Je veux dessiner ton plaisir sur ma chair. Je veux imprimer ton regard sur mes seins, sur mes hanches, sur mes fesses. Je veux ancrer tes baisers dans mon cou, sur mes chevilles, sur mes lèvres et dans ma bouche. Je veux marquer l'empreinte de ton sexe dedans le mien.
Je veux esquisser mon désir sur ta peau. Je veux apposer ma bouche sur ton flanc, sur tes reins, sur ta croupe. Je veux pénétrer en toi jusqu'au plus profond, m'introduire dans chaque once de toi. Je veux enflammer ta vie, ton esprit. Je veux que tu n'arrives plus à penser à autre chose qu'à ma langue qui monte depuis tes doigts de pieds jusqu'à ton sexe, laissant une légère écume sur ton épiderme, un effet de chaleur à la naissance de ton cou.
Parce que l'envie d'écrire vous prend, jusqu'à la rage parfois. Et parce qu'un jour se fait ressentir l'envie d'un écho...
lundi 28 février 2011
dimanche 27 février 2011
27 février 2011. 00h04
J'ai envie de prendre ton visage dans mes mains, d'aspirer ta bouche, de coller mon corps contre le tien et de me fondre en lui. J'ai envie de m'oublier, de sentir ton poids peser sur moi. J'ai envie de plonger avec délectation dans la vague de frissons qui va me submerger au contact de ta peau. J'ai envie de me sentir vivante à nouveau ! Loin de toi, je vis en apnée, attendant l'oxygène qui redonnera de la couleur à mes joues, qui fera à nouveau couler le sang dans mes veines, qui me fera sentir le battement de mon cœur contre mes tempes. Celui qui va s'accélérer à mesure que mon désir de toi s'amplifiera. Je veux voir défiler toutes ces heures sans toi, les défier et leur prouver qu'elles n'auront pas raison de moi, de nous ! Leur faire les yeux doux, les cajoler, les câliner, puis asséner les filets pour recueillir leur dernier souffle, leur dernier cri, fondu dans celui de notre jouissance.
samedi 26 février 2011
26 février 2011. 01h53
Combien de temps encore à t'attendre, à t'entendre à chaque bruissement ?
Combien d'heures avant tes bras autour de ma taille, avant tes lèvres sur ma bouche ?
Combien de minutes avant tes mains sur mes cuisses, avant le frémissement de ma peau ?
Combien de secondes avant que ton nez hume le parfum de mon entre-jambe, avant que ta langue ose s'y aventurer ?
Dis, combien... ?
Combien d'heures avant tes bras autour de ma taille, avant tes lèvres sur ma bouche ?
Combien de minutes avant tes mains sur mes cuisses, avant le frémissement de ma peau ?
Combien de secondes avant que ton nez hume le parfum de mon entre-jambe, avant que ta langue ose s'y aventurer ?
Dis, combien... ?
25 février 2011. 15h56
Des relents d'euphorie de notre dernière étreinte remontent en moi, m'enserrent le corps. La sécheresse de ma bouche me rappelle à chaque instant ton absence, j'ai un besoin viscéral de t'embrasser, de faire pénétrer ma langue au fond de ta gorge. Mon sexe, ma peau et ma tête demandent que tu leur fasses l'amour, que nous échangions caresses, soupirs, tendresse et frissons...
VIENS !
VIENS !
vendredi 25 février 2011
24 février 2011. 02h14
Tes doigts se promènent sur mon corps, le caressent, le dessinent. Le domptent avec une légère fessée lorsque je tente un geste vers toi. Tu m'interdis tout élan, m'empêches d'esquisser un mouvement. Tu me veux à ta merci, disposant de moi à ta guise. J'enrage, je voudrais moi aussi goûter ton parfum, laisser aller ma bouche au creux de tes reins. Mais je m'incline, t'autorisant toutes les audaces, m'offrant à toi dans ma plus complète nudité. Fais-moi jouir mon Ange, réveille en moi l'odeur de l'oubli et de l'extase ! Tu me manques... tant. Je t'<3
23 février 2011. 01h33
Je viens de me réveiller, rappelée à la réalité par ton parfum. Mon nez s'y était enfoui et j'ai cru un moment que tu te trouvais vraiment à mes côtés. Il faudrait un jour que tes t-shirts prennent la parole (ou plutôt la plume) pour raconter tout ce qu'ils observent de ma vie sans toi. Je t'embrasse tardivement, amoureusement, rageusement (ça c'est parce qu'à l'instant précis, j'ai une furieuse envie de te sauter dessus).
