Le vent souffle. Il souffle même fort, le bougre ! A m'en empêcher de dormir. Les prévisions de demain annonçaient un grand soleil, je suis plutôt sceptique à l'heure qu'il est... Mais suis-je là pour te parler météo ? Non, ou alors ce serait pour te parler de la pluie de salive que j'aimerais abattre sur ton gland afin de la voir couler le long de ton sexe dressé. Te décrire la tornade que j'aimerais voir nous emporter.
Te parler aussi de mes tétons. Parce que, si les tiens auraient besoin d'un peu de paix et de répit, les miens réclament d'entrer dans la tourmente. Tout comme mon entrejambes, d'où s'échappe un mince filet de désir qui s'accroît incroyablement rapidement.
J'aimerais tant que tu viennes calmer ce flot, interrompre ce cri sourd qui résonne en moi...
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