Je l'ai recouvert d'un linceul. Il est mort, secoué par des spasmes violents. Un liquide blanchâtre coulait entre les lèvres.
Il avait, pour un temps, trouvé refuge dans un écrin confortable et en avait visité tous les recoins, revenant parfois, pour s'assurer de la douceur d'une partie et en profiter.
Il avait aussi visité la cave, l'avait trouvée fort accueillante et avait décidé qu'il y reviendrait ; souvent.
Il s'était égaré entre deux monts, y avait fait des allers et venues, endroit si délicieux.
Il avait découvert une ouverture gourmande qui avait attiré son attention et dans laquelle il s'était maintes fois abandonné jusqu'à l'extrême.
Mais cette fois, ça y est, il a rendu les armes. Il s'est éteint, plus aucun fluide ne circule en lui, il a tout donné (et beaucoup pris aussi, pour son plus grand plaisir). J'ai donc tiré le drap sur ton sexe, pour le laisser se reposer... Jusqu'à la prochaine fois...
Une "petite mort", alors...
RépondreSupprimerJolie image !
J'aime vous lire, n'y mets pas toujours les mots mais... vous suis toujours.