Parce que l'envie d'écrire vous prend, jusqu'à la rage parfois. Et parce qu'un jour se fait ressentir l'envie d'un écho...
jeudi 22 décembre 2011
21 décembre 2011. 23h26
Là, tout de suite, maintenant, contre un mur, sur le bord d'un lavabo ou d'un évier, sous une porte cochère ou sur le capot d'une voiture, quel que soit l'endroit, j'ai envie de toi ! Que tu penches ma tête en arrière et que tu m'embrasses goulûment, que tes mains sur mon corps se promènent et qu'elles s'aventurent sous mon pull avant de se perdre entre mes jambes.
20 décembre 2011. 22h58
Merci pour le weekend feu d'artifice. Les images se mélangent, les sensations sont indescriptibles, j'en ai presque encore des spasmes tellement tout était beau et bon.
J'aurais besoin ce soir d'un grand moment de calme après l'ouragan, me blottir contre toi et me laisser bercer par le son de ta voix et les battements de ton cœur.
Je sais que je n'arrête pas de le dire, mais c'est encore plus fort à chaque instant : JE T'AIME !
vendredi 16 décembre 2011
16 décembre 2011. 01h14
Mon Amour, dans quelques heures je vais enfin me retrouver là où je me sens le mieux : au creux de tes bras, au creux de toi...
Et mes pensées déjà s'y trouvent et mon corps s'impatiente. De multiples preuves me font frissonner. Fébrile, je vais m'endormir.
Je t'aime et dépose un baiser dans ton cou.
Et mes pensées déjà s'y trouvent et mon corps s'impatiente. De multiples preuves me font frissonner. Fébrile, je vais m'endormir.
Je t'aime et dépose un baiser dans ton cou.
09 décembre 2011. 13h31
Je voudrais tout te donner mais tout n'est pas disponible... Alors prends-moi !
07 décembre 2011. 00h31
Partager avec toi tous ces moments anodins, qui, peut-être ne sont rien, mais qui font de nous des complices, des amants.
Vivre à tes côtés les colères et les chagrins, qui parfois brident un peu les élans, mais qui nous lient encore plus fort.
Écouter avec toi la musique de la quiétude, qui repose de ces journées de séparation, et qui nourrit des moments de déraison.
Sentir sous tes doigts la douceur, qui a su réprimer mes peurs, et qui promettent encore de grandes heures.
Vivre à tes côtés les colères et les chagrins, qui parfois brident un peu les élans, mais qui nous lient encore plus fort.
Écouter avec toi la musique de la quiétude, qui repose de ces journées de séparation, et qui nourrit des moments de déraison.
Sentir sous tes doigts la douceur, qui a su réprimer mes peurs, et qui promettent encore de grandes heures.
mardi 6 décembre 2011
05 décembre 2011. 01h10
Je te disais en fin d'après-midi que je déteste le dimanche. Je crois que c'est une journée que je n'ai jamais aimée, et je l'aime encore moins depuis nous. Elle est synonyme de fin, de séparation et je ne peux jamais la traverser sans avoir à l'esprit qu'elle va se terminer et que va arriver le moment de nous quitter. Que nous allons recommencer à compter les heures qui nous séparent. Que nos corps vont à nouveau subir la sécheresse (et le mien ressent déjà les affres de la soif dès le coin de ta rue franchi). Que nos mains vont redevenir orphelines. Que nos bouches vont se chercher sans se trouver.
Et parfois, la douleur l'emporte et la tristesse est bien trop forte. Ce soir, c'est le cas !
Je t'aime et tu me manques (ma chatte me l'a miaulé aussi... !)
Et parfois, la douleur l'emporte et la tristesse est bien trop forte. Ce soir, c'est le cas !
Je t'aime et tu me manques (ma chatte me l'a miaulé aussi... !)
02 décembre 2011. 00h24
Toi, en permanence dans mes pensées. Tu as su m'apprivoiser, dompter mes peurs, faire naître mon corps sous tes doigts. Tu as su me regarder, m'écouter et surtout me parler.
Une fois encore, j'ai envie d'écrire notre histoire, le récit de deux corps constamment entrain de se découvrir, se rechercher, se dévoiler. Et pour ça, je veux du temps. Du temps pour nous, du temps à t'offrir. Je veux profiter de tes mains, de tes caresses, de tes lèvres et de tes baisers dans mon cou, je veux être soulevée par la tempête, propulsée au-delà du réel.
Je veux être comme une enfant devant un spectacle féerique, je veux des étoiles qui brillent dans les yeux, des rires incontrôlés et pas toujours fondés, des larmes qui coulent de trop de bonheur.
Une fois de plus, emporte-moi...
Une fois encore, j'ai envie d'écrire notre histoire, le récit de deux corps constamment entrain de se découvrir, se rechercher, se dévoiler. Et pour ça, je veux du temps. Du temps pour nous, du temps à t'offrir. Je veux profiter de tes mains, de tes caresses, de tes lèvres et de tes baisers dans mon cou, je veux être soulevée par la tempête, propulsée au-delà du réel.
Je veux être comme une enfant devant un spectacle féerique, je veux des étoiles qui brillent dans les yeux, des rires incontrôlés et pas toujours fondés, des larmes qui coulent de trop de bonheur.
Une fois de plus, emporte-moi...
jeudi 1 décembre 2011
01 décembre 2011. 00h43
Toi, endormi loin de mon corps, à quoi rêves-tu ? Qui te vole à moi et me prend tes pensées ? Qui dois-je jalouser d'envahir tes songes ? Qui dois-je remercier de faire naître un sourire sur tes lèvres au milieu de la nuit ?
Toi, endormi loin de mon corps, ton sommeil est-il empli de moi ? Tes pensées volent-elles vers le galbe de mes hanches ? Tes mains se tendent-elles pour toucher le grain de ma peau ? Ta bouche s'avance-t-elle pour déposer des baisers partout sur moi ?
Toi, endormi loin de mon corps, où es-tu ?
Toi, endormi loin de mon corps, ton sommeil est-il empli de moi ? Tes pensées volent-elles vers le galbe de mes hanches ? Tes mains se tendent-elles pour toucher le grain de ma peau ? Ta bouche s'avance-t-elle pour déposer des baisers partout sur moi ?
Toi, endormi loin de mon corps, où es-tu ?
30 novembre 2011. 01h30
J'ai terriblement envie de t'appeler. Juste pour entendre le son de ta voix. Me laisser bercer et, apaisée, le cœur au repos, mon amour au creux du tien, je pourrais m'endormir.
Je t'aime.
Je t'aime.
lundi 28 novembre 2011
28 novembre 2011. 01h47
Ouvrir les yeux sur ta bouche qui me dévore.
Poser les mains sur ton sexe qui me réclame.
Apposer mes lèvres sur tes tétons durcis par le désir.
Ne plus penser à rien qu'à ce tourbillon qui nous emporte, nous déporte, nous chavire.
Et goûter à nouveau les délices de la chaire.
Parce que rien n'est plus beau que ta peau contre la mienne, que ton sexe dans le mien et que nos cris perdus dans la nuit, dans le jour. Toujours.
Je t'aime. je n'aime que toi et tu emplis ma vie d'un bonheur bien trop grand pour moi mais que je ne laisserais s'échapper sous aucun prétexte.
Poser les mains sur ton sexe qui me réclame.
Apposer mes lèvres sur tes tétons durcis par le désir.
Ne plus penser à rien qu'à ce tourbillon qui nous emporte, nous déporte, nous chavire.
Et goûter à nouveau les délices de la chaire.
Parce que rien n'est plus beau que ta peau contre la mienne, que ton sexe dans le mien et que nos cris perdus dans la nuit, dans le jour. Toujours.
Je t'aime. je n'aime que toi et tu emplis ma vie d'un bonheur bien trop grand pour moi mais que je ne laisserais s'échapper sous aucun prétexte.
samedi 26 novembre 2011
26 novembre 2011. 00h31
Le sommeil me guette. Mon regard se brouille et les mots sur la page s'effacent pour laisser place à ton sourire. Il me semble entendre ta voix, sentir ta présence. Est-ce ton souffle dans mon cou ? Tes mains qui effleurent mon corps et me déshabillent ? Ta bouche qui suit ma colonne pour aller se perdre dans mon sillon ? Est-ce tes yeux, plongés dans les miens, que j'ouvre difficilement ? De peur de devoir faire face au vide, inexorablement.
24 novembre 2011. 23h36
Recevoir tes caresses,
Avoir la faiblesse
De me laisser emporter
De ne savoir y résister.
T'offrir en retour
Des mots de velours
Qui envelopperont tes nuits
Qui couvriront tes envies.
Te faire vivre chaque jour
Le plus éblouissant des amours
Sentir qu'à tes côtés,
Ma place j'ai trouvé.
Ne plus rien espérer
Sauf la fin de nos corps séparés
Et nos vies enfin réunies
Pour en partager chaque nuit.
Avoir la faiblesse
De me laisser emporter
De ne savoir y résister.
T'offrir en retour
Des mots de velours
Qui envelopperont tes nuits
Qui couvriront tes envies.
Te faire vivre chaque jour
Le plus éblouissant des amours
Sentir qu'à tes côtés,
Ma place j'ai trouvé.
Ne plus rien espérer
Sauf la fin de nos corps séparés
Et nos vies enfin réunies
Pour en partager chaque nuit.
jeudi 24 novembre 2011
24 novembre 2011. 00h34
Il aurait été criminel
De laisser sommeiller
Un tel potentiel sexuel
Et tu as su réveiller
Celui qui en moi dormait
Pour faire exploser un plaisir
Qui ne cherchait qu'à s'épanouir.
Pourrais-je jamais assez te remercier
De tout le bonheur que tu m'as donné
De toutes ces jouissances vécues
Qui, je sais, ne sont qu'un début.
De laisser sommeiller
Un tel potentiel sexuel
Et tu as su réveiller
Celui qui en moi dormait
Pour faire exploser un plaisir
Qui ne cherchait qu'à s'épanouir.
Pourrais-je jamais assez te remercier
De tout le bonheur que tu m'as donné
De toutes ces jouissances vécues
Qui, je sais, ne sont qu'un début.
21 novembre 2011. 23h46
Parfois j'y pense et je me dis que j'aurais bien voulu un enfant de toi... Un petit être qui aurait grandi à l'intérieur de moi... Qui aurait eu tes yeux et mon regard.
Parfois j'y pense et je sens ta main qui aurait caressé mon ventre arrondi, cette oreille que tu aurais posée pour écouter les battements, sentir ses mouvements.
Un mélange de toi et moi... deux sensibilités recomposées qui se mêlent pour en faire naître une autre.
Parfois j'y pense et je me dis que ça aurait été bien. Et j'aime le petit bout d'homme ou de femme qui aurait été la fusion de nous.
Parfois j'y pense et je sens ta main qui aurait caressé mon ventre arrondi, cette oreille que tu aurais posée pour écouter les battements, sentir ses mouvements.
Un mélange de toi et moi... deux sensibilités recomposées qui se mêlent pour en faire naître une autre.
Parfois j'y pense et je me dis que ça aurait été bien. Et j'aime le petit bout d'homme ou de femme qui aurait été la fusion de nous.
