Parce que l'envie d'écrire vous prend, jusqu'à la rage parfois. Et parce qu'un jour se fait ressentir l'envie d'un écho...
vendredi 30 septembre 2011
30 septembre 2011. 00h32
Je veux sentir les effluves de ton parfum emplir la pièce, découvrir ta présence grâce à un appel olfactif. Ne pas te voir mais savoir que tu es là. Te chercher, impatiente. Te découvrir, surprise. Te dévorer, corps offert et fiévreux. Te lécher, peau veloutée et soyeuse. Te mordre, tétons pointés et frétillants. Te sucer, sexe dressé et avide. Te cajoler, bras accueillants et aimants. Te faire l'amour, sens dessus dessous, heureuse.
mercredi 28 septembre 2011
28 septembre 2011. 22h59
Mon Amour, j'ai appris tant de choses à tes côtés. A commencer par ce que veut dire aimer. J'ai appris la confiance, le partage et la joie qu'il apporte. J'ai appris le calme, la douceur de ne rien faire. J'ai découvert le désir et l'abandon. La jouissance et le bonheur de voir briller tes yeux. J'ai appris à ne plus avoir honte, à accepter que la seule chose qui compte c'est le plaisir. Le tien et le mien, le nôtre sublimé.
Mon Amour, à tes côtés j'apprends à être moi. L'irradiation d'un sourire, l'allégresse d'un regard. Le bouleversement d'une caresse, l'euphorie d'un baiser.
J'apprends à vivre, à profiter, tout simplement.
Mon Amour, à tes côtés j'apprends à être moi. L'irradiation d'un sourire, l'allégresse d'un regard. Le bouleversement d'une caresse, l'euphorie d'un baiser.
J'apprends à vivre, à profiter, tout simplement.
27 septembre 2011. 23h45
Je ferme les yeux et je sens ta langue qui se promène sur ce bouton gorgé de désir qui n'attend que quelques caresses et quelques attentions avant d'exploser de plaisir.
Je ferme les yeux et je sens la chaleur qui inonde mon sexe, la sève qui coule le long de mon sillon. Je ferme les yeux et je sens tes lèvres aspirer ce liquide dont tu t'abreuves lentement, allant chercher la moindre goutte dans les plus infimes failles.
Je ferme les yeux et je sens tes doigts dessiner des arabesques sur ma peau. Je ferme les yeux et je sens un long frisson me parcourir lorsque tu frôles mes aréoles déjà dures. Je ferme les yeux et je sens ta présence à mes côtés, ronde, pleine, réconfortante.
Je ferme les yeux et je m'abandonne en toi...
Je t'aime.
Je ferme les yeux et je sens la chaleur qui inonde mon sexe, la sève qui coule le long de mon sillon. Je ferme les yeux et je sens tes lèvres aspirer ce liquide dont tu t'abreuves lentement, allant chercher la moindre goutte dans les plus infimes failles.
Je ferme les yeux et je sens tes doigts dessiner des arabesques sur ma peau. Je ferme les yeux et je sens un long frisson me parcourir lorsque tu frôles mes aréoles déjà dures. Je ferme les yeux et je sens ta présence à mes côtés, ronde, pleine, réconfortante.
Je ferme les yeux et je m'abandonne en toi...
Je t'aime.