mercredi 23 février 2011
23 février 2011. 00h37
J'ai envie de sentir ta main passant dans l'échancrure de mes dessous en dentelles. Qu'elle vienne caresser mes lèvres humides qui attendent que tu approches tes doigts pour égrener la gamme de mes soupirs, celle de ton désir. Je veux que tu entres en moi, que tu me fasses hurler de plaisir, que ta voix se mêle à la mienne pour exprimer tes envies, tes frissons, ta jouissance jusqu'à n'en plus finir. Je veux à nouveau sentir cette renaissance qui s'installe en moi chaque fois que je me retrouve en ta présence, cet élan qui m'emporte au-delà de l'imaginaire.
Je veux sentir ton sexe se gonfler sous mes mains, sous ma langue espiègle et joueuse. Je veux sentir ta bouche aspirer ma peau, tes dents marquant une partie de toi sur moi. Je veux nos doigts se cherchant, se saisissant, s'entremêlant dans une douce lutte. Je veux nos bouches s'abreuvant à la source de l'autre. Je veux nos corps blottis, pelotonnés se ressourçant au creux de nos corps. Je veux des étreintes à l'envi, des baisers à en perdre le sens des réalités. Vite, reviens vite auprès de moi...
I miss you so much. Love <3
Je veux sentir ton sexe se gonfler sous mes mains, sous ma langue espiègle et joueuse. Je veux sentir ta bouche aspirer ma peau, tes dents marquant une partie de toi sur moi. Je veux nos doigts se cherchant, se saisissant, s'entremêlant dans une douce lutte. Je veux nos bouches s'abreuvant à la source de l'autre. Je veux nos corps blottis, pelotonnés se ressourçant au creux de nos corps. Je veux des étreintes à l'envi, des baisers à en perdre le sens des réalités. Vite, reviens vite auprès de moi...
I miss you so much. Love <3
22 févier 2011. 11h55
Et si, te prenant par surprise, je te déposais dans le cou un baiser caresse...
mardi 22 février 2011
22 février 2011. 00h15
Une fois de plus des moments d'extase, jusqu'à l'impensable. Me voir dans ton regard et me sentir belle, désirable.
Ma peau marquée de tes baisers de vampire.
Ces réveils-matin câlin, ces nuits coquines, obsédantes, débordantes de désir et de volupté.
Je te veux à chaque instant, à chaque minute, je veux ta peau contre la mienne. Tes lèvres qui mordent les miennes, qui dévorent mon corps. Mes dents qui croquent dans ta chair. Nos mains qui se joignent, nos doigts qui s'étreignent dans l'envolée de nos sens. Nos yeux qui se noient l'un dans l'autre, qui se nouent l'un à l'autre.
Mon Amour, sais-tu le bonheur que je peux ressentir à tes côtés ? Sais-tu mon émotion chaque fois que je me rapproche de toi ?
Je t'embrasse doucereusement, amoureusement, absolument.
Ma peau marquée de tes baisers de vampire.
Ces réveils-matin câlin, ces nuits coquines, obsédantes, débordantes de désir et de volupté.
Je te veux à chaque instant, à chaque minute, je veux ta peau contre la mienne. Tes lèvres qui mordent les miennes, qui dévorent mon corps. Mes dents qui croquent dans ta chair. Nos mains qui se joignent, nos doigts qui s'étreignent dans l'envolée de nos sens. Nos yeux qui se noient l'un dans l'autre, qui se nouent l'un à l'autre.
Mon Amour, sais-tu le bonheur que je peux ressentir à tes côtés ? Sais-tu mon émotion chaque fois que je me rapproche de toi ?
Je t'embrasse doucereusement, amoureusement, absolument.
vendredi 18 février 2011
18 février 2011. 07h52. Echange surréaliste d'un matin de retrouvailles
Moi : Je dépose là, juste au creux de tes reins, un baiser claquant et sonore.