21 novembre 2011. 00h11
Fermer les yeux. Parce que ce soir les images disent plus que les mots. Revivre chaque instant, ressentir à nouveau l'intensité de chaque caresse, la chaleur qui irradie à chaque baiser. Et nos langues qui se mêlent sur ce sexe tendu et nos bouches qui se croisent pour multiplier le plaisir.
Et s'il ne fallait retenir qu'un instant, c'est celui où tu m'as glissé à l'oreille que tu m'aimais. Sa valeur en est encore plus forte. Et si tu savais comme je t'ai aimé moi aussi durant ces heures, comme je t'ai trouvé beau. Et si tu savais comme je t'aime maintenant, comme je t'aime à chaque seconde. Tout est tellement magique à tes côtés. Serait-il possible d'en espérer plus ?
Et s'il ne fallait retenir qu'un instant, c'est celui où tu m'as glissé à l'oreille que tu m'aimais. Sa valeur en est encore plus forte. Et si tu savais comme je t'ai aimé moi aussi durant ces heures, comme je t'ai trouvé beau. Et si tu savais comme je t'aime maintenant, comme je t'aime à chaque seconde. Tout est tellement magique à tes côtés. Serait-il possible d'en espérer plus ?
18 novembre 2011. 00h26
Mon Amour, crois-tu que parfois les mots puissent être vains ? Ou tout du moins qu'ils peuvent être vaincus par la force de la réalité ? Je vis tous ces moments et je n'arrive pas à en retranscrire leur puissance. Je ne suis plus en mesure de te dire la violence de mes sentiments, de mes envies.
Et je me sens à la fois orpheline de ces phrases que je n'ai pas encore inventées, et totalement épanouie et heureuse de ce manque remplacé par ton omniprésence à mes côtés et en moi. Remplie de cette incroyable force d'amour et de tentation(s).
Je t'aime.
Et je me sens à la fois orpheline de ces phrases que je n'ai pas encore inventées, et totalement épanouie et heureuse de ce manque remplacé par ton omniprésence à mes côtés et en moi. Remplie de cette incroyable force d'amour et de tentation(s).
Je t'aime.
16 novembre 2011. 00h01
J'ai froid. Tu me manques. Pourquoi ce vide chaque soir à côté de moi ?
Pourquoi cette obligation de me rouler dans la couette comme pour créer un semblant de chaleur, un semblant de vie ?
Je sais que tu me répondras que c'est pour mieux préparer nos retrouvailles, l'embrasement de nos corps. Pour mieux emplir les silences qui auront précédés. Pour que jour après jour, notre amour, plus fort se construise.
Mais j'ai besoin de ta main dans la mienne au quotidien, besoin de ton sourire à chaque coin de mur, de tes baisers dérobés à chaque occasion. Je t'aime !
Je t'aime et je te veux.
Pourquoi cette obligation de me rouler dans la couette comme pour créer un semblant de chaleur, un semblant de vie ?
Je sais que tu me répondras que c'est pour mieux préparer nos retrouvailles, l'embrasement de nos corps. Pour mieux emplir les silences qui auront précédés. Pour que jour après jour, notre amour, plus fort se construise.
Mais j'ai besoin de ta main dans la mienne au quotidien, besoin de ton sourire à chaque coin de mur, de tes baisers dérobés à chaque occasion. Je t'aime !
Je t'aime et je te veux.
jeudi 17 novembre 2011
15 novembre 2011. 00h19
Tressaillir, bondir, bouleverser, chavirer, gémir. Dans le désordre des draps.
Cheveux fous, bouche sèche, œil brillant, Oh mon tendre amour, encore, encore !
Cheveux fous, bouche sèche, œil brillant, Oh mon tendre amour, encore, encore !
13 novembre 2011. 23h33
Tes bras, j'ai envie de tes bras. Qui se refermeront autour de mes épaules. Tes lèvres se poseront dans mon cou, se promèneront sur ma peau. Tu respireras mon odeur, profondément, et tu t’enivreras de cette odeur de parfum, mêlée à celle de mon désir. Tes mains chercheront mes seins, papillonneront sur eux.
Mon corps vers toi se tendra, mes seins te réclameront. Ma bouche voudra elle aussi goûter ta peau. Mes lèvres iront chercher l'objet de mon désir et l'aspireront goulûment parce que je l'aurai tant attendu.
Et comme d'habitude, nous nous aimerons, éperdument.
Mon corps vers toi se tendra, mes seins te réclameront. Ma bouche voudra elle aussi goûter ta peau. Mes lèvres iront chercher l'objet de mon désir et l'aspireront goulûment parce que je l'aurai tant attendu.
Et comme d'habitude, nous nous aimerons, éperdument.
08 novembre 2011. 23h12
J'entre dans la chambre, tu dors. J'ai envie de ta chaleur. J'ai envie de sentir ta peau contre ma peau. J'ai envie de partager ton corps. Je me glisse auprès de toi et pose ma tête sur ton épaule. Je voudrais simplement dormir, mais...
jeudi 10 novembre 2011
08 novembre 2011. 00h30
Mes doigts se sont perdus dans les replis de mes cuisses. J'ai fermé les yeux et je t'ai vu, seul dans ton lit.Et j'ai eu envie que nos solitudes se rejoignent. A travers mes doigts, les tiens m'ont caressée, ton sexe m'a pénétrée. Et je me suis sentie devenir féline, me suis laissé aller à la douceur des frôlements, me suis laissé emporter par la vague de l'émotion. <3
lundi 7 novembre 2011
04 novembre 2011. 00h15
Peu importe le vent qui souffle, la pluie qui cingle, mes chaussures qui prennent l'eau, ma coiffure qui ne ressemble plus à rien.
Peu importe la contrariété d'une remarque, le regard désobligeant du passant, la colère des mécontents, la mauvaise humeur ambiante.
Le rêve éveillé est ma nouvelle façon d'avancer.
Peu importe la contrariété d'une remarque, le regard désobligeant du passant, la colère des mécontents, la mauvaise humeur ambiante.
Le rêve éveillé est ma nouvelle façon d'avancer.
03 novembre 2011. 00h51
Oh mon dieu ! Que c'est dur de résister à cette envie que tu me prennes ! Maintenant ! Que tes doigts me transportent et fassent couler le miel. Que nos peaux se touchent et s'électrisent. Que nos sexes s'emboîtent et se déchaînent. Que la chaleur nous envahisse et nous fasse frissonner. Que le désir nous possède et nous emporte.
03 novembre 2011. 00h14
Je souris en pensant à ton visage, à cette sérénité qui m'habite. Je ris en pensant à nos caresses, à cette douceur qui m'envahit. Je m'envole en pensant à nos étreintes, à cette légèreté qui m'emporte. Je m'impatiente en pensant à ta bouche, à cet appétit qui me dévore.
Tu me manques.
Tu me manques.
02 novembre 2011. 00h08
Mon Amour, je dépose sur ton front ainsi que dans ton cou un baiser très spécial pour ce jour bien spécial.
Fais-moi une petite place à tes côtés afin que je t'accompagne tout au long de cette journée. Je t'aime.
Fais-moi une petite place à tes côtés afin que je t'accompagne tout au long de cette journée. Je t'aime.
02 novembre 2011. 00h05
Embrasse-moi. Pose tes lèvres humides sur mon corps plus ardent qu'un brasier.
Caresse-moi. Promène tes doigts sur mes seins tendus à l'extrême.
Parle-moi. Murmure des mots câlins à mon oreille attentive.
Prends-moi. Approche tes mains de mon sexe offert à tes envies.
Caresse-moi. Promène tes doigts sur mes seins tendus à l'extrême.
Parle-moi. Murmure des mots câlins à mon oreille attentive.
Prends-moi. Approche tes mains de mon sexe offert à tes envies.
mardi 1 novembre 2011
01 novembre 2011. 03h18
Je me suis endormie enroulée autour de ton corps. Mon nez enfoui dans ton cou. Mon bras autour de ta taille.
Merci mon Amour. Pour tout. Pour ce bonheur qui empli chaque jour ma vie. Pour ce soleil qui me réchauffe à chaque instant. Et pour toutes ces étoiles et ces étincelles qui font que notre histoire sera toujours plus belle. <3
Merci mon Amour. Pour tout. Pour ce bonheur qui empli chaque jour ma vie. Pour ce soleil qui me réchauffe à chaque instant. Et pour toutes ces étoiles et ces étincelles qui font que notre histoire sera toujours plus belle. <3
30 octobre 2011. 23h56
Des mots. Toujours plus beaux, toujours plus forts, toujours plus suggestifs. Mais ce soir je ne les trouve pas. Ils sont éclipsés par des images bien trop intenses et obsédantes.
Te rends-tu compte qu'il y a un peu plus d'une semaine seulement, je t'attendais, alanguie et aguichante sur le lit dans lequel je viens de m'allonger... Tout est tellement envoûtant à chaque fois... Et c'est toujours un nouvel émerveillement et une nouvelle surprise. Et c'est toujours une jouissance à peine croyable !
Te rends-tu compte qu'il y a un peu plus d'une semaine seulement, je t'attendais, alanguie et aguichante sur le lit dans lequel je viens de m'allonger... Tout est tellement envoûtant à chaque fois... Et c'est toujours un nouvel émerveillement et une nouvelle surprise. Et c'est toujours une jouissance à peine croyable !
27 octobre 2011. 22h25
J'aimerais savoir ce qu'est ta vie en mon absence. Je voudrais savoir si elle est comme la mienne, emplie de manques, d'heures qui s'écoulent bien trop lentement.
J'aimerais accompagner ta vie en mon absence. Je voudrais remplir tous tes vides comme tu envahis les miens, m'immiscer même dans tes pleins.
J'aimerais éclairer ta vie en mon absence. Être dans chacun de tes éclats de voix, surgir à chacun de tes éclats de rire.
J'aimerais que tu me racontes chaque battement de ta vie en mon absence. Que tu m'en dessines chaque contour et que chaque trait devienne un lien de plus entre nous. Comme chacun de mes mots est un fil doré qui m'attache à toi.
J'aimerais accompagner ta vie en mon absence. Je voudrais remplir tous tes vides comme tu envahis les miens, m'immiscer même dans tes pleins.
J'aimerais éclairer ta vie en mon absence. Être dans chacun de tes éclats de voix, surgir à chacun de tes éclats de rire.
J'aimerais que tu me racontes chaque battement de ta vie en mon absence. Que tu m'en dessines chaque contour et que chaque trait devienne un lien de plus entre nous. Comme chacun de mes mots est un fil doré qui m'attache à toi.
26 octobre 2011. 23h20
Te voir tourner la clef dans une serrure inconnue. Une clef toute petite, fine et ciselée qui donne l'impression de ne pas pouvoir tenir tête à ce chambranle. Et pourtant, la voir tourner dans son cylindre sans aucune résistance, avec une facilité déconcertante. Tenir ta main tandis que l'autre ouvre d'un air assuré la porte d'une chambre que nous ne connaissons pas mais qui abritera des étreintes pleines d'audaces. Oser d'autres choses, parce que nous serons en terrain inconnu et que nous partirons en exploration. Comme une nouvelle découverte, pleine d'autres émotions. Me recroqueviller au creux de toi et réapprendre l'amour, tous les gestes de l'amour. En douceur, lentement, pour que chaque caresse décomposée soit à jamais inscrite sur nos corps. S'aimer sauvagement, bruyamment, pour que chaque mot prononcé soit à jamais gravé dans nos cœurs.