mardi 27 septembre 2011
26 septembre 2011. 19h41
C'est bizarre les choses de la vie. Me voilà plongée dans un roman et chaque phrase fait écho en moi, résonne plus ou moins fort, un peu comme celles-ci :
"Sans tes mains posées sur moi, je suis désert. Je me souviens, et soudain ce sont mes doigts qui ont de la mémoire. Il me semble qu'à jamais j'emmêlerai mes doigts dans tes cheveux, caresserai ta nuque de bas en haut, empoignerai la peau douce et blanche de ta taille que je déroberai sous ton tee-shirt. [...] Je me suspends à toi, me fonds en toi, niche ma tête dans le creux de ton épaule, tu m'enlaces, m'enserres entre tes bras épais et forts, m'englobes et m'emportes. Avec vingt centimètres de moins que toi, je suis ce territoire occupé, conquis, pris contre ton immensité. Tes mains, larges, carrées, enferment les miennes, petites. Ton regard bienveillant, juste, doux, accroche le mien, fragile et acquis. Tu me dévores, me lèches, me mords, m'avales. Je suis à toi." David Lelait Poussière d'homme
"Sans tes mains posées sur moi, je suis désert. Je me souviens, et soudain ce sont mes doigts qui ont de la mémoire. Il me semble qu'à jamais j'emmêlerai mes doigts dans tes cheveux, caresserai ta nuque de bas en haut, empoignerai la peau douce et blanche de ta taille que je déroberai sous ton tee-shirt. [...] Je me suspends à toi, me fonds en toi, niche ma tête dans le creux de ton épaule, tu m'enlaces, m'enserres entre tes bras épais et forts, m'englobes et m'emportes. Avec vingt centimètres de moins que toi, je suis ce territoire occupé, conquis, pris contre ton immensité. Tes mains, larges, carrées, enferment les miennes, petites. Ton regard bienveillant, juste, doux, accroche le mien, fragile et acquis. Tu me dévores, me lèches, me mords, m'avales. Je suis à toi." David Lelait Poussière d'homme
25 septembre 2011. 23h33
Le calme a repris ses droits.
Juste en apparence...
Les images se bousculent dans ma tête. Impossible de dire précisément ce que j'ai aimé. Mais ce qui est une évidence, c'est que j'ai aimé ton regard sur moi, tes attentions, ta présence. J'ai aimé tes mains jamais bien loin lorsqu'elles n'étaient pas sur moi. Je les voudrais en permanence sur ma peau, caressant mes reins, mon ventre, mes seins.
A cet instant, je voudrais être petite, si petite que tu pourrais me mettre dans ta poche et m'emporter partout avec toi. Tes doigts me frôleraient régulièrement pour s'assurer que tout va bien. Pour me rassurer.
Je t'aime et j'ai tellement besoin de toi pour continuer à avancer !
Juste en apparence...
Les images se bousculent dans ma tête. Impossible de dire précisément ce que j'ai aimé. Mais ce qui est une évidence, c'est que j'ai aimé ton regard sur moi, tes attentions, ta présence. J'ai aimé tes mains jamais bien loin lorsqu'elles n'étaient pas sur moi. Je les voudrais en permanence sur ma peau, caressant mes reins, mon ventre, mes seins.
A cet instant, je voudrais être petite, si petite que tu pourrais me mettre dans ta poche et m'emporter partout avec toi. Tes doigts me frôleraient régulièrement pour s'assurer que tout va bien. Pour me rassurer.
Je t'aime et j'ai tellement besoin de toi pour continuer à avancer !
25 septembre 2011. 16h05
Y a trop d'images dans ma tête, j'arrive pas à faire le tri.
Y a trop de bonheur dans ma vie et j'veux pas que ça s'arrête. J'en veux encore !
Y a trop de bonheur dans ma vie et j'veux pas que ça s'arrête. J'en veux encore !
vendredi 23 septembre 2011
22 speptembre 2011. 00h45
Les nuits passent. Loin de toi. Berceaux de nos envies, couffins de nos désirs assoupis. Se préparent en leur sein des heures électriques...
21 septembre 2011. 23h52
Là, au creux du ventre, se réveille une envie. Jamais bien loin cette envie. Toujours tapie, prête à surgir plus ou moins violemment. En ce moment, elle est bien trop présente, je me demande comment je vais pouvoir lui résister. Il le faut pourtant, pour garder intact le désir que j'ai de toi et révéler encore plus intensément les sensations lorsqu'enfin tes mains me toucheront, lorsque tes lèvres me dévoreront. Tenir tête à mes pulsions. Éviter que ce soient elles qui me dévorent. Attendre. T'attendre. Sagement. En imaginant nos retrouvailles. Qui ne sont jamais les mêmes mais qui ont toujours ce goût délicieux du bonheur et du plaisir.
h-44
h-44
20 septembre 2011. 23h49
Mes yeux se ferment. Malgré eux, malgré moi. Et ton visage s'installe, ton regard m'interroge, semblant me demander la permission de veiller sur moi. Je les autorise à prendre place pour me veiller, me réchauffer et m'accompagner.