Lui : Oh ouiii
Moi : J'ai l'impression d'avoir oublié comment te faire l'amour...
Lui : C'est comme le vélo.
Moi : Il va falloir que je pédale ?
Quelle délice de retomber parfois dans la stupidité d'un matin comme les autres, pas tout à fait comme les autres.
Lui : Oh ouiii
Moi : J'ai l'impression d'avoir oublié comment te faire l'amour...
Lui : C'est comme le vélo.
Moi : Il va falloir que je pédale ?
Quelle délice de retomber parfois dans la stupidité d'un matin comme les autres, pas tout à fait comme les autres.
18 février 2011. 00h52
Fantasmer ta voix, la laisser m'emporter dans un oasis de douceurs, d'effluves ambrées. Me laisser aller à l'éblouissement inattendu que me procure l'enlacement de tes bras. Une tiède quiétude s'empare de moi et monte lentement en moi une vague de désir. Puis elle déferle, emportant avec elle toute forme de pensée qui pourrait venir à mon esprit. N'existe plus alors qu'une obsession : être tienne. Que ton corps au mien vienne se frotter, que tes mains me pétrissent, me sculptent, me dévoilent. Que tes doigts emprisonnent la pointe de mes seins, qu'ils les titillent, les pincent, les dévorent. Que ta bouche me parcours, me goûte, me morde, m'avale. Que ta langue m'explore, m'aspire, me fasse frissonner. Que tu me possèdes enfin, de toute ta force de mâle. Que cet élan charnel nous emporte tous les deux. Que vienne enfin cette tempête !
Je t'embrasse noblement, amoureusement, charnellement. Love <3.
Je t'embrasse noblement, amoureusement, charnellement. Love <3.
jeudi 17 février 2011
17 février 2011. 08h51
J'ai pas envie de bosser, envie que tu viennes m'enlever, qu'on envoie bouler ce quotidien et qu'on passe quelques jours de folie douce. Entre journées entières au lit et grandes balades à la tombée de la nuit.
Oups, mon romantisme me rattrape... S'il pouvait te rattraper aussi...
Oups, mon romantisme me rattrape... S'il pouvait te rattraper aussi...
17 février 2011. 00h48
Que tu parcours mon visage de ta langue et que tu en essuies les larmes qui coulent, qui tracent un sillon. Que tes bras m'enserrent et me fassent oublier cette attente, cette absence.
Envie de tendresse, m'endormir contre toi, m'enchâsser en toi. Oublier cette solitude et ces nuits froides. Retrouver la chaleur de ton corps, de ta bouche, de ton sexe.
Je t'embrasse nonchalamment, amoureusement, désirablement.
Envie de tendresse, m'endormir contre toi, m'enchâsser en toi. Oublier cette solitude et ces nuits froides. Retrouver la chaleur de ton corps, de ta bouche, de ton sexe.
Je t'embrasse nonchalamment, amoureusement, désirablement.
mercredi 16 février 2011
16 février 2011. 00h01
Idées en berne, électroencéphalogramme plat. Juste envie de dormir. Tu es là, partout, toujours, de mon réveil à la tombée de la nuit et jusqu'à dans mes rêves. Tu m'enveloppes, tu m'enroules, tu me drapes de tout ton être. Quand le vacarme m'entoure ou quand le silence ouaté m'angoisse, j'entends ta voix.
mardi 15 février 2011
14 février 2011. 22h11
20h04 : L'attente... Viendras-tu ou pas ? Je suis là sur ce canapé, prise entre l'angoisse et l'excitation. Chaque bruit de l'ascenseur fait bondir mon cœur dans ma poitrine - et ce, à peu près toutes les 15 secondes -. Je suis là, comme une adolescente qui attendrait son premier flirt. Je ne sais plus quoi penser, tout s'embrouille dans mon esprit. Mille et une questions se bousculent. Est-ce que j'aurais dû, est-ce que tu as pris la chose au sérieux ? Je me déteste de douter de la sorte, je t'en veux de ne pas avoir donné signe de vie.