Tu me manques et chaque moment loin de toi est une déchirure. Chaque moment de joie passé sans toi semble être une trahison.
Tu me manques et chaque moment loin de toi est une déchirure. Chaque moment de joie passé sans toi semble être une trahison.
25 octobre 2011. 22h53
J'aime quand tu lâches prise. Quand tu acceptes de t'abandonner. Lorsque enfin tu poses ta tête au creux de mon épaule, ou sur ma poitrine. Quand tu déposes ta fatigue, tes doutes, tes chagrins au creux de moi. Que tu m'offres ce fardeau et que tu me proposes tacitement d'en supporter la charge.
J'aime quand ton visage au centre de mes paumes se détend. Que tu comprends qu'à deux tout sera plus facile à vivre. Que tu me lègues tes hésitations et tes interrogations et que ta tête se fait plus lourde sur moi.
J'aime quand ton visage au centre de mes paumes se détend. Que tu comprends qu'à deux tout sera plus facile à vivre. Que tu me lègues tes hésitations et tes interrogations et que ta tête se fait plus lourde sur moi.
lundi 31 octobre 2011
24 octobre 2011. 20h33
Tu vois, finalement tu l'auras quand même ton message. C'est comme un rituel, une habitude obsessionnelle. Si je ne le fais pas, je n'arrive pas à dormir.
J'ai cette impression bizarre que notre séparation de cette semaine va être plus difficile que d'habitude. Comme si les kilomètres de plus que j'ai ajouté entre nous allaient rallonger le temps. Je sais, c'est totalement idiot. Pourtant, je n'arrive pas à me raisonner, me dire que ces quelques jours en famille vont passer vite et que la fin arrivera avant même que je m'en soit rendu compte...
Peut-être aussi que la fatigue dramatise un peu tout... Je t'embrasse en tout cas partout où mes lèvres peuvent se poser (c'est dire si aucun endroit de ton corps ne sera épargné ! ;-)). Je t'aime.
J'ai cette impression bizarre que notre séparation de cette semaine va être plus difficile que d'habitude. Comme si les kilomètres de plus que j'ai ajouté entre nous allaient rallonger le temps. Je sais, c'est totalement idiot. Pourtant, je n'arrive pas à me raisonner, me dire que ces quelques jours en famille vont passer vite et que la fin arrivera avant même que je m'en soit rendu compte...
Peut-être aussi que la fatigue dramatise un peu tout... Je t'embrasse en tout cas partout où mes lèvres peuvent se poser (c'est dire si aucun endroit de ton corps ne sera épargné ! ;-)). Je t'aime.
24 octobre 2011. 17h43
L'automne a revêtu ses rouges et ses ocres, la route était magnifique ! Je suis fatiguée malgré tout. Bisous. Love <3
23 octobre 2011. 21h39
J'ai l'impression de vivre dans un rêve, pourtant quelque chose me dit que c'est la réalité.
Appelle-moi pour me dire que tout ça est vraiment arrivé. Je t'aime.
Appelle-moi pour me dire que tout ça est vraiment arrivé. Je t'aime.
vendredi 21 octobre 2011
20 octobre 2011. 00h57
Avec un regard de défi, tu m'imposes une lutte sensuelle faite de gestes lents et caressants. Un ballet improvisé sur nos corps enflammés. Une scène au ralenti où tout doit être mesuré. Des yeux qui brillent de désir. Des pupilles qui pétillent de trop se contenir. Une main qui s'approche d'un sein. Le bout des doigts qui effleurent. Une paume qui s'empare avec douceur d'un premier objet de délit. Une bouche qui goûte des lèvres. Des langues qui se cherchent. Un long baiser qui éclot. Deux corps qui se frôlent. Deux sexes qui se frottent l'un à l'autre.
Travelling avant sur les visages tendus. Et la scène s'accélère et les souffles deviennent haletants. Et les suppliques deviennent pressantes. Suce-moi, lèche-moi, empare-toi de moi... Et on ne sait plus d'où viennent les demandes. Qui les émet, qui y répond. Et chacun s'offre totalement à l'autre. Et chacun donne tout à l'autre.
... Et la porte discrètement se referme...
Travelling avant sur les visages tendus. Et la scène s'accélère et les souffles deviennent haletants. Et les suppliques deviennent pressantes. Suce-moi, lèche-moi, empare-toi de moi... Et on ne sait plus d'où viennent les demandes. Qui les émet, qui y répond. Et chacun s'offre totalement à l'autre. Et chacun donne tout à l'autre.
... Et la porte discrètement se referme...
jeudi 20 octobre 2011
19 octobre 2011. 01h50
J'aime tes yeux quand tu me regardes,
Je les aime lorsqu'ils se fardent
Des couleurs de la jouissance.
J'aime ta bouche quand elle m'effleure
Lorsqu’à ses bords affleurent
Les mots qui chassent l'absence.
J'aime tes mains quand elles caressent
Je les aime aussi lorsqu'elles me fessent
Qu'elles révèlent mes envies indécentes.
J'aime tes tétons quand ils se dressent
Lorsque soudain ton désir s'empresse
Et que nos souffles en accord s'affolent.
J'aime tes mots quand ils supplient
Au moment où nos corps se plient
Sous le poids de la volupté.
J'aime ta résistance offerte comme un cadeau
Quand tu me la cèdes sans autre mot
Qu'un "je t'aime" à mon oreille murmuré.
Je les aime lorsqu'ils se fardent
Des couleurs de la jouissance.
J'aime ta bouche quand elle m'effleure
Lorsqu’à ses bords affleurent
Les mots qui chassent l'absence.
J'aime tes mains quand elles caressent
Je les aime aussi lorsqu'elles me fessent
Qu'elles révèlent mes envies indécentes.
J'aime tes tétons quand ils se dressent
Lorsque soudain ton désir s'empresse
Et que nos souffles en accord s'affolent.
J'aime tes mots quand ils supplient
Au moment où nos corps se plient
Sous le poids de la volupté.
J'aime ta résistance offerte comme un cadeau
Quand tu me la cèdes sans autre mot
Qu'un "je t'aime" à mon oreille murmuré.
19 octobre 2011. 01h30
Devenir chatte. Me glisser sous tes draps, caresser ton torse de mon poils soyeux. Me rouler en boule, et m'installer au creux de tes bras, au plus près de ta joue afin de sentir ton souffle sur moi.
18 octobre 2011. 00h24
J'ai envie de toi, de ta langue sur ma peau. De ta bouche sur mes lèvres. D'un baiser passionné. De mes mains sur ton corps. De la petite goutte qui perle. De ton sexe dans le mien. De tes soupirs. De tes cris de jouissance.
lundi 17 octobre 2011
17 octobre 2011. 23h11
Me lover dans tes bras et m'endormir à l'abri de tout. Vivre encore et encore des moments doux.
Gémir un peu plus fort sous la caresse de tes doigts. Jouir toujours plus intensément, mon corps contre le tien.
Partager encore notre intimité pour des instants d'intense volupté. Voir encore briller dans tes yeux le plaisir et la sensualité.
Gémir un peu plus fort sous la caresse de tes doigts. Jouir toujours plus intensément, mon corps contre le tien.
Partager encore notre intimité pour des instants d'intense volupté. Voir encore briller dans tes yeux le plaisir et la sensualité.
14 octobre 2011. 00h31
Bander tes yeux et t'installer confortablement. Effectuer autour de toi une danse légère que tu ne pourras deviner que grâce aux effluves de mon parfum. Caresser parfois ton corps, rapidement, pour que tu n'aies pas le temps de réagir. Ôter tes vêtements, un à un, en prenant bien le temps de dessiner chaque membre. Imprimer mes empreintes sur ton torse. Jouir du frisson qui te traverse au contact de ma bouche sur tes tétons. Me mettre à genoux devant toi, écarter tes cuisses et m'emparer de ta queue au garde-à-vous, presque parcourue de spasmes en sentant ma langue la lécher doucement avant de l'engloutir dans ma gorge. Avoir envie de te sucer jusqu'à ce que ton plaisir explose en moi...
14 octobre 2011. 00h09
Je voudrais parfois trouver des mots plus doux pour te dire mon amour pour toi. Je voudrais parfois trouver des mots plus crus pour te dire le désir qui déchire mes entrailles.
Je voudrais parfois trouver des mots plus sensuels pour dire le parcours de ma langue sur ton corps. Je voudrais parfois trouver des mots plus envoûtants pour te dire l'envie de toi à mes côtés dans ce lit.
Je voudrais parfois trouver des mots plus félins pour te dire les griffes que je voudrais marquer sur ta peau. Je voudrais parfois trouver des mots plus colorés pour te dire le soleil qui brille sur ma vie depuis toi.
Je voudrais parfois trouver des mots plus convaincants pour te dire mon besoin de toi avec moi, sur moi, en moi, chaque jour.
Je voudrais parfois trouver des mots plus sensuels pour dire le parcours de ma langue sur ton corps. Je voudrais parfois trouver des mots plus envoûtants pour te dire l'envie de toi à mes côtés dans ce lit.
Je voudrais parfois trouver des mots plus félins pour te dire les griffes que je voudrais marquer sur ta peau. Je voudrais parfois trouver des mots plus colorés pour te dire le soleil qui brille sur ma vie depuis toi.
Je voudrais parfois trouver des mots plus convaincants pour te dire mon besoin de toi avec moi, sur moi, en moi, chaque jour.
jeudi 13 octobre 2011
13 octobre 2011. 00h11
Gainer mes jambes de bas de soie, enfiler des sous-vêtements de dentelle, passer ma robe la plus jolie et la plus sexy.
Te regarder droit dans les yeux et t'annoncer que tu ne pourras pas me toucher tant que je ne t'y aurai pas autorisé.
Te caresser avec mon corps dès que les occasions se présenteront. Et si elles ne se présentent pas, les provoquer.
Effleurer ton cou à chacun de mes passages près de toi, toucher ta peau, brûlante de désir. Glisser sur ton pantalon, frôler ton sexe déjà tendu.
Retenir ta main qui s'égare, te rappeler les règles, un soupçon de reproche dans la voix.
Sentir en moi monter l'envie, résister à l'appel de tes caresses. Venir cueillir un baiser sur tes lèvres, pénétrer ta bouche.
Et céder à la tentation...
Te regarder droit dans les yeux et t'annoncer que tu ne pourras pas me toucher tant que je ne t'y aurai pas autorisé.
Te caresser avec mon corps dès que les occasions se présenteront. Et si elles ne se présentent pas, les provoquer.
Effleurer ton cou à chacun de mes passages près de toi, toucher ta peau, brûlante de désir. Glisser sur ton pantalon, frôler ton sexe déjà tendu.
Retenir ta main qui s'égare, te rappeler les règles, un soupçon de reproche dans la voix.
Sentir en moi monter l'envie, résister à l'appel de tes caresses. Venir cueillir un baiser sur tes lèvres, pénétrer ta bouche.