Je t'embrasse langoureusement, amoureusement, profondément. Love <3
Je t'embrasse langoureusement, amoureusement, profondément. Love <3
mardi 20 septembre 2011
20 septembre 2011. 01h23
Poser mon front sur ton torse. Sentir tes bras se refermer autour de moi, former cette enveloppe protectrice qui m'assure de ta présence.
Me laisser bercer, emportée par le bonheur, transportée de légèreté. Aspirer ton parfum, en avoir la tête qui tourne doucement.
Vivre, vivre enfin !
Laisser entrer toutes les émotions, laisser aller toutes les fantaisies. Se laisser emporter par la tentation. Avec délice...
Me laisser bercer, emportée par le bonheur, transportée de légèreté. Aspirer ton parfum, en avoir la tête qui tourne doucement.
Vivre, vivre enfin !
Laisser entrer toutes les émotions, laisser aller toutes les fantaisies. Se laisser emporter par la tentation. Avec délice...
dimanche 18 septembre 2011
18 septembre 2011. 23h31
Et mes pensées volent vers toi... Comme une petite plume emportée par le vent. Elle virevolte dans les airs de la même manière que les images dans ma tête.
Photographies d'instants magiques, flashes de caresses échangées dans la douceur. Éclats de lumière qui envahissent mon quotidien.
La vie est tellement belle à tes côtés, que je voudrais passer mon temps à l'observer et à l'écrire. Raconter ma tête posée sur ton ventre, tes doigts caressant mes cheveux. Raconter la tendresse de nos étreintes et la violence de mes sentiments. Écrire ce baiser qui parcourt ton corps, qui embrasse chaque fibre, qui embrase chaque fragment.
Écrire, faire l'amour, cuisiner, t'écouter, voilà à quoi je voudrais passer ma vie !
Photographies d'instants magiques, flashes de caresses échangées dans la douceur. Éclats de lumière qui envahissent mon quotidien.
La vie est tellement belle à tes côtés, que je voudrais passer mon temps à l'observer et à l'écrire. Raconter ma tête posée sur ton ventre, tes doigts caressant mes cheveux. Raconter la tendresse de nos étreintes et la violence de mes sentiments. Écrire ce baiser qui parcourt ton corps, qui embrasse chaque fibre, qui embrase chaque fragment.
Écrire, faire l'amour, cuisiner, t'écouter, voilà à quoi je voudrais passer ma vie !
vendredi 16 septembre 2011
16 septembre 2011. 01h00
Ce soir, en cet instant, plein de nouvelles promesses d'avenir. Mon amour pour toi est encore plus violent que d'habitude. Il est plus fort, plus virulent, plus imposant.
Et je sais que ce n'est que le début d'une autre ascension amoureuse. Et je te désire encore plus fort.
Mon Ange, as-tu conscience qu'il nous reste deux nuits "d'innocence" ? Je me projette vers ton regard complice qui m'autorise toutes les audaces. Et je guette tous tes signes de jouissance afin de partager avec toi le bonheur de la découverte et de la multiplication des plaisirs.
J'ai envie de te hurler que je t'aime et que rien ne peut être plus fort que ça, que rien ne peut venir ternir cet amour là.
Et je sais que ce n'est que le début d'une autre ascension amoureuse. Et je te désire encore plus fort.
Mon Ange, as-tu conscience qu'il nous reste deux nuits "d'innocence" ? Je me projette vers ton regard complice qui m'autorise toutes les audaces. Et je guette tous tes signes de jouissance afin de partager avec toi le bonheur de la découverte et de la multiplication des plaisirs.