J'ai tout prévu pourtant, un menu qui te plaira, une guêpière et un string en dentelles rouge qui sont sensés te rendre fou, cachés sous un strict tailleur noir qui me met en valeur. Je me suis sentie belle et désirable ce matin lorsque je m'apprêtais. Et le doute qui s'immisce, là, dans chaque pore de ma peau, m'empêche de respirer librement.
Les premières heures d'attente étaient un délice, elles commencent maintenant à devenir un supplice. J'essaie d'occuper mon temps en imaginant le moment où tu passeras le seuil de la porte et où ton sourire fera s'évanouir tous mes doutes.
20h37 : Je n'arrive plus à y croire. Et je suis là, j'ai tout fait pour rien. Je me sens totalement ridicule. Et je m'en veux d'y avoir cru, et je t'en veux de ne pas y avoir cru.
21h20 : Je sais que tu n'arriveras plus, pourtant je ne peux m'empêcher d'espérer. Un appel au-moins. Je fais quoi ? Je remballe tout et je rentre ? Je refoule mes larmes et je reprends ma voiture pour faire le chemin en sens inverse ? Et si tu arrivais quand même ?
J'ai tout prévu pourtant, un menu qui te plaira, une guêpière et un string en dentelles rouge qui sont sensés te rendre fou, cachés sous un strict tailleur noir qui me met en valeur. Je me suis sentie belle et désirable ce matin lorsque je m'apprêtais. Et le doute qui s'immisce, là, dans chaque pore de ma peau, m'empêche de respirer librement.
Les premières heures d'attente étaient un délice, elles commencent maintenant à devenir un supplice. J'essaie d'occuper mon temps en imaginant le moment où tu passeras le seuil de la porte et où ton sourire fera s'évanouir tous mes doutes.
20h37 : Je n'arrive plus à y croire. Et je suis là, j'ai tout fait pour rien. Je me sens totalement ridicule. Et je m'en veux d'y avoir cru, et je t'en veux de ne pas y avoir cru.
21h20 : Je sais que tu n'arriveras plus, pourtant je ne peux m'empêcher d'espérer. Un appel au-moins. Je fais quoi ? Je remballe tout et je rentre ? Je refoule mes larmes et je reprends ma voiture pour faire le chemin en sens inverse ? Et si tu arrivais quand même ?
dimanche 13 février 2011
13 février 2011. 22h02
Monsieur,
Je me suis laissé dire que vous veniez d'avoir un an de plus. Il va sans dire que le passage à une année supplémentaire se doit d'être fêté. Vous êtes donc convié à un repas gastronomique au ******* à ****** ce 14 février. Au menu :* Mises en bouche préliminaires
* Escargots de Bourgogne
* Trou normand (et quel trou ! Que vous pourrez déguster à votre guise...)
* Poulet au vin jaune et aux morilles
* Délice des sens
* Entremet (seins? Oui, je sais elle est nulle!) des amoureux -parce qu'il paraîtrait que c'est aussi leur fête aujourd'hui ;-)-
* Café (ou tout autre complément pour terminer votre repas).
En cas d'empêchement majeur (attention! l'excuse devra être plus que valable!), merci de prévenir au plus vite l'auteur de ce message. Qui vous embrasse bien fort au passage.
13 février 2011. 02h13
J'aurais voulu ce matin être ton cadeau , me présenter à toi enrubannée et que tu défasses une à une les boucles enfermant ton présent. J'aurais voulu célébrer ce jour particulier en t'honorant de la plus belle manière qui soit. J'aurais été ton offrande, tu aurais fait de moi ce qui tu aurais voulu. Nous aurions dignement fêté cet évènement dans des explosions de douceur, de caresses et de jouissance. Tu aurais mis tes doigts sur ma bouche et tu aurais guidé les miens sur ta peau, vers ton sexe dressé. Tu m'aurais soufflé à l'oreille tes envies et tes désirs. Tu aurais pris dans ta bouche les boutons de mes seins. Et au lieu d'éteindre toutes les chandelles, nous les aurions attisées du feu de nos étreintes.
JOYEUX ANNIVERSAIRE MON AMOUR.
