, des fantasmes prennent vie...
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