J'ai envie de te hurler que je t'aime et que rien ne peut être plus fort que ça, que rien ne peut venir ternir cet amour là.
jeudi 15 septembre 2011
15 septembre 2011. 00h30
Mon Amour, il fallait que je pense à autre chose, que j'évacue toutes les images qui trottaient dans ma tête. Alors je suis allé voir du côté des chaussures et j'ai fini le poème qui devrait accompagner le livre de N.
Mais ça n'a pas suffi.
Tout est là, dans mon esprit. Tout est là, au creux de mon ventre. Tout est là, au bout de mes seins. Tout est là et tout tempête. Les caresses, les soupirs, les baisers. Tout est là et tout s'installe. La douceur, la sensualité, l'érotisme. Tout est là, en moi, autour de moi...
Et j'ai envie, que j'ai envie !!!
Mais ça n'a pas suffi.
Tout est là, dans mon esprit. Tout est là, au creux de mon ventre. Tout est là, au bout de mes seins. Tout est là et tout tempête. Les caresses, les soupirs, les baisers. Tout est là et tout s'installe. La douceur, la sensualité, l'érotisme. Tout est là, en moi, autour de moi...
Et j'ai envie, que j'ai envie !!!
14 septembre 2011. 01h41
J'aimerais parfois redevenir une enfant, que tu prendrais dans tes bras.Un petit être fragile que tu consolerais et à qui tu prendrais la main, pour la guider. Ne plus être cette femme, qui doit tout maîtriser, assurer, assumer. Retrouver cette insouciance que seule ta présence m'autorise.
J'aimerais parfois être une femme. Fatale. Une femme sûre d'elle qui ne doute jamais de rien et séduit tous les gens qu'elle croise. T'éblouir à chaque instant, te surprendre, te troubler. Afficher une assurance un peu insolente.
Je veux être le mélange de ces deux femmes à la fois, accepteras-tu ces deux facettes de moi ?
J'aimerais parfois être une femme. Fatale. Une femme sûre d'elle qui ne doute jamais de rien et séduit tous les gens qu'elle croise. T'éblouir à chaque instant, te surprendre, te troubler. Afficher une assurance un peu insolente.
Je veux être le mélange de ces deux femmes à la fois, accepteras-tu ces deux facettes de moi ?
mardi 13 septembre 2011
13 septembre 2011. 00h31
J'ai fermé les yeux, et c'est ta voix qui m'est apparue... Celle qui murmure "Je t'aime" et qui finit par me le hurler. Celle qui me conte le contact de nos peaux, qui retrace ta langue effleurant mon ventre. Cette voix qui m'apprend la femme que je suis, qui me peint ce que voient tes yeux lorsqu'ils me regardent. Celle qui me rassure quand le doute prend trop de place. Cette voix qui fait s'envoler la nuée de papillons au creux de mon estomac...
12 septembre 2011. 23h24
Ecris-moi encore
Des accords
Au creux de mes reins
Au bout de mes seins
Décris-moi encore
Jusqu'aux aurores
Les réveils à part
Que tu nous prépares
Crie-moi encore
Un peu plus fort
Ton amour pour moi
Ton désir d'émois.
Des accords
Au creux de mes reins
Au bout de mes seins
Décris-moi encore
Jusqu'aux aurores
Les réveils à part
Que tu nous prépares
Crie-moi encore
Un peu plus fort
Ton amour pour moi
Ton désir d'émois.
12 septembre 2011. 06h57
Je veux que ce soit toi qui me réveilles !!!
Un bisou, un sourire, un câlin, pour bien commencer la journée :-(
Un bisou, un sourire, un câlin, pour bien commencer la journée :-(
12 septembre 2011. 00h56
M'endormir contre ta peau, poser ma tête vers ton épaule, dans ce petit creux qu'on croirait avoir été dessiné pour moi... M'oublier en m'enfonçant dans le sommeil. M'imaginer me perdre en toi...
dimanche 11 septembre 2011
10 septembre 2011. 02h04
Tout imprimer en moi, tout glisser sous ma peau. Du moindre soupir au plus puissant cri de jouissance. Du simple effleurement à la plus torride caresse. Me taire, pour te laisser parler. De toi, de ton passé, du présent, de notre avenir. De ce que tu ressens au plus profond. Tes peurs, tes angoisses. Tes joies et tes désirs aussi. Te parler, pour te raconter. Le bonheur d'être à tes côtés. Évoquer les questions qui parfois me viennent à l'esprit. Savoir que nous trouverons les réponses. T'aimer, nous aimer, du plus profond de nos êtres. Et partager, aimer, profiter, aimer, s'enivrer, aimer encore. Et surtout ne jamais rien regretter.
Love <3
Love <3
vendredi 9 septembre 2011
09 septembre 2011. 00h12
Lentement, tes odeurs commencent à s'estomper. Tout comme le sourire de béatitude qui ornait mes lèvres depuis ton départ. Doucement, il est remplacé par le sourire de la mélancolie. Un voile vient ternir mon regard et un air distrait s'installe peu à peu. Mes pensées sont irrésistiblement attirées vers toi, vers ta silhouette que je crois apercevoir régulièrement. Mes fantasmes les plus fous deviennent des mirages et je t'imagine à mes côtés, ta main dans la mienne et ta bouche perdue dans mon cou. J'entrevois des échanges libertins emprunts d'un érotisme torride, d'une grande tendresse et d'une folie à la limite de la perte de contrôle. Je te vois étourdi, captif de quatre mains, de deux bouches, dévouées à ton unique plaisir et cette vision m'enflamme et me transporte. Et mes doigts s'égarent...
07 septembre 2011. 23h36
Plonger le nez dans ton T-shirt, puis dans mon doudou. M'endormir au milieu de nos odeurs.
06 septembre 2011. 23h50
Le vent souffle. Il souffle même fort, le bougre ! A m'en empêcher de dormir. Les prévisions de demain annonçaient un grand soleil, je suis plutôt sceptique à l'heure qu'il est... Mais suis-je là pour te parler météo ? Non, ou alors ce serait pour te parler de la pluie de salive que j'aimerais abattre sur ton gland afin de la voir couler le long de ton sexe dressé. Te décrire la tornade que j'aimerais voir nous emporter.
Te parler aussi de mes tétons. Parce que, si les tiens auraient besoin d'un peu de paix et de répit, les miens réclament d'entrer dans la tourmente. Tout comme mon entrejambes, d'où s'échappe un mince filet de désir qui s'accroît incroyablement rapidement.
J'aimerais tant que tu viennes calmer ce flot, interrompre ce cri sourd qui résonne en moi...
mardi 6 septembre 2011
05 septembre 2011. 23h40
Tornade dans ma tête, tempête dans mon corps, lorsque je repense à ces merveilleux accords. Les gestes, les mots, les regards, je revis tous les moments de ce weekend et mes moindres cellules réclament un retour rapide de ce chambardement.
Plus le temps à tes côtés passe, et plus je me demande comment c'était avant, plus je me demande comment j'ai pu accepter de vivre l'avant. Évidemment... je ne savais pas ! Mais maintenant que j'ai découvert ce bouleversement des sens alors je sais qu'avant ne pourra plus jamais exister. Et que ce qui fait avant n'aura plus jamais la même saveur ni le même attrait.
Dessine-nous notre avenir...
Je t'embrasse goulûment, amoureusement, excessivement.
Plus le temps à tes côtés passe, et plus je me demande comment c'était avant, plus je me demande comment j'ai pu accepter de vivre l'avant. Évidemment... je ne savais pas ! Mais maintenant que j'ai découvert ce bouleversement des sens alors je sais qu'avant ne pourra plus jamais exister. Et que ce qui fait avant n'aura plus jamais la même saveur ni le même attrait.
Dessine-nous notre avenir...
Je t'embrasse goulûment, amoureusement, excessivement.
05 septembre 2011. 23h15
Regarde-moi. Touche-moi. Effleure-moi. Possède-moi. Contrôle-moi. Exalte-moi. Ressens-moi... Protège-moi... Aime-moi... Retiens-moi !
Je suis Natacha, mieux que des mots, essaie-moi ! ;-)
Finalement, ça marche aussi bien avec moi qu'avec Guilietta, non ? ;-)
Je suis Natacha, mieux que des mots, essaie-moi ! ;-)
Finalement, ça marche aussi bien avec moi qu'avec Guilietta, non ? ;-)
05 septembre 2011. 01h02
Évidemment, je n'arrive pas à dormir. Angoisses d'une veille de rentrée et, surtout des images, des échanges, des paroles qui tournent et retournent dans ma tête.
Envie que tu recommences à inventer une nouvelle façon de cuisiner avec moi. Qu'on mélange les saveurs, qu'on teste quelques plats, qu'on ajoute du piment ici ou là. Envie d'apprendre à redécouvrir le goût des corps, les savourer à l'aveugle, avec le nez au vent pour s'imprégner de chaque odeur. Les toucher, d'abord avec hésitation puis caresser chaque grain de peau, explorer chaque centimètre, se faufiler dans les interstices, les visiter, les titiller. Ah ! que c'est bon ! Ne pas s'arrêter... ou laisser à l'organisme juste le temps de se ressourcer et repartir de plus belle...
Envie que tu recommences à inventer une nouvelle façon de cuisiner avec moi. Qu'on mélange les saveurs, qu'on teste quelques plats, qu'on ajoute du piment ici ou là. Envie d'apprendre à redécouvrir le goût des corps, les savourer à l'aveugle, avec le nez au vent pour s'imprégner de chaque odeur. Les toucher, d'abord avec hésitation puis caresser chaque grain de peau, explorer chaque centimètre, se faufiler dans les interstices, les visiter, les titiller. Ah ! que c'est bon ! Ne pas s'arrêter... ou laisser à l'organisme juste le temps de se ressourcer et repartir de plus belle...
01 septembre 2011. 22h22
Elle arrive à grands pas l'heure de tes lèvres qui s'emparent des miennes. Il se profile, cet instant où tes mains se glisseront sous le tissu de mes vêtements et feront naître quelques frissons sur ma peau. Il arrive, ce moment où je vais à nouveau respirer pleinement, où plus rien n'aura d'importance que nous deux. Je suis tellement impatiente !
jeudi 1 septembre 2011
01 septembre 2011. 01h00
Caresses, mots tendresse. On va s'aimer, se retrouver. J'ai besoin de sentir tes mains sur mon corps, de reprendre le temps de te toucher, t'effleurer. Je veux ton souffle qui fait frissonner ma peau, tes baisers qui excitent mes sens. J'ai envie de ressentir cette chaleur qui m'envahit, basculer la tête et ne plus vivre qu'au travers de ta bouche. Je veux m'abandonner à ta langue, me délecter de cette goutte prometteuse qui perle.
J'AI UNE FURIEUSE ENVIE DE TOI !!!
J'AI UNE FURIEUSE ENVIE DE TOI !!!
31 août 2011. 01h58
J'ai envie de toi. S'il te plaît, réveille-moi d'un baiser tendre et câlin. Susurré directement à mon oreille.
31 août 2011. 01h55
Comment veux-tu fêter cette rentrée, mon Ange ? Quelles envies dévorent ton corps ? Quels fantasmes attisent ton esprit ? Comment veux-tu entamer cette nouvelle étape ? Qu'est-ce qui te ferait plaisir ? Qu'est-ce qui te comblerait ?
Envie que tu décides, envie de me laisser emporter.
Envie que tu décides, envie de me laisser emporter.
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