JOYEUX ANNIVERSAIRE MON AMOUR.
samedi 12 février 2011
12 février 2011. 00h35
Mes mains brûlent de caresser ta peau, ma bouche hurle le désir qu'elle a de toi. Mes seins se tendent vers tes doigts absents, mon sexe perle de ce miel que tu ne goûteras pas... Cette nuit encore je la passerai loin de toi, loin de ce lit qui abrite nos ébats, seule dans celui qui aura été le témoin de mes plus profonds émois. Cette nuit encore je vais me contenter de rêver nos embrasements, ta tendresse je l'inventerai encore plus délicate que d'habitude, ta voix je l'entendrai encore plus ensorcelante, tes yeux je les verrai encore plus brûlants de désir. Ce soir, mes doigts s'aventureront là où les tiens n'iront pas, ma bouche sussurera des mots que tu n'entendras pas, mon regard se perdra dans le vide au lieu de se noyer dans le tien. Mes draps seront humides de cette jouissance que tu ne m'auras donnée que par la pensée. Toutes ces heures d'attente, ces jours loin de tes bras ! Tu me manques mon Amour.
jeudi 10 février 2011
10 février 2011. 00h24
Mes doigts se promènent sur ces marques que tu as faites sur ma peau. Et je me prends à leur en vouloir d'être là, à ta place. Parce qu'à cet endroit devraient se trouver tes lèvres, parce qu'au lieu de mes mains, ce devrait être les tiennes qui parcourent mon corps. Tu me manques. Je t'embrasse naïvement, amoureusement, généreusement.
mercredi 9 février 2011
9 février 2011. 13h52
Sais-tu que tes mains ont tatoué sur mon corps le désir, que ta bouche a confié à ma peau des soupirs... Et qu'elles ont laissé un goût d'envie aigu et continuel...
mardi 8 février 2011
8 février 2011. 23h13
Parce que tu m'emmènes au-delà de tout, au-delà de moi... Parce que ton envie d'explorer l'amour toujours plus haut, toujours plus loin. Parce que mes désirs trouvent en toi plus qu'un aventurier prêt à toutes les folies. Parce que chaque instant à tes côtés est un voyage insoupçonné.
Pour tout ça, et pour des tas d'autres raisons encore, je t'aime.
Je t'embrasse musicalement, amoureusement, mélancoliquement.
Pour tout ça, et pour des tas d'autres raisons encore, je t'aime.
Je t'embrasse musicalement, amoureusement, mélancoliquement.
8 février 2011. 02h21
Une rue parisienne, nos pas foulant le sol, mes talons résonnent contre les murs des immeubles qui nous entourent. Une errance nocturne au gré de mon envie. Des odeurs diverses d'épices, des plats qui mijotent, cuisent de part et d'autres. Ma main qui se perd dans la tienne, ma tête qui vient se loger au creux de toi. Et voilà que chemin faisant, profitant de la présence l'un de l'autre, nous croisons une artère un peu plus sombre. Une porte cochère me fait de l'œil. Je t'y entraîne, te plaque contre le mur et laisse enfin éclater le désir qui m'envahit depuis quelques temps. Mes lèvres se collent à ta bouche et ma langue cherche la tienne, ma respiration se fait plus intense tandis que mes mains filent vers ton entrejambes pour saisir ton membre qui, dèjà, durci sous mes doigts. Je caresse à travers le tissu ton sexe que tout mon être réclame, de tendres va-et-vient s'enhardissent et se font plus rapides. Je sors enfin ta verge de son fourreau, la libère pour l'emprisonner à nouveau... entre mes lèvres.
J'embrasse, je suce, je lèche avec un appétit presque insatiable. J'aime cette sensation de ton corps à moi abandonné, de cette ligne imaginaire sur laquelle nous nous tenons et de laquelle, à tout moment, on risque de tomber. J'aime tes soupirs de plaisir, mon prénom que tu appelles pour mieux me supplier de ne pas arrêter. J'ai envie de t'amener ainsi à la jouissance, mais mon ventre te réclame, trop fort, trop intensément. Tu soulèves ma jupe et pose ta bouche sur mon sexe dont tu aspires la sève déjà présente. Ta langue fouille mon intérieur, tes doigts valsent en moi, atteignent rapidement le point d'apogée, m'obligeant à retenir un cri de plaisir. Tu me saisis par les hanches, me porte à ta hauteur et entres en moi d'un coup de reins. Ta bite et toi, profondément ancrés en moi, essayez de retrouver votre calme. Pour mieux me posséder à nouveau. Mon cul bat contre le mur tandis que tu me pénètres et que tu me fais vivre un moment de sensualité intense. Ton rythme s'accélère et je sens que tu vas venir. J'accorde alors mon plaisir sur le tien et nous jouissons en complète communion.