Et céder à la tentation...
mardi 11 octobre 2011
10 octobre 2011. 23h34
Je l'ai recouvert d'un linceul. Il est mort, secoué par des spasmes violents. Un liquide blanchâtre coulait entre les lèvres.
Il avait, pour un temps, trouvé refuge dans un écrin confortable et en avait visité tous les recoins, revenant parfois, pour s'assurer de la douceur d'une partie et en profiter.
Il avait aussi visité la cave, l'avait trouvée fort accueillante et avait décidé qu'il y reviendrait ; souvent.
Il s'était égaré entre deux monts, y avait fait des allers et venues, endroit si délicieux.
Il avait découvert une ouverture gourmande qui avait attiré son attention et dans laquelle il s'était maintes fois abandonné jusqu'à l'extrême.
Mais cette fois, ça y est, il a rendu les armes. Il s'est éteint, plus aucun fluide ne circule en lui, il a tout donné (et beaucoup pris aussi, pour son plus grand plaisir). J'ai donc tiré le drap sur ton sexe, pour le laisser se reposer... Jusqu'à la prochaine fois...
Il avait, pour un temps, trouvé refuge dans un écrin confortable et en avait visité tous les recoins, revenant parfois, pour s'assurer de la douceur d'une partie et en profiter.
Il avait aussi visité la cave, l'avait trouvée fort accueillante et avait décidé qu'il y reviendrait ; souvent.
Il s'était égaré entre deux monts, y avait fait des allers et venues, endroit si délicieux.
Il avait découvert une ouverture gourmande qui avait attiré son attention et dans laquelle il s'était maintes fois abandonné jusqu'à l'extrême.
Mais cette fois, ça y est, il a rendu les armes. Il s'est éteint, plus aucun fluide ne circule en lui, il a tout donné (et beaucoup pris aussi, pour son plus grand plaisir). J'ai donc tiré le drap sur ton sexe, pour le laisser se reposer... Jusqu'à la prochaine fois...
09 octobre 2011. 22h29
Je vais refermer les yeux sur de somptueuses images et d'incroyables sensations. J'ai vécu un weekend d'une intensité que je n'avais encore jamais connue. Je suis tellement heureuse de vivre ça à tes côtés !
07 octobre 2011. 00h56
Je t'ai dit que je ne voulais pas y penser, et pourtant, je ne pense qu'à ça ! Une caresse entre mes cuisses et tu aurais idée de l'ampleur des dégâts. J'ai d'ailleurs très envie d'y plonger mes doigts, je pense que je ne mettrais pas deux minutes à me faire jouir tellement l'excitation est grande.
Je t'ai imaginé, caressant ma jambe, relevant discrètement ma robe. Je l'ai vu, caressant mon dos, massant ma nuque pour me détendre. J'ai ressenti une douce chaleur et j'ai senti vos mains sur mon corps. Des caresses lentes, comme si elles avaient peur de toucher un objet fragile. Et j'ai aimé cette douceur, j'ai aimé cette tendresse et je t'ai embrassé tandis que sa bouche picorait mon cou.Je me suis collée un peu plus contre lui pour constater l'effet procuré et t'ai attiré un peu plus contre moi pour te sentir, gonflé contre mon ventre.
Je t'ai imaginé, caressant ma jambe, relevant discrètement ma robe. Je l'ai vu, caressant mon dos, massant ma nuque pour me détendre. J'ai ressenti une douce chaleur et j'ai senti vos mains sur mon corps. Des caresses lentes, comme si elles avaient peur de toucher un objet fragile. Et j'ai aimé cette douceur, j'ai aimé cette tendresse et je t'ai embrassé tandis que sa bouche picorait mon cou.Je me suis collée un peu plus contre lui pour constater l'effet procuré et t'ai attiré un peu plus contre moi pour te sentir, gonflé contre mon ventre.
jeudi 6 octobre 2011
05 octobre 2011. 22h18
Laisser à tes mains le choix des armes pour un corps à corps acharné, un duel ardent. Laisser à ta voix le choix des mots pour une déclaration passionnée, des confessions enflammées. Laisser à ton corps le choix des lieux pour des retrouvailles pétillantes, des amours exaltées.
05 octobre 2011. 15h21
Soyons fous ! Aimons-nous ! Loin des conventions. Au plus près des sensations.
mercredi 5 octobre 2011
04 octobre 2011. 21h46
J'ai laissé la fenêtre grande ouverte sur la nuit. Pour laisser entrer la fraîcheur, laisser le froid me saisir. Puis, j'ai remonté la couette, me suis lovée au creux de sa chaleur. J'ai attrapé mon énorme peluche et l'ai plaquée contre mon ventre, contre mon sexe, comme si c'était toi que j'étreignais. Et je me suis abandonnée au plaisir...
04 octobre 2011. 02h30
Angoisses. Yeux ouverts en grand dans la chambre noire. Mon cœur qui bat vite, trop vite. Un mauvais rêve qui m'a saisie. Il est 2h10 et je voudrais me rendormir mais je n'arrive pas. Besoin de me serrer contre toi, de me perdre dans tes bras. Pour oublier ce corps que je sentais s'approcher du mien dans le lit et que je savais ne pas être le tien. Il a essayé de s'installer d'un côté mais mon esprit l'a repoussé alors, sournois et déterminé, il a fait le tour pour me saisir de l'autre côté. Un dégoût profond m'a réveillée, signal d'alarme remontant dans ma gorge et m'informant qu'un autre que toi voulait prendre ta place vide dans ce lit. Cette place que je caresse parfois dans la béance de la nuit.
Mon Amour, j'ai peur. Je ne veux pas aller retrouver le sommeil. Je ne veux qu'un autre tente de voler ton espace.
Mon Amour, j'ai peur. Je ne veux pas aller retrouver le sommeil. Je ne veux qu'un autre tente de voler ton espace.
04 octobre 2011. 01h13
J'aurais voulu être celle qui a passé la nuit sous ton lit. Avoir troublé ton sommeil, avoir veillé sur ta nuit. J'aurais voulu être ton attrapeur de rêves, me saisir des éventuelles ombres qui auraient planer sur toi et les remplacer par des perles nacrées emplies d'érotisme. Des perles qui auraient roulé sur ton corps, qui auraient serpenté à travers tes lignes et tes cambrures. Qui se seraient égarées dans des vallons, se seraient retrouvées sur quelques hauteurs... J'aurais voulu être... avec toi, en toi, sur toi, sous toi... Partout... Soumise et conquérante.
03 octobre 2011. 17h41
J'exhale le stupre, la luxure, l'envie de toi et de ta peau.
Penses-tu que je puisse tout de même sortir ?
Je t'aime. Tu me manques. Déjà. Toujours.
Penses-tu que je puisse tout de même sortir ?
Je t'aime. Tu me manques. Déjà. Toujours.
lundi 3 octobre 2011
03 octobre 2011. 00h37
Ton mot d'ordre pour cette semaine : me reposer ! Mais comment veux-tu que je fasse ? Loin de toi, mon cerveau est en ébullition. Et aujourd'hui, il a encore plus de raisons d'être sur le qui-vive. Chaque pensée correspond à une caresse, à un baiser. Chaque souvenir me ramène à un soubresaut, à des spasmes divins.
Chaque vision de l'avenir apporte un trouble que je ne maîtrise pas et qui porte mon excitation à son comble. Des images se forment, des fantasmes prennent vie...
Chaque vision de l'avenir apporte un trouble que je ne maîtrise pas et qui porte mon excitation à son comble. Des images se forment, des fantasmes prennent vie...
vendredi 30 septembre 2011
30 septembre 2011. 00h32
Je veux sentir les effluves de ton parfum emplir la pièce, découvrir ta présence grâce à un appel olfactif. Ne pas te voir mais savoir que tu es là. Te chercher, impatiente. Te découvrir, surprise. Te dévorer, corps offert et fiévreux. Te lécher, peau veloutée et soyeuse. Te mordre, tétons pointés et frétillants. Te sucer, sexe dressé et avide. Te cajoler, bras accueillants et aimants. Te faire l'amour, sens dessus dessous, heureuse.
mercredi 28 septembre 2011
28 septembre 2011. 22h59
Mon Amour, j'ai appris tant de choses à tes côtés. A commencer par ce que veut dire aimer. J'ai appris la confiance, le partage et la joie qu'il apporte. J'ai appris le calme, la douceur de ne rien faire. J'ai découvert le désir et l'abandon. La jouissance et le bonheur de voir briller tes yeux. J'ai appris à ne plus avoir honte, à accepter que la seule chose qui compte c'est le plaisir. Le tien et le mien, le nôtre sublimé.
Mon Amour, à tes côtés j'apprends à être moi. L'irradiation d'un sourire, l'allégresse d'un regard. Le bouleversement d'une caresse, l'euphorie d'un baiser.
J'apprends à vivre, à profiter, tout simplement.
Mon Amour, à tes côtés j'apprends à être moi. L'irradiation d'un sourire, l'allégresse d'un regard. Le bouleversement d'une caresse, l'euphorie d'un baiser.
J'apprends à vivre, à profiter, tout simplement.
27 septembre 2011. 23h45
Je ferme les yeux et je sens ta langue qui se promène sur ce bouton gorgé de désir qui n'attend que quelques caresses et quelques attentions avant d'exploser de plaisir.
Je ferme les yeux et je sens la chaleur qui inonde mon sexe, la sève qui coule le long de mon sillon. Je ferme les yeux et je sens tes lèvres aspirer ce liquide dont tu t'abreuves lentement, allant chercher la moindre goutte dans les plus infimes failles.
Je ferme les yeux et je sens tes doigts dessiner des arabesques sur ma peau. Je ferme les yeux et je sens un long frisson me parcourir lorsque tu frôles mes aréoles déjà dures. Je ferme les yeux et je sens ta présence à mes côtés, ronde, pleine, réconfortante.
Je ferme les yeux et je m'abandonne en toi...
Je t'aime.
Je ferme les yeux et je sens la chaleur qui inonde mon sexe, la sève qui coule le long de mon sillon. Je ferme les yeux et je sens tes lèvres aspirer ce liquide dont tu t'abreuves lentement, allant chercher la moindre goutte dans les plus infimes failles.
Je ferme les yeux et je sens tes doigts dessiner des arabesques sur ma peau. Je ferme les yeux et je sens un long frisson me parcourir lorsque tu frôles mes aréoles déjà dures. Je ferme les yeux et je sens ta présence à mes côtés, ronde, pleine, réconfortante.
Je ferme les yeux et je m'abandonne en toi...