J'embrasse, je suce, je lèche avec un appétit presque insatiable. J'aime cette sensation de ton corps à moi abandonné, de cette ligne imaginaire sur laquelle nous nous tenons et de laquelle, à tout moment, on risque de tomber. J'aime tes soupirs de plaisir, mon prénom que tu appelles pour mieux me supplier de ne pas arrêter. J'ai envie de t'amener ainsi à la jouissance, mais mon ventre te réclame, trop fort, trop intensément. Tu soulèves ma jupe et pose ta bouche sur mon sexe dont tu aspires la sève déjà présente. Ta langue fouille mon intérieur, tes doigts valsent en moi, atteignent rapidement le point d'apogée, m'obligeant à retenir un cri de plaisir. Tu me saisis par les hanches, me porte à ta hauteur et entres en moi d'un coup de reins. Ta bite et toi, profondément ancrés en moi, essayez de retrouver votre calme. Pour mieux me posséder à nouveau. Mon cul bat contre le mur tandis que tu me pénètres et que tu me fais vivre un moment de sensualité intense. Ton rythme s'accélère et je sens que tu vas venir. J'accorde alors mon plaisir sur le tien et nous jouissons en complète communion.
7 février 2011. 23h22
Et écrire sur ta peau toute une kyrielle de mots caresses. Que tu les effleures à chaque fois que tu en ressentiras le besoin. Tout d'abord, je graverai la tendresse, des baisers déposés ici et là se rappelleront alors à toi, tu en ressentiras la chaleur, la brûlure même parfois. Ensuite, j'écrirai le bonheur, celui qui, j'espère, t'irradie lorsque mes mains parcourent ton corps, qu'elles dessinent le sillage de mon désir de toi, qu'elles griffent mon nom profondément.
Puis j'inscrirai la douceur, celle de mes doigts qui se mêlent, s'emmêlent dans tes cheveux, celle avec laquelle je laisse glisser mes lèvres de ta bouche à ton sexe où je me perds en de divins délices.
Alors viendra le mot passion que j'inscrirai partout sur ta chair parce que chaque partie de toi est à elle seule un appel à la luxure et à la perdition, chaque parcelle invite aux gestes alanguis, aux touchers sensuels, mais également à l'impudence et à l'indécence.
Et puis autour de ces mots, j'imprimerai leur lien, je te tatouerai l'Amour, celui qui nous emporte, à chaque regard, à chaque baiser, à chaque étreinte, à chaque coup de rein. Celui qui nous habite, même dans l'absence, qui se nourrit de l'éloignement et du manque, qui m'ancre à toi.
Puis j'inscrirai la douceur, celle de mes doigts qui se mêlent, s'emmêlent dans tes cheveux, celle avec laquelle je laisse glisser mes lèvres de ta bouche à ton sexe où je me perds en de divins délices.
Alors viendra le mot passion que j'inscrirai partout sur ta chair parce que chaque partie de toi est à elle seule un appel à la luxure et à la perdition, chaque parcelle invite aux gestes alanguis, aux touchers sensuels, mais également à l'impudence et à l'indécence.
Et puis autour de ces mots, j'imprimerai leur lien, je te tatouerai l'Amour, celui qui nous emporte, à chaque regard, à chaque baiser, à chaque étreinte, à chaque coup de rein. Celui qui nous habite, même dans l'absence, qui se nourrit de l'éloignement et du manque, qui m'ancre à toi.
dimanche 6 février 2011
6 février 2011. 21h26
Tant de choses encore à apprendre l'un de l'autre. Tant à attendre. Je voudrais que tu saches détecter cette faille en moi quand je ne vais pas, que tes bras se referment autour de moi et que tu m'invites à me laisser aller. Je voudrais que tu saches que dans tes moments de grande lassitude je serai là. Que je suis là à chaque instant, que je me suis immiscée dans chaque fragment de ton esprit, sur chaque grain de ta peau. Que je suis là, fidèle vigie, prête à lutter contre toutes les tempêtes à tes côtés.
Je voudrais poser ma main sur ta joue et que tu t'y abandonnes, que tu laisses aller ta tête sur ma main et que chaque pensée négative qui t'habite s'échappe au moment où tu te penches vers moi. Je voudrais être capable de tout recevoir de toi et de t'apporter en échange la joie et le bonheur. Je t'embrasse simplement, amoureusement, pleinement.
Je voudrais poser ma main sur ta joue et que tu t'y abandonnes, que tu laisses aller ta tête sur ma main et que chaque pensée négative qui t'habite s'échappe au moment où tu te penches vers moi. Je voudrais être capable de tout recevoir de toi et de t'apporter en échange la joie et le bonheur. Je t'embrasse simplement, amoureusement, pleinement.
vendredi 4 février 2011
3 février 2011. 23h31
S'il te plaît, offre-moi une carte routière afin de me retrouver dans le dédale de mes pensées et de trouver la route qui, auprès de toi au plus vite va m'emmener...
jeudi 3 février 2011
3 février 2011. 00h29
Et l'ennui de ces soirs sans toi, sans ta voix qui apporte à ma journée une once de gaité, un soupçon de lumière, qui suffisent à redonner un sens. Qui suffisent à réveiller les sens. Mon ouïe stimulée par la musique de ta voix déclenche en moi une irrésistible envie de t'entendre me raconter de toutes les manières du monde, nos futures étreintes et nos nuits de volupté. L'odorat, ce sens si volatile que tu me permets de tromper et de leurrer en me laissant un bout de ton armoire après chacune de nos retrouvailles. La vue, celle que je retrouve enfin lorsque je t'aperçois, celle qui me permet de redonner une dimension à ma vie, qui recolore l'existence et lui donne enfin sa véritable identité. Le toucher, celui qui me révèlera la douceur de ton corps, la finesse de la peau, là, entre tes cuisses, la délicatesse de ton visage que mes mains chériront, cajoleront. Le goût enfin, celui de tes lèvres que je dévoreraient comme une louve affamée lorsqu'enfin je pourrai me nourrir à nouveau de toi, celui de ton sexe que je dégusterai comme une friandise, faisant durer le plaisir, celui de tes fesses que je croqueraient comme Blanche-Neige croqua la pomme, en toute innocence et pleine de naïveté.
Je t'embrasse posément, amoureusement, élégamment.
J'ai envie de toi.
Je t'embrasse posément, amoureusement, élégamment.
J'ai envie de toi.
mercredi 2 février 2011
mardi 1 février 2011
1er février 2011. 22h54
Et les jours passent, et les envies s'amplifient. Des tas de vêtements éparpillés, une bataille sensuelle recommencée. Des mains qui battent l'air pour devenir caresses, tendre fessée. Rallumer le feu dans nos entrailles, rappeler en nous l'animal, le félin tapi au plus profond de nous, ne pas réprimer ce grognement de satisfaction. Se blottir, se lover, fouler une fois de plus le sol de la plénitude. Que tu prennes encore mon visage dans tes mains, que tu plonges ton regard au fond du mien pour y lire ce désir qui me consume, cette envie de toi chaque fois plus intense, plus dévorante. Et déchiffrer dans le tien ma sensualité, la beauté de mes courbes, l'intrigue de mon sexe. Et discerner dans tes pupilles le trouble qui gagne, le scintillement particulier qui dit le chaos qui règne en nous à ce moment-là. Revivre enfin cet étourdissement, me perdre dans tes bras, m'aliéner en toi dans un vertige savoureux.
H-69 (le revoilà lui!)
Je t'embrasse suavement, amoureusement, abominablement.
H-69 (le revoilà lui!)
Je t'embrasse suavement, amoureusement, abominablement.
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