Je t'aime.
mardi 27 septembre 2011
26 septembre 2011. 19h41
C'est bizarre les choses de la vie. Me voilà plongée dans un roman et chaque phrase fait écho en moi, résonne plus ou moins fort, un peu comme celles-ci :
"Sans tes mains posées sur moi, je suis désert. Je me souviens, et soudain ce sont mes doigts qui ont de la mémoire. Il me semble qu'à jamais j'emmêlerai mes doigts dans tes cheveux, caresserai ta nuque de bas en haut, empoignerai la peau douce et blanche de ta taille que je déroberai sous ton tee-shirt. [...] Je me suspends à toi, me fonds en toi, niche ma tête dans le creux de ton épaule, tu m'enlaces, m'enserres entre tes bras épais et forts, m'englobes et m'emportes. Avec vingt centimètres de moins que toi, je suis ce territoire occupé, conquis, pris contre ton immensité. Tes mains, larges, carrées, enferment les miennes, petites. Ton regard bienveillant, juste, doux, accroche le mien, fragile et acquis. Tu me dévores, me lèches, me mords, m'avales. Je suis à toi." David Lelait Poussière d'homme
"Sans tes mains posées sur moi, je suis désert. Je me souviens, et soudain ce sont mes doigts qui ont de la mémoire. Il me semble qu'à jamais j'emmêlerai mes doigts dans tes cheveux, caresserai ta nuque de bas en haut, empoignerai la peau douce et blanche de ta taille que je déroberai sous ton tee-shirt. [...] Je me suspends à toi, me fonds en toi, niche ma tête dans le creux de ton épaule, tu m'enlaces, m'enserres entre tes bras épais et forts, m'englobes et m'emportes. Avec vingt centimètres de moins que toi, je suis ce territoire occupé, conquis, pris contre ton immensité. Tes mains, larges, carrées, enferment les miennes, petites. Ton regard bienveillant, juste, doux, accroche le mien, fragile et acquis. Tu me dévores, me lèches, me mords, m'avales. Je suis à toi." David Lelait Poussière d'homme
25 septembre 2011. 23h33
Le calme a repris ses droits.
Juste en apparence...
Les images se bousculent dans ma tête. Impossible de dire précisément ce que j'ai aimé. Mais ce qui est une évidence, c'est que j'ai aimé ton regard sur moi, tes attentions, ta présence. J'ai aimé tes mains jamais bien loin lorsqu'elles n'étaient pas sur moi. Je les voudrais en permanence sur ma peau, caressant mes reins, mon ventre, mes seins.
A cet instant, je voudrais être petite, si petite que tu pourrais me mettre dans ta poche et m'emporter partout avec toi. Tes doigts me frôleraient régulièrement pour s'assurer que tout va bien. Pour me rassurer.
Je t'aime et j'ai tellement besoin de toi pour continuer à avancer !
Juste en apparence...
Les images se bousculent dans ma tête. Impossible de dire précisément ce que j'ai aimé. Mais ce qui est une évidence, c'est que j'ai aimé ton regard sur moi, tes attentions, ta présence. J'ai aimé tes mains jamais bien loin lorsqu'elles n'étaient pas sur moi. Je les voudrais en permanence sur ma peau, caressant mes reins, mon ventre, mes seins.
A cet instant, je voudrais être petite, si petite que tu pourrais me mettre dans ta poche et m'emporter partout avec toi. Tes doigts me frôleraient régulièrement pour s'assurer que tout va bien. Pour me rassurer.
Je t'aime et j'ai tellement besoin de toi pour continuer à avancer !
25 septembre 2011. 16h05
Y a trop d'images dans ma tête, j'arrive pas à faire le tri.
Y a trop de bonheur dans ma vie et j'veux pas que ça s'arrête. J'en veux encore !
Y a trop de bonheur dans ma vie et j'veux pas que ça s'arrête. J'en veux encore !
vendredi 23 septembre 2011
22 speptembre 2011. 00h45
Les nuits passent. Loin de toi. Berceaux de nos envies, couffins de nos désirs assoupis. Se préparent en leur sein des heures électriques...
21 septembre 2011. 23h52
Là, au creux du ventre, se réveille une envie. Jamais bien loin cette envie. Toujours tapie, prête à surgir plus ou moins violemment. En ce moment, elle est bien trop présente, je me demande comment je vais pouvoir lui résister. Il le faut pourtant, pour garder intact le désir que j'ai de toi et révéler encore plus intensément les sensations lorsqu'enfin tes mains me toucheront, lorsque tes lèvres me dévoreront. Tenir tête à mes pulsions. Éviter que ce soient elles qui me dévorent. Attendre. T'attendre. Sagement. En imaginant nos retrouvailles. Qui ne sont jamais les mêmes mais qui ont toujours ce goût délicieux du bonheur et du plaisir.
h-44
h-44
20 septembre 2011. 23h49
Mes yeux se ferment. Malgré eux, malgré moi. Et ton visage s'installe, ton regard m'interroge, semblant me demander la permission de veiller sur moi. Je les autorise à prendre place pour me veiller, me réchauffer et m'accompagner.
Je t'embrasse langoureusement, amoureusement, profondément. Love <3
Je t'embrasse langoureusement, amoureusement, profondément. Love <3
mardi 20 septembre 2011
20 septembre 2011. 01h23
Poser mon front sur ton torse. Sentir tes bras se refermer autour de moi, former cette enveloppe protectrice qui m'assure de ta présence.
Me laisser bercer, emportée par le bonheur, transportée de légèreté. Aspirer ton parfum, en avoir la tête qui tourne doucement.
Vivre, vivre enfin !
Laisser entrer toutes les émotions, laisser aller toutes les fantaisies. Se laisser emporter par la tentation. Avec délice...
Me laisser bercer, emportée par le bonheur, transportée de légèreté. Aspirer ton parfum, en avoir la tête qui tourne doucement.
Vivre, vivre enfin !
Laisser entrer toutes les émotions, laisser aller toutes les fantaisies. Se laisser emporter par la tentation. Avec délice...
dimanche 18 septembre 2011
18 septembre 2011. 23h31
Et mes pensées volent vers toi... Comme une petite plume emportée par le vent. Elle virevolte dans les airs de la même manière que les images dans ma tête.
Photographies d'instants magiques, flashes de caresses échangées dans la douceur. Éclats de lumière qui envahissent mon quotidien.
La vie est tellement belle à tes côtés, que je voudrais passer mon temps à l'observer et à l'écrire. Raconter ma tête posée sur ton ventre, tes doigts caressant mes cheveux. Raconter la tendresse de nos étreintes et la violence de mes sentiments. Écrire ce baiser qui parcourt ton corps, qui embrasse chaque fibre, qui embrase chaque fragment.
Écrire, faire l'amour, cuisiner, t'écouter, voilà à quoi je voudrais passer ma vie !
Photographies d'instants magiques, flashes de caresses échangées dans la douceur. Éclats de lumière qui envahissent mon quotidien.
La vie est tellement belle à tes côtés, que je voudrais passer mon temps à l'observer et à l'écrire. Raconter ma tête posée sur ton ventre, tes doigts caressant mes cheveux. Raconter la tendresse de nos étreintes et la violence de mes sentiments. Écrire ce baiser qui parcourt ton corps, qui embrasse chaque fibre, qui embrase chaque fragment.
Écrire, faire l'amour, cuisiner, t'écouter, voilà à quoi je voudrais passer ma vie !
vendredi 16 septembre 2011
16 septembre 2011. 01h00
Ce soir, en cet instant, plein de nouvelles promesses d'avenir. Mon amour pour toi est encore plus violent que d'habitude. Il est plus fort, plus virulent, plus imposant.
Et je sais que ce n'est que le début d'une autre ascension amoureuse. Et je te désire encore plus fort.
Mon Ange, as-tu conscience qu'il nous reste deux nuits "d'innocence" ? Je me projette vers ton regard complice qui m'autorise toutes les audaces. Et je guette tous tes signes de jouissance afin de partager avec toi le bonheur de la découverte et de la multiplication des plaisirs.
J'ai envie de te hurler que je t'aime et que rien ne peut être plus fort que ça, que rien ne peut venir ternir cet amour là.
Et je sais que ce n'est que le début d'une autre ascension amoureuse. Et je te désire encore plus fort.
Mon Ange, as-tu conscience qu'il nous reste deux nuits "d'innocence" ? Je me projette vers ton regard complice qui m'autorise toutes les audaces. Et je guette tous tes signes de jouissance afin de partager avec toi le bonheur de la découverte et de la multiplication des plaisirs.
J'ai envie de te hurler que je t'aime et que rien ne peut être plus fort que ça, que rien ne peut venir ternir cet amour là.
jeudi 15 septembre 2011
15 septembre 2011. 00h30
Mon Amour, il fallait que je pense à autre chose, que j'évacue toutes les images qui trottaient dans ma tête. Alors je suis allé voir du côté des chaussures et j'ai fini le poème qui devrait accompagner le livre de N.
Mais ça n'a pas suffi.
Tout est là, dans mon esprit. Tout est là, au creux de mon ventre. Tout est là, au bout de mes seins. Tout est là et tout tempête. Les caresses, les soupirs, les baisers. Tout est là et tout s'installe. La douceur, la sensualité, l'érotisme. Tout est là, en moi, autour de moi...
Et j'ai envie, que j'ai envie !!!
Mais ça n'a pas suffi.
Tout est là, dans mon esprit. Tout est là, au creux de mon ventre. Tout est là, au bout de mes seins. Tout est là et tout tempête. Les caresses, les soupirs, les baisers. Tout est là et tout s'installe. La douceur, la sensualité, l'érotisme. Tout est là, en moi, autour de moi...
Et j'ai envie, que j'ai envie !!!
14 septembre 2011. 01h41
J'aimerais parfois redevenir une enfant, que tu prendrais dans tes bras.Un petit être fragile que tu consolerais et à qui tu prendrais la main, pour la guider. Ne plus être cette femme, qui doit tout maîtriser, assurer, assumer. Retrouver cette insouciance que seule ta présence m'autorise.
J'aimerais parfois être une femme. Fatale. Une femme sûre d'elle qui ne doute jamais de rien et séduit tous les gens qu'elle croise. T'éblouir à chaque instant, te surprendre, te troubler. Afficher une assurance un peu insolente.
Je veux être le mélange de ces deux femmes à la fois, accepteras-tu ces deux facettes de moi ?
J'aimerais parfois être une femme. Fatale. Une femme sûre d'elle qui ne doute jamais de rien et séduit tous les gens qu'elle croise. T'éblouir à chaque instant, te surprendre, te troubler. Afficher une assurance un peu insolente.
Je veux être le mélange de ces deux femmes à la fois, accepteras-tu ces deux facettes de moi ?
mardi 13 septembre 2011
13 septembre 2011. 00h31
J'ai fermé les yeux, et c'est ta voix qui m'est apparue... Celle qui murmure "Je t'aime" et qui finit par me le hurler. Celle qui me conte le contact de nos peaux, qui retrace ta langue effleurant mon ventre. Cette voix qui m'apprend la femme que je suis, qui me peint ce que voient tes yeux lorsqu'ils me regardent. Celle qui me rassure quand le doute prend trop de place. Cette voix qui fait s'envoler la nuée de papillons au creux de mon estomac...
12 septembre 2011. 23h24
Ecris-moi encore
Des accords
Au creux de mes reins
Au bout de mes seins
Décris-moi encore
Jusqu'aux aurores
Les réveils à part
Que tu nous prépares
Crie-moi encore
Un peu plus fort
Ton amour pour moi
Ton désir d'émois.
Des accords
Au creux de mes reins
Au bout de mes seins
Décris-moi encore
Jusqu'aux aurores
Les réveils à part
Que tu nous prépares
Crie-moi encore
Un peu plus fort
Ton amour pour moi
Ton désir d'émois.
12 septembre 2011. 06h57
Je veux que ce soit toi qui me réveilles !!!
Un bisou, un sourire, un câlin, pour bien commencer la journée :-(
Un bisou, un sourire, un câlin, pour bien commencer la journée :-(
12 septembre 2011. 00h56
M'endormir contre ta peau, poser ma tête vers ton épaule, dans ce petit creux qu'on croirait avoir été dessiné pour moi... M'oublier en m'enfonçant dans le sommeil. M'imaginer me perdre en toi...
dimanche 11 septembre 2011
10 septembre 2011. 02h04
Tout imprimer en moi, tout glisser sous ma peau. Du moindre soupir au plus puissant cri de jouissance. Du simple effleurement à la plus torride caresse. Me taire, pour te laisser parler. De toi, de ton passé, du présent, de notre avenir. De ce que tu ressens au plus profond. Tes peurs, tes angoisses. Tes joies et tes désirs aussi. Te parler, pour te raconter. Le bonheur d'être à tes côtés. Évoquer les questions qui parfois me viennent à l'esprit. Savoir que nous trouverons les réponses. T'aimer, nous aimer, du plus profond de nos êtres. Et partager, aimer, profiter, aimer, s'enivrer, aimer encore. Et surtout ne jamais rien regretter.
Love <3
Love <3
vendredi 9 septembre 2011
09 septembre 2011. 00h12
Lentement, tes odeurs commencent à s'estomper. Tout comme le sourire de béatitude qui ornait mes lèvres depuis ton départ. Doucement, il est remplacé par le sourire de la mélancolie. Un voile vient ternir mon regard et un air distrait s'installe peu à peu. Mes pensées sont irrésistiblement attirées vers toi, vers ta silhouette que je crois apercevoir régulièrement. Mes fantasmes les plus fous deviennent des mirages et je t'imagine à mes côtés, ta main dans la mienne et ta bouche perdue dans mon cou. J'entrevois des échanges libertins emprunts d'un érotisme torride, d'une grande tendresse et d'une folie à la limite de la perte de contrôle. Je te vois étourdi, captif de quatre mains, de deux bouches, dévouées à ton unique plaisir et cette vision m'enflamme et me transporte. Et mes doigts s'égarent...
07 septembre 2011. 23h36
Plonger le nez dans ton T-shirt, puis dans mon doudou. M'endormir au milieu de nos odeurs.
06 septembre 2011. 23h50
Le vent souffle. Il souffle même fort, le bougre ! A m'en empêcher de dormir. Les prévisions de demain annonçaient un grand soleil, je suis plutôt sceptique à l'heure qu'il est... Mais suis-je là pour te parler météo ? Non, ou alors ce serait pour te parler de la pluie de salive que j'aimerais abattre sur ton gland afin de la voir couler le long de ton sexe dressé. Te décrire la tornade que j'aimerais voir nous emporter.
Te parler aussi de mes tétons. Parce que, si les tiens auraient besoin d'un peu de paix et de répit, les miens réclament d'entrer dans la tourmente. Tout comme mon entrejambes, d'où s'échappe un mince filet de désir qui s'accroît incroyablement rapidement.
J'aimerais tant que tu viennes calmer ce flot, interrompre ce cri sourd qui résonne en moi...
mardi 6 septembre 2011
05 septembre 2011. 23h40
Tornade dans ma tête, tempête dans mon corps, lorsque je repense à ces merveilleux accords. Les gestes, les mots, les regards, je revis tous les moments de ce weekend et mes moindres cellules réclament un retour rapide de ce chambardement.
Plus le temps à tes côtés passe, et plus je me demande comment c'était avant, plus je me demande comment j'ai pu accepter de vivre l'avant. Évidemment... je ne savais pas ! Mais maintenant que j'ai découvert ce bouleversement des sens alors je sais qu'avant ne pourra plus jamais exister. Et que ce qui fait avant n'aura plus jamais la même saveur ni le même attrait.
Dessine-nous notre avenir...
Je t'embrasse goulûment, amoureusement, excessivement.
Plus le temps à tes côtés passe, et plus je me demande comment c'était avant, plus je me demande comment j'ai pu accepter de vivre l'avant. Évidemment... je ne savais pas ! Mais maintenant que j'ai découvert ce bouleversement des sens alors je sais qu'avant ne pourra plus jamais exister. Et que ce qui fait avant n'aura plus jamais la même saveur ni le même attrait.
Dessine-nous notre avenir...
Je t'embrasse goulûment, amoureusement, excessivement.
05 septembre 2011. 23h15
Regarde-moi. Touche-moi. Effleure-moi. Possède-moi. Contrôle-moi. Exalte-moi. Ressens-moi... Protège-moi... Aime-moi... Retiens-moi !
Je suis Natacha, mieux que des mots, essaie-moi ! ;-)
Finalement, ça marche aussi bien avec moi qu'avec Guilietta, non ? ;-)
Je suis Natacha, mieux que des mots, essaie-moi ! ;-)
Finalement, ça marche aussi bien avec moi qu'avec Guilietta, non ? ;-)
05 septembre 2011. 01h02
Évidemment, je n'arrive pas à dormir. Angoisses d'une veille de rentrée et, surtout des images, des échanges, des paroles qui tournent et retournent dans ma tête.
Envie que tu recommences à inventer une nouvelle façon de cuisiner avec moi. Qu'on mélange les saveurs, qu'on teste quelques plats, qu'on ajoute du piment ici ou là. Envie d'apprendre à redécouvrir le goût des corps, les savourer à l'aveugle, avec le nez au vent pour s'imprégner de chaque odeur. Les toucher, d'abord avec hésitation puis caresser chaque grain de peau, explorer chaque centimètre, se faufiler dans les interstices, les visiter, les titiller. Ah ! que c'est bon ! Ne pas s'arrêter... ou laisser à l'organisme juste le temps de se ressourcer et repartir de plus belle...
Envie que tu recommences à inventer une nouvelle façon de cuisiner avec moi. Qu'on mélange les saveurs, qu'on teste quelques plats, qu'on ajoute du piment ici ou là. Envie d'apprendre à redécouvrir le goût des corps, les savourer à l'aveugle, avec le nez au vent pour s'imprégner de chaque odeur. Les toucher, d'abord avec hésitation puis caresser chaque grain de peau, explorer chaque centimètre, se faufiler dans les interstices, les visiter, les titiller. Ah ! que c'est bon ! Ne pas s'arrêter... ou laisser à l'organisme juste le temps de se ressourcer et repartir de plus belle...
01 septembre 2011. 22h22
Elle arrive à grands pas l'heure de tes lèvres qui s'emparent des miennes. Il se profile, cet instant où tes mains se glisseront sous le tissu de mes vêtements et feront naître quelques frissons sur ma peau. Il arrive, ce moment où je vais à nouveau respirer pleinement, où plus rien n'aura d'importance que nous deux. Je suis tellement impatiente !
jeudi 1 septembre 2011
01 septembre 2011. 01h00
Caresses, mots tendresse. On va s'aimer, se retrouver. J'ai besoin de sentir tes mains sur mon corps, de reprendre le temps de te toucher, t'effleurer. Je veux ton souffle qui fait frissonner ma peau, tes baisers qui excitent mes sens. J'ai envie de ressentir cette chaleur qui m'envahit, basculer la tête et ne plus vivre qu'au travers de ta bouche. Je veux m'abandonner à ta langue, me délecter de cette goutte prometteuse qui perle.
J'AI UNE FURIEUSE ENVIE DE TOI !!!
J'AI UNE FURIEUSE ENVIE DE TOI !!!
31 août 2011. 01h58
J'ai envie de toi. S'il te plaît, réveille-moi d'un baiser tendre et câlin. Susurré directement à mon oreille.
31 août 2011. 01h55
Comment veux-tu fêter cette rentrée, mon Ange ? Quelles envies dévorent ton corps ? Quels fantasmes attisent ton esprit ? Comment veux-tu entamer cette nouvelle étape ? Qu'est-ce qui te ferait plaisir ? Qu'est-ce qui te comblerait ?
Envie que tu décides, envie de me laisser emporter.
Envie que tu décides, envie de me laisser emporter.
mercredi 31 août 2011
30 août 2011. 00h35
Monsieur,
Mes fesses ont beaucoup apprécié tout ce que vous avez pu leur offrir durant cette période un peu irréelle. A commencer par vos baisers dont elles souffrent l'absence. Il serait donc nécessaire, voire indispensable, que vous m'expliquiez comment vous comptez combler ce manque cruel. Une description détaillée s'avère fondamentale afin que mon esprit puisse être rassasié et que mon corps accepte le délai d'attente que vous lui imposez avant que vos lèvres ne viennent à nouveau l'effleurer et faire frémir cet arrière-train impatient et désireux de se voir, une fois encore, comblé de vos attentions.
Mes fesses ont beaucoup apprécié tout ce que vous avez pu leur offrir durant cette période un peu irréelle. A commencer par vos baisers dont elles souffrent l'absence. Il serait donc nécessaire, voire indispensable, que vous m'expliquiez comment vous comptez combler ce manque cruel. Une description détaillée s'avère fondamentale afin que mon esprit puisse être rassasié et que mon corps accepte le délai d'attente que vous lui imposez avant que vos lèvres ne viennent à nouveau l'effleurer et faire frémir cet arrière-train impatient et désireux de se voir, une fois encore, comblé de vos attentions.
28 août 2011. 23h10
Mon Amour, voilà que notre vie va reprendre son rythme effréné. Ma peau n'est déjà plus à distance acceptable de la tienne, tes lèvres ne sont plus à ma portée. Et déjà, tu manques cruellement à chaque partie de mon corps.
Je ne pourrai plus observer ton visage à la dérobée et y lire la sérénité et la joie. Les mots que tu as su libérer me sont devenus indispensables et j'ai hâte de les entendre à nouveau. Tout comme j'ai hâte de te serrer dans mes bras.
Tu avais pris la bonne habitude de m'appeler à ton réveil et tu en éclairais de ce fait ma journée, pourquoi ne pas recommencer ? Je pourrais peut-être ainsi te transmettre un peu de baume au coeur (à moins que cela ne soit bien prétentieux de ma part ?) Je t'embrasse férocement, amoureusement, intensément.
Et n'oublie pas... Je t'aime
Je ne pourrai plus observer ton visage à la dérobée et y lire la sérénité et la joie. Les mots que tu as su libérer me sont devenus indispensables et j'ai hâte de les entendre à nouveau. Tout comme j'ai hâte de te serrer dans mes bras.
Tu avais pris la bonne habitude de m'appeler à ton réveil et tu en éclairais de ce fait ma journée, pourquoi ne pas recommencer ? Je pourrais peut-être ainsi te transmettre un peu de baume au coeur (à moins que cela ne soit bien prétentieux de ma part ?) Je t'embrasse férocement, amoureusement, intensément.
Et n'oublie pas... Je t'aime
26 août 2011. 22h23
Je te demande pardon. Pour les mots que je ne saurai peut-être pas dire. Pour les silences trop longs. Pour les paroles de trop.
Je te demande pardon. Pour les sourires que je ne t'offrirai peut-être pas. Pour les instants qu'on ne partagera pas. Pour les moments où je serai trop envahissante.
Je te demande pardon. Pour les fois où je serai trop insistante. Pour les interrogations parfois pesantes. Pour les regards lourds. Je te demande pardon.
Je te demande pardon. Pour les sourires que je ne t'offrirai peut-être pas. Pour les instants qu'on ne partagera pas. Pour les moments où je serai trop envahissante.
Je te demande pardon. Pour les fois où je serai trop insistante. Pour les interrogations parfois pesantes. Pour les regards lourds. Je te demande pardon.
25 août 2011. 23h47
La valse des textos reprend sa cadence à partir de ce soir. Rythme interrompu durant presque 1 mois. Période idyllique que j'aurais voulu ne pas voir se finir.
Je vais devoir réapprendre à m'endormir sans poser ma tête sur ton épaule, ne pas entendre ton souffle rassurant lors de mes réveils nocturnes. Je ne caresserai plus ton corps le matin pour te réveiller, tes doigts ne se perdront plus dans mes cheveux... Jusqu'à nos prochaines retrouvailles, que j'attends déjà avec fébrilité. Je t'embrasse fort. Merci encore pour tous ces moments intenses. Je t'aime.
Je vais devoir réapprendre à m'endormir sans poser ma tête sur ton épaule, ne pas entendre ton souffle rassurant lors de mes réveils nocturnes. Je ne caresserai plus ton corps le matin pour te réveiller, tes doigts ne se perdront plus dans mes cheveux... Jusqu'à nos prochaines retrouvailles, que j'attends déjà avec fébrilité. Je t'embrasse fort. Merci encore pour tous ces moments intenses. Je t'aime.
vendredi 29 juillet 2011
28 juillet 2011. 23h32
Voilà, ça y est, nous y sommes presque. Le long voyage de la séparation touche à sa fin et celui des retrouvailles et des découvertes va pourvoir (re)commencer.
Je sais que j'aimerai tout. Nos silences, nos longues discussions. J'aimerai prendre soin de toi et te laisser t'occuper de moi. J'aimerai te regarder, te sourire, t'aimer. J'aimerai nous laisser porter. J'aimerai me laisser aimer.
Je sais que j'aimerai tout. Nos silences, nos longues discussions. J'aimerai prendre soin de toi et te laisser t'occuper de moi. J'aimerai te regarder, te sourire, t'aimer. J'aimerai nous laisser porter. J'aimerai me laisser aimer.
jeudi 28 juillet 2011
27 juillet 2011. 23h39
J'aurais voulu prendre ta colère et la rendre dérisoire. J'aurais voulu remplacer ton exaspération par de l'indifférence. J'aurais voulu changer ta rage en mots tendresse, mots qui caressent.
27 juillet 2011. 22h10
Tout en moi t'attend. Je t'embrasse fort, très fort et je passe derrière toi pour déposer un léger souffle d'air dans ton cou. Un petit coin un peu plus frais sur lequel tu vas poser ta main pour le réchauffer et retenir un peu de moi.
26 juillet 2011. 23h02
Bleue, la glace de mes nuits
Rouge, la chaleur qui m'irradie
Bleu, l'ennui des jours sans toi
Rouge, lorsque je rêve de tes bras.
Blancs, les moments partagés
Noires, les nuits, esseulés
Blancs, les corps à corps troublants
Noire, la séparation des amants.
Bleus, les matins sans personne
Rouges, les réveils qui étonnent
Bleu, mon corps au repos
Rouges, tes mains qui brûlent ma peau.
Blanc, les caresses qui surprennent
Noires, celles que les heures me reprennent
Blanc, l'éclair, rencontre de nos bouches
Noir, lorsque mon corps le tien ne touche.
Rouge, la chaleur qui m'irradie
Bleu, l'ennui des jours sans toi
Rouge, lorsque je rêve de tes bras.
Blancs, les moments partagés
Noires, les nuits, esseulés
Blancs, les corps à corps troublants
Noire, la séparation des amants.
Bleus, les matins sans personne
Rouges, les réveils qui étonnent
Bleu, mon corps au repos
Rouges, tes mains qui brûlent ma peau.
Blanc, les caresses qui surprennent
Noires, celles que les heures me reprennent
Blanc, l'éclair, rencontre de nos bouches
Noir, lorsque mon corps le tien ne touche.
25 juillet 2011. 22h58
Bien trop d'images, trop d'émotions que je dois taire afin de contrôler le manque.
Nos lèvres qui se scellent, long baiser qui n'en finit plus. Nos langues qui se lient, se délient. Qui se promènent sur nos corps. Ma bouche qui emprisonne ton sexe.
Nos envies, bien trop fortes pour être temporisées.
Alors, la tempête qui éclate, la folie qui s'empare de nous. Les gestes qui se font pressants, gourmands, impatients.
Les vêtements qui volent, sans prendre le temps d'être délicatement retirés. Les bouches qui se sont retrouvées, qui ne peuvent se quitter, se dévorent littéralement.
Et les soupirs, violents, troublants.
Nos lèvres qui se scellent, long baiser qui n'en finit plus. Nos langues qui se lient, se délient. Qui se promènent sur nos corps. Ma bouche qui emprisonne ton sexe.
Nos envies, bien trop fortes pour être temporisées.
Alors, la tempête qui éclate, la folie qui s'empare de nous. Les gestes qui se font pressants, gourmands, impatients.
Les vêtements qui volent, sans prendre le temps d'être délicatement retirés. Les bouches qui se sont retrouvées, qui ne peuvent se quitter, se dévorent littéralement.
Et les soupirs, violents, troublants.
25 juillet 2011. 16h31
J'ai envie de toi, de tes doigts qui s’immiscent en moi et de tes baisers partout sur moi...
24 juillet 2011. 01h32
J'ai beau essayer, je n'arrive pas à me jouer les scènes à l'avance. Pourtant, je les désire, autant que je te désire toi...
Mais ne me viennent devant les yeux que nos corps irrésistiblement attirés l'un vers l'autre, comme électrisés à chaque fois qu'ils se croisent. Nos bouches s'appelant indisciblement.
J'appelle en vain ces moments à nous, où ne sonnera pas trop tôt la cloche de fin des réjouissances. Où, comme à chaque fois, ce sera à nouveau la première fois. M'imaginer ne rien savoir de toi... te connaître par cœur. Avoir peur. D'avoir oublié. D'être trop impatiente. Découvrir de nouvelles saveurs, pas encore goûtées. Que tu retrouves l'odeur de ma peau.
Je n'entends pas encore cette musique, ce doux refrain des promesses et des heures enchanteresses.
Mais ne me viennent devant les yeux que nos corps irrésistiblement attirés l'un vers l'autre, comme électrisés à chaque fois qu'ils se croisent. Nos bouches s'appelant indisciblement.
J'appelle en vain ces moments à nous, où ne sonnera pas trop tôt la cloche de fin des réjouissances. Où, comme à chaque fois, ce sera à nouveau la première fois. M'imaginer ne rien savoir de toi... te connaître par cœur. Avoir peur. D'avoir oublié. D'être trop impatiente. Découvrir de nouvelles saveurs, pas encore goûtées. Que tu retrouves l'odeur de ma peau.
Je n'entends pas encore cette musique, ce doux refrain des promesses et des heures enchanteresses.
dimanche 24 juillet 2011
23 juillet 2011. 23h20
A supposer que tu aies envie de moi, je laisserai la porte ouverte.
En admettant que tu veuilles effleurer l'arrondi de mes épaules, je revêtirai mon voile le plus léger.
Si tu avais besoin de combler le manque, j'ouvrirai grands mes bras pour t'y accueillir.
Au cas où tu voudrais me parler de tes doutes, de tes certitudes, je t'offrirai une oreille attentive et des conseils judicieux.
Quand tu craindras le noir de tes nuits, je serai présente, attendant que tu m'appelles.
En admettant que tu veuilles effleurer l'arrondi de mes épaules, je revêtirai mon voile le plus léger.
Si tu avais besoin de combler le manque, j'ouvrirai grands mes bras pour t'y accueillir.
Au cas où tu voudrais me parler de tes doutes, de tes certitudes, je t'offrirai une oreille attentive et des conseils judicieux.
Quand tu craindras le noir de tes nuits, je serai présente, attendant que tu m'appelles.
22 juillet 2011. 10h59
Plein de mots doux et exquis sont venus caresser mon oreille ce matin.
Rassures-moi, ce n'était pas un rêve ?
Rassures-moi, ce n'était pas un rêve ?
22 juillet 2011. 02h47
Mon corps, avide de tes caresses, me fait douloureusement ressentir ton absence. Mes seins appellent tes doigts tendres et habiles.
Mon ventre, doux et chaud, réclame tes exquises attentions. Mes yeux, tristes, attendent que tu réveilles la lueur en eux. Ma bouche, sèche, implore que tu viennes l'abreuver. Mes oreilles, en veille, se languissent d'être comblées de nouvelles déclarations. Mon sexe, béant, supplie que tu l'honores.
J'en peux plus ! Je suis à l'agonie ! J'ai affreusement envie de toi !
Love <3
Mon ventre, doux et chaud, réclame tes exquises attentions. Mes yeux, tristes, attendent que tu réveilles la lueur en eux. Ma bouche, sèche, implore que tu viennes l'abreuver. Mes oreilles, en veille, se languissent d'être comblées de nouvelles déclarations. Mon sexe, béant, supplie que tu l'honores.
J'en peux plus ! Je suis à l'agonie ! J'ai affreusement envie de toi !
Love <3
vendredi 22 juillet 2011
jeudi 21 juillet 2011
20 juillet 2011. 23h46
Légèrement frustrée de ne pas t'avoir parlé plus longtemps ce soir. Finalement, on s'habitue rapidement aux bonnes (très bonnes) choses ! Tant pis, on se rattrapera demain.
Et puis, petite consolation tout de même, Petit homme m'a dit quand je suis rentrée : "Je ne veux pas dormir, maman, parce que je veux continuer à te regarder, tu es trop belle !" Si vous vous y mettez tous les deux ! Comment je vais pouvoir résister aux deux hommes de ma vie, moi ?
Euh..., comment ça, j'ai pas envie de résister ?
Ben oui, quoi, c'est trop bon !
Je t'embrasse sensuellement, amoureusement, ardemment.
Et puis, petite consolation tout de même, Petit homme m'a dit quand je suis rentrée : "Je ne veux pas dormir, maman, parce que je veux continuer à te regarder, tu es trop belle !" Si vous vous y mettez tous les deux ! Comment je vais pouvoir résister aux deux hommes de ma vie, moi ?
Euh..., comment ça, j'ai pas envie de résister ?
Ben oui, quoi, c'est trop bon !
Je t'embrasse sensuellement, amoureusement, ardemment.
mercredi 20 juillet 2011
20 juillet 2011. 00h46
J'aime la femme qui est née de tes bras, qui a éclos dans tes bras.
J'aime l'homme que tu es devenu, qui s'épanoui à mes côtés.
Je nous aime, j'aime ce que nous devenons, j'aime ce que nous promettons à l'avenir.
J'aime l'homme que tu es devenu, qui s'épanoui à mes côtés.
Je nous aime, j'aime ce que nous devenons, j'aime ce que nous promettons à l'avenir.
mardi 19 juillet 2011
19 juillet 2011. 04h30
Mes lèvres m'ont pour un temps abandonnée pour venir s'épanouir sur les tiennes. Elles y passeront certainement la nuit. N'oublie pas de me les renvoyer à ton réveil ! (Après t'être repu de leur présence et de leur douceur)
lundi 18 juillet 2011
18 juillet 2011. 19h09
Ferme les yeux et laisse-toi aller.
C'est d'abord mon parfum qui éveille tes narines. Comme dans un songe, tu veux à peine y croire.
C'est ensuite un souffle, comme un léger courant d'air qui fait naître un frisson au creux de tes reins.
C'est une baiser volatile qui vient s'égarer dans ton cou. Une bouffée de bonheur germe en ton ventre.
C'est une main qui parcourt ton visage pour te réapprendre, retrouver le sourire qui fleurit sur tes lèvres.
Ce sont des doigts qui sillonnent ton torse, qui excitent le renflement de ta poitrine.
C'est une bouche qui s'empare de la tienne, une langue qui s'immisce entre les dents, qui rencontre la tienne et lui propose une danse lascive tout en profondeur.
C'est cette même langue qui va déguster le piment de ta peau, va s'attarder sur les pointes tendues, sur le nombril vibrant, sur le sexe dressé en une courbure si particulière faite pour ma bouche.
Ce sont de longs va-et-vient, de douces caresses, de tendres baisers qui font enfler ta verge de désir.
Ce sont mes jambes qui s'enroulent autour de tes reins et nos intimités qui se retrouvent enfin.
C'est d'abord mon parfum qui éveille tes narines. Comme dans un songe, tu veux à peine y croire.
C'est ensuite un souffle, comme un léger courant d'air qui fait naître un frisson au creux de tes reins.
C'est une baiser volatile qui vient s'égarer dans ton cou. Une bouffée de bonheur germe en ton ventre.
C'est une main qui parcourt ton visage pour te réapprendre, retrouver le sourire qui fleurit sur tes lèvres.
Ce sont des doigts qui sillonnent ton torse, qui excitent le renflement de ta poitrine.
C'est une bouche qui s'empare de la tienne, une langue qui s'immisce entre les dents, qui rencontre la tienne et lui propose une danse lascive tout en profondeur.
C'est cette même langue qui va déguster le piment de ta peau, va s'attarder sur les pointes tendues, sur le nombril vibrant, sur le sexe dressé en une courbure si particulière faite pour ma bouche.
Ce sont de longs va-et-vient, de douces caresses, de tendres baisers qui font enfler ta verge de désir.
Ce sont mes jambes qui s'enroulent autour de tes reins et nos intimités qui se retrouvent enfin.
17 juillet 2011. 23h55
Parce qu'il y a des auteurs, et notamment un, que j'apprécie par-dessus tout (ou tous), qui font ça beaucoup mieux que moi... Qui trouvent les mots qui disent ce que je n'écrirais pas aussi bien. Alors, il faut que je te les fasse partager.
"Je vous reconnais. Vous étiez [celui] qui dort tout au fond du printemps, sous les feuillages jamais éteints du rêve. Je vous devinais depuis longtemps déjà, dans la fraîcheur d'une promenade, dans le bon air des grands livres ou dans la faiblesse d'un silence. Vous étiez l'espérance des grandes choses. Vous étiez la beauté de chaque jour. Vous étiez la vie même [...]
Vous m'enleviez la sagesse qui est pire que la mort. Vous me donniez la fièvre qui est la vraie santé." Christian BOBIN. Une petite robe de fête. Gallimard 1991
"Je vous reconnais. Vous étiez [celui] qui dort tout au fond du printemps, sous les feuillages jamais éteints du rêve. Je vous devinais depuis longtemps déjà, dans la fraîcheur d'une promenade, dans le bon air des grands livres ou dans la faiblesse d'un silence. Vous étiez l'espérance des grandes choses. Vous étiez la beauté de chaque jour. Vous étiez la vie même [...]
Vous m'enleviez la sagesse qui est pire que la mort. Vous me donniez la fièvre qui est la vraie santé." Christian BOBIN. Une petite robe de fête. Gallimard 1991
17 juillet 2011. 23h30
J'ai envie d'une grande balade en montagne avec toi... Trouver un petit coin sympathique où l'écho serait parfait.
Et alors je crierais à qui veut bien l'entendre combien je suis fière d'être à tes côtés. Je crierais que je t'aime. Et j'espère bien que tu me le crierais encore plus fort qu'hier afin qu'il se répercute et s'inscrive sur tous les tissus de ma peau.
Et alors je crierais à qui veut bien l'entendre combien je suis fière d'être à tes côtés. Je crierais que je t'aime. Et j'espère bien que tu me le crierais encore plus fort qu'hier afin qu'il se répercute et s'inscrive sur tous les tissus de ma peau.
dimanche 17 juillet 2011
samedi 16 juillet 2011
16 juillet 2011. 04h07
Merci de rendre beaux mes défauts.
De rendre mon corps supportable
D'avoir envie de toucher ma peau.
Merci d'éveiller mes désirs.
De rendre mon esprit affable
D'avoir envie de suivre mes délires.
Merci d'avoir ouvert la cage.
De rendre notre univers si passionné
D'avoir envie de si beaux partages.
Merci d'avoir réveillé l'envie.
De rendre mes nuits enchantées
D'avoir à nouveau accepté la vie.
Je t'aime... tant... tellement...
De rendre mon corps supportable
D'avoir envie de toucher ma peau.
Merci d'éveiller mes désirs.
De rendre mon esprit affable
D'avoir envie de suivre mes délires.
Merci d'avoir ouvert la cage.
De rendre notre univers si passionné
D'avoir envie de si beaux partages.
Merci d'avoir réveillé l'envie.
De rendre mes nuits enchantées
D'avoir à nouveau accepté la vie.
Je t'aime... tant... tellement...
16 juillet 2011. 04h04
Brûlure de l'entrejambe, suintement intense. Envie(s) terribles(s), destructrice(s). Manque cruellement une langue, des doigts, qui s'égarent, dévient, s'éloignent, reviennent.
Trouble, aliénation, fascination. Tous ces mots qui emplissent ma vie depuis quelques jours font férocement défaut dans les actes cette nuit. Oui, parce que c'est exactement comme ça que je voudrais que ça se passe ! Follement, suprêmement, immensément.
Trouble, aliénation, fascination. Tous ces mots qui emplissent ma vie depuis quelques jours font férocement défaut dans les actes cette nuit. Oui, parce que c'est exactement comme ça que je voudrais que ça se passe ! Follement, suprêmement, immensément.
jeudi 14 juillet 2011
14 juillet 2011. 00h35
Les explosions de couleurs, les chandelles, les comètes, les fusées, c'est dans tes yeux que j'aurais voulu les voir se refléter.
Les feux de Bengale, les volcans, j'aurais voulu qu'ensemble nous les allumions et les attisions.
J'aurais aimé que le tableau se termine en un bouquet de jets et de fontaines interminables qui nous auraient donné le tournis.
Je t'embrasse avec des étoiles plein les lèvres et des étincelles plein les yeux.
Je t'aime.
Les feux de Bengale, les volcans, j'aurais voulu qu'ensemble nous les allumions et les attisions.
J'aurais aimé que le tableau se termine en un bouquet de jets et de fontaines interminables qui nous auraient donné le tournis.
Je t'embrasse avec des étoiles plein les lèvres et des étincelles plein les yeux.
Je t'aime.
13 juillet 2011. 02h10
Évidemment que je me suis endormie en caressant ta peau. Que mes doigts se sont perdus dans tes cheveux. Que ma bouche est devenue gourmande au contact de la tienne. Que ma langue est devenue audacieuse au fur et à mesure que le désir s'amplifiait.
Évidemment que j'ai rêvé tout ça. Que mon esprit s'est emballé. Que mon corps s'est embrasé. Que mes cris t'ont réclamé.
Un train, en direction de Genève, ce vendredi soir ? Évidemment que cela serait un pur fantasme. Une réelle folie. Une pure envie. Mais NOUS SOMMES FOUS, absolument. Comme lors de nos 18 ans...
Laisse parler la folie...
Évidemment que j'ai rêvé tout ça. Que mon esprit s'est emballé. Que mon corps s'est embrasé. Que mes cris t'ont réclamé.
Un train, en direction de Genève, ce vendredi soir ? Évidemment que cela serait un pur fantasme. Une réelle folie. Une pure envie. Mais NOUS SOMMES FOUS, absolument. Comme lors de nos 18 ans...
Laisse parler la folie...
mercredi 13 juillet 2011
12 juillet 2011. 23h52
Je suis ivre... d'amour. Et tout cela me fait joyeusement tourner la tête. Me fait dangereusement tourner la tête.
Je suis ivre... de toutes les scènes de ce weekend. De toutes les paroles que nous avons échangées. Et tout cela me rend allégrement folle. Me rend érotiquement folle.
Je veux conserver cet état d'allégresse longtemps, très longtemps. Réinventer chaque matin avec toi. Revivre chaque nuit dans tes bras.
Je suis ivre... de ton parfum. Et pourtant pas assez saoule. Je veux encore de ce délicieux nectar dont nous nous délectons. Je veux le boire jusqu'à la lie et surtout nous trouver une bouteille sans fond !
Je t'embrasse ivrement, amoureusement, éperdument.
Je suis ivre... de toutes les scènes de ce weekend. De toutes les paroles que nous avons échangées. Et tout cela me rend allégrement folle. Me rend érotiquement folle.
Je veux conserver cet état d'allégresse longtemps, très longtemps. Réinventer chaque matin avec toi. Revivre chaque nuit dans tes bras.
Je suis ivre... de ton parfum. Et pourtant pas assez saoule. Je veux encore de ce délicieux nectar dont nous nous délectons. Je veux le boire jusqu'à la lie et surtout nous trouver une bouteille sans fond !
Je t'embrasse ivrement, amoureusement, éperdument.
mardi 12 juillet 2011
12 juillet 2011. 17h27
Chaque pensée a la saveur de ta peau, le goût de tes baisers et l'odeur de ton cou.
11 juillet 2011. 23h51
Mon Amour, tu as rendu le réel irréel.
Ou le contraire.
Tu as rendu l'inimaginable imaginable.
Tu as écouté ma faim et tu l'as aidée à se créer des fantasmes.
Mon Amour, maintenant chaque cellule de mon cerveau fourmille d'idées et de désirs.
Maintenant chaque parcelle de ma peau réclame la chaleur de la tienne.
Et je me sens tellement offerte...
Et je me sens tellement forte, et si vulnérable...
Et je te fais tellement confiance.
Ou le contraire.
Tu as rendu l'inimaginable imaginable.
Tu as écouté ma faim et tu l'as aidée à se créer des fantasmes.
Mon Amour, maintenant chaque cellule de mon cerveau fourmille d'idées et de désirs.
Maintenant chaque parcelle de ma peau réclame la chaleur de la tienne.
Et je me sens tellement offerte...
Et je me sens tellement forte, et si vulnérable...
Et je te fais tellement confiance